Église de l'Unification

usages et des coutumes propres à chacun. Ici encore, c’est aux préteurs, aux magistrats, de concilier les difficultés résultantes de la confrontation entre droit romain et coutumes propres. Malgré la date que constitue l’Edit de Caracalla, l’unification juridique qui tendait à mettre en place s’avère pour le moins relative. SECTION 2 : LE DROIT ROMAIN DANS LA PARTIE ORIENTALE DE L’EMPIRE Ce droit romain se distingue en 2 catégories, le droit impérial mais également de droit canonique.

en France, sera Charles VII, qui sera celui qui finit la Guerre de Cent Ans. Les caractères fondamentaux de l'Ancien Régime sont : Le plan politique : Renforcement du pouvoir du roi, le roi devient source unique de tout pouvoir. (Charles VIII). L'unification territoriale, le but était d'unir tous les fiefs sous domaine royal, qui, initialement, a été limitée à l'Ile de France.À partir des mariages, des héritages, etc., ce territoire sera étendu à d'autres fiefs. Le roi éliminera l'organisation territoriale

L’Eglise dispose d’un Droit unique = Droit canonique. La législation royale a voulu s’appliquer à tout le monde. La doctrine (ce que pensent les grands professionnels du Droit) & la jurisprudence vont demander à ce qu’on aille dans le sens de l’unification. Ces 60 coutumes générales provenaient elles-mêmes de coutumes locales qui s’étaient formées le long de la période précédant la période des Temps Modernes. On peut diviser la France en 2 grandes zones = Deux grandes zones linguistiques qui

(constitution des Etats nations), générant le clivage Eglise-Etat et nourrissant le clivage centre-périphérie. 3.Division supplémentaire au sein du mouvement ouvrier entre les révolutionnaires internationaux et les tenants de la souveraineté nationale. Ces oppositions se sont cristallisées dans chaque espace politique, leur intensité dépendant des dynamiques institutionnelles et à la nature des conflits dans chaque système. Exemple : -l’intensité du conflit Eglise-Etat en France fin du 19ème explique la permanence

le roi entré solennellement dans la cathédrale, il prononce la promesse royale ; à la demande de l’archevêque, qui fait une admonitio (avertissement) sur les devoirs attachés à la fonction royale, il s’engage devant tous à procurer la paix aux églises — maintenir « les privilèges et la loi due » au clergé du royaume — et au peuple chrétien ; il promet d’empêcher l’injustice et de combattre les ennemis de Dieu, de faire régner la justice et la miséricorde. SCEAU DE PHILIPPE Ier 2. L’electio

puisqu’on va trouver une influence dans l'Afrique du nord & le moyen orient. B - Le fondement médiéval : le christianisme Il est né dans la partie asiatique de l’empire romain et il faut attendre la fin du IIe siècle pour voir se développer des églises en Europe. En 313, par l’édit de tolérance, dit également «édit de Milan 470», l’empereur Constantin reconnait officiellement le christianisme parmi les religions de l’époque, c’est donc la fin des persécutions. A la fin du 4e siècle, l’empereur Théodose

commandement par la bouche. Mais cela évoque aussi la puissance et tend à la protection des plus faibles. On parle de protection générale qui s’applique à tous les sujets. On parle aussi de protection spéciale pour certaines personnes ou certains lieux (Eglise, veuves, orphelins, clerc…) ▪ Patrimonial : Le Roi se considère avant tout comme un propriétaire, donc son royaume est envisagé comme un bien personnel et fait partir de propriété familiale, d’autant plus qu’il a été acquis par la conquête

Connu pour son urbanisme, le monde méditerranéen est en effet celui de la Cité. Autrefois, l’agora et le forum, aujourd’hui la place et la médina, composent les lieux de convergence des individus et représentent les centres de la vie religieuse (églises, synagogues, mosquées). Ces trois religions monothéistes, qui se sont diffusées progressivement sur le pourtour méditerranéen, ont structuré et animé en permanence l’espace. La religion chrétienne s’est bâtie sur les ruines de l’empire romain. L’Islam

adaptés à la société, ils sont maintenu dans leurs grandes lignes, jusqu’au début 20ème. Les origines du droit français de l’antiquité jusqu’au 12eme siècle : Le droit français du 12eme au 20eme siècle : diversité juridiques et les efforts vers l’unification. Les origines du droit français de l’antiquité jusqu’au 12eme siècle : Nous verrons que le droit a pris naissances à l’antiquité, que le droit et la religion sont alors à l’origine intimement liés. Ces deux notions sont donc interdépendantes

(dominus, maître) . L’Empire est voué à une chute inexorable malgré des tentatives de restructuration. Dioclétien est confrontée à une vaste révolte de provinces. Il tente une solution institutionnelle: La Tétrarchie (4empereurs). On assiste à l’unification de l’admission des provinces et de l’Italie 300. Il réorganise les impôts parce que dans cette période d’instabilité ils sont mal vue. Il y a une lutte contre l’inflation (prend l’édit du Maximum en 301 le blé est visé…) L’empereur Constantin 306