Eliade

SIEGENTHALER, Francine. Les récits mythiques et symbolisme de la navigation. Paris : Dervy-Livres, 1980.-114p.- ( Collection L'Oeuvre secrète, 0223-4688) -DOTTIN, Georges. Les littératures celtiques. Paris : Payot, 1924.-173p.-(Collection Payot). -ELIADE, Mircea. Forgerons et alchimistes. Paris : Flammarion, 1956.-209p.-(Homo Sapiens) -GENETTE, Gérard. Palimpsestes. La littérature au second degré. Paris : éditions du seuil, 1982.-573p.-(Points : Essais) -GUYONVARC’H, Christian-J ; LE ROUX, Françoise

Questionnaire de lecture – Rhinocéros, Ionesco Questionnaire de lecture – Rhinocéros , Ionesco 1. Complétez la biographie de IonescoDate de naissance :  26 novembre 1909Date de mort : 28 mars 1994Vie familiale : Eugène Ionesco est né le 26 novembre 1909 à Slatina, en Roumanie, d’un père roumain juriste et d’une mère française femme au foyer, fille d’un ingénieur de chemins de fer. La famille émigre en 1913 à Paris pour que le père puisse

entreprises et les dépasse en un récit qui s’établit sur un autre registre et fonde un type d’écriture qui n’a pas d’étiquette dans l’histoire littéraire. 12 13 A. de Saint Exupéry , op. , cit., p .,238 A. de Saint Exupéry , op. , cit., p .,238 14 M., Eliade, Aspects du mythe , Gallimard , Paris, 1988, p.36 909 Un art de vivre est mis en place dans le livre, des valeurs proposées, des rencontres ironiquement appréciées. Un trait relie pourtant les anecdotes qui alimentent ces rubriques : la permanence

qui considéraient la nourriture avant tout comme symbolique. Peut-on vraiment comprendre à l’heure actuelle ce que ressentait un agriculteur « primitif », qui en semant son blé accomplissait un acte sacré sur le corps de la « terre-mère »? Mircea Eliade (1949) explique fort bien comment cette agriculture est devenu l’un des premiers actes sacrés car l’Homme a ainsi pris conscience du cycle naturel des saisons tout en recréant chaque année le mythe cosmogonique (c’est à dire de création du monde)

valoarea pe care le-o atribuie.Dacă lui Chichindeal , Mumulean le dedică doar câteva cuvinte: „Chichindeal gură de aur, Mumulean glas cu durere, Prale firea cea întoarsă, Daniil cel trist si mic,...” Altora, precum Eliade , Alexandrescu, Negruzzi, Alexandrii le consacră una sau mai multe strofe.Este de remarcat extraordinara sugestivitate a definiţiilor sale lirice care surprind caracteristica esenţială a operei, sau a contribuţiei specifice la istoria literaturii

mythes qui utilisent les mêmes archétypes ; les mythes traitent toujours les questions qui se posent dans les sociétés qui les véhiculent. Ils ont un lien direct avec la structure religieuse et sociale du peuple, et avec leur cosmogonie. Selon Mircea Eliade : « Il serait difficile de trouver une définition du mythe qui soit acceptée par tous les savants et soit en même temps accessible aux non-spécialistes. D'ailleurs, est-il même possible de trouver une seule définition susceptible de couvrir tous les

inflation d'un des éléments constitutifs. L'accent est ainsi mis sur la dynamique de transformation du mythe, dans un jeu dialectique de variables et de constantes. Or, un processus similaire régit la formation du mythe ethno-religieux. En effet, si Eliade définit avant tout le mythe comme un récit fondateur[vi], et donc par ses traits sémantiques, ce qui implique une possibilité de reconnaissance du mythe hors de tout contexte, Detienne, par exemple, place la «tradition aurale[vii]» au fondement de

qui croit, décroît, disparaît et renaît, un astre soumis aux lois de la naissance et de la Mort  Le mot qui nomme la Lune dans les langues indo-germaniques est le plus ancien de tous les noms d’astre et signifie « je mesure », ainsi parle Mircéa Eliade, et au plus lointain de l’histoire de l’humanité, les phases croissantes et décroissantes de la Lune ont servi à définir les calendriers, bases de repères de l’homme, tant pour rythmer sa vie sociale et religieuse, que pour le guider dans les étapes

sacré, son noyau de sens le plus fondamental. On a cru pendant quelque temps qu’ils étaient propres aux sociétés « primitives », avant de s’apercevoir que nos sociétés modernes ont elles aussi leurs mythes… [Par exemple : le mythe du progrès.] {cf Eliade} 2) L’omniprésence des dieux Anthropomorphisme ° Ce que les mythes donnent à entendre le plus souvent, ce sont les actes des dieux et leurs interférences avec les premiers hommes. Le monde s’organise selon des forces qu’il faut saisir

calmer, à la magie. Par des cérémonies et des formules magiques, Telipinu est purgé de la rage et du «mal ». Pacifié, il retourne finalement parmi les dieux – et la vie retrouve ses rythmes . (Éliade, Histoire des croyances et des idées religieuses 1, 156-157) 5) TUPINAMBAS (AMÉRIQUE DU SUD) (1) « Un jour, pendant une grande famine, Maire Monan, le créateur et ordonnateur du monde en personne, se métamorphosa