Élection législative

(1 siècle) qui consiste à analyser les élections. Chapitre 1 : La fonction des élections INTRODUCTION 1 – Le rôle des élections dans la 5°République. La cinquième République a beaucoup valorisé les élections, qui se sont multipliés. Dans la troisième et quatrième Républiques les élections étaient beaucoup plus restreintes. Dans ces Républiques, le président était désigné par les parlementaires (idem pour le Sénat). Il n'y avait qu'une vrai élection : celle des députés. Les referendum étaient

En france, Le principe des élections législatives (des députés) est le suivant : le territoire national est divisé en 577 circonscriptions qui élisent chacune un député. Le député est élu au premier tour s’il rassemble plus de 50 % des suffrages exprimés et plus de 25% des inscrits dans sa circonscription. Sinon on procède à un second tour qui opposera les deux candidats arrivés en tête ainsi que tous les candidats ayant rassemblé au moins 12,5 % des inscrits. Nous allons faire une rapide présentation

personne, mais de la tyrannie d’une conception politique, dont les limites ne sont établies que par les grands principes du bloc de Constitutionnalité. Cependant, une telle majorité est difficilement atteignable en partie car les élections présidentielles et législatives n’ont pas lieu au même moment, ce qui permet au peuple de changer d’avis politique s’il n’est plus convaincu par son président, ou même de constater un changement par le renouvellement par tiers du Sénat. On parvient ainsi à une collaboration

suite notamment au deuxième tour des élections présidentielles de 2002. Les débats politiques télévisés font  toujours  plus  d’audience.  Contrairement  au  pourcentage  stable,  depuis  de  nombreuses  années,  de  50%  des  français se déclarant intéressés par les élections présidentielles, en 2007 on compte 70% des français.  B‐ Abstention et crise de la représentativité  Après  une  forte  mobilisation  des  français  lors  des  présidentielles  de  2007,  le  taux  d’abstention  record  aux  élections  législatives  qui 

Est-ce que le Grand-Duc doit, en droit, tenir compte du résultat des élections pour la composition du nouveau gouvernement ? B et E F (Sherylin WIES, Rosilene SILVA LOPES, Breeze VAN ECK) N° 8 du 07.05.2015 Comment le constituant a-t-il réparti le pouvoir normatif entre le législateur et l’exécutif ? A et C G (Roxana STEFANCA, Marisa SOUSA, CuiWen WU) N° 9 du 21.05.2015 Le Conseil d’État est-il une seconde chambre législative ? F et G H (Ion TIRGOALA, Melisa SUSIC, Elisabet SCHROEDER) Groupe

constitutionnelle est marquée par un paradoxe. D’abord une continuité sur le terrain des droits fondamentaux et sur terrain institutionnel, concernant la question de la désignation du président tous les systèmes ont été testés (SUD en 1848, élection par le parlement 1875-1945, élection par un collège de Grands électeurs 1958-1962, SUD depuis 1962). La réforme de 1962 : du SUI au SUD. En 1958, le président de la république est élu par un collège électoral spécial qui regroupe 81 700 personnes qui forment les

VOCABULAIRE DE SCIENCE POLITIQUE A - Abstention : le fait pour un électeur de ne pas participer à une élection ou à un référendum ; on obtient le nombre d'abstentions en calculant la différence entre le nombre d'électeurs inscrits et le nombre de votants. - Alternance : phénomène de remplacement d'une majorité par une autre de tendance politique opposée à la suite d'une élection. - Amendement : modification de tout ou partie d'une loi ou projet de loi. - Anticonstitutionnel : qui n'est

francois mitterand, il perd ainsi beaucoup, lui qui voulait un plébiscite, on a desexceptionnalisé la figure présidentielle de degaulle. En ralité le président de la republique n'as pas une relation particuliere avec la population, il n'a que gagné une élection, ce n'est pas ce personnage exceptionnel transi d'amour par le peuple francais. Le deuxieme argument est que l'on considere regulierement que la prééminence préisdentielle se traduit par une disqualification des partis politiques, a savoir que la

projet de Constitution de 1958 ont imaginés la vie politique sous le nouveau régime de la Ve République comme caractérisée par une lutte des partis analogue à celle des républiques précédentes. Même avec l’aide du scrutin uninominal à deux tours, les élections à leurs yeux ne parviendraient pas à dégager une majorité stable au gouvernement. Mais aux divisions attendues s’est substitué à partir de 1962, le fait majoritaire : l’exécutif peut désormais compter, au Parlement, sur une majorité fidèle pour la

Alors, le cumul des mandats est-il un travers de la vie politique française ? Afin de répondre à cette question, nous verrons que le cumul des mandats apparait comme une pratique non optimale, puis ensuite nous nous intéresserons aux avancées législatives allant vers une baisse de la tolérance du cumul des mandats. I) Le cumul des mandats, une pratique non optimale Cette pratique ne fait pas l’unanimité et pour cause, il semble bel et bien que de nombreux inconvénients résident en l’exercice