Eliade

la sociologie dans le placard aux vieilleries, contribué à éclairer les cérémonies initiatiques, les fêtes, les symboles religieux, à repenser l'histoire d'un point de vue psychosocial. C'est ainsi que l'école de la sociologie du sacré avec Mircéa Eliade, Georges Dumézil, Lily Weiser, Otto Höfler, Wilhelm Grönbech, Karl August Eckardt remet en cause toute notre vision de l'Antiquité et du Moyen-Âge. Mais le fait le plus important est que des millions de jeunes ignorant tout ou presque de la philosophie

“inspiraţiei”, tocirea şi imunizarea sensibilităţii estetice, teorii vechi şi bine consolidate, faţă de care micile eseuri din L’ere du soupcon de Nathalie Sarrute (1956) fac destul de modestă, de epigonism tardiv. Nu acesta este cazul lui Mircea Eliade, care declară că s-a “eliberat” de “literatură” prin istoria religiilor şi etnologie: “Pentru mine acesta este realul, nu literatura”. Opera sa nu are o semnificaţie erudită:”Este vorba de ceva cu totul diferit: de o lume care-mi pare mai reală, mai

problèmes religieux. » Ernst Cassirer, La Philosophie des Lumières, Paris, Fayard, 1966, p. 155. « L’homme moderne qui se sent et se prétend areligieux dispose encore de toute une mythologie camouflée et de nombreux ritualismes dégradés. » Mircea Eliade, Le Sacré et le Profane, Paris, Gallimard, « Folio Essais », 1988, p. 173. 201 Sujet 24 | Énoncé „Procéder par étapes Identifier les difficultés particulières de ce sujet La question porte sur la possibilité : il n’est pas ici question de se demander

À Saint-Gall, en Suisse, Ionesco abandonne ainsi les mots pour une peinture naïve et chargée de symboles. Le dernier visage d’Ionesco est celui du mystique épris de philosophie orientale, passionné par la Kabbale, dans le sillage de son ami Mircea Eliade. Les essais de cette époque, d’Antidotes à La Quête intermittente, en passant par Un homme en question, sont autant de monologues nostalgiques et métaphysiques, au travers desquels Ionesco s'oriente vers une écriture intimiste où il se cherche, s’analyse

D’autre part, je ne pouvais pas non plus faire appel à la tradition orale, que les chercheurs actuels ramènent de certaines collectivités fermées. C’est l’observation de certaines complications méthodologiques dont je donne un exemple en citant Mircea Eliade qui m’a décidé à exclure ces matériels. Dans Aspects du mythe, cet auteur dit : “ En comparaison avec les mythes narrant la Fin du Monde dans le passé, les mythes qui se réfèrent à une Fin à venir sont étrangement peu nombreux chez les primitifs.

problèmes religieux. » Ernst Cassirer, La Philosophie des Lumières, Paris, Fayard, 1966, p. 155 « L’homme moderne qui se sent et se prétend areligieux dispose encore de toute une mythologie camouflée et de nombreux ritualismes dégradés. » Mircea Eliade, Le Sacré et le Profane, Paris, Gallimard, « Folio Essais », 1988, p. 173 Les textes de référence : Un texte de Durkheim dans lequel l’auteur fait le constat de l’émancipation de la société à l’égard de la religion : Or, s’il est une vérité que

si universellement affirmée, en l'unité originelle que l'homme doit réintégrer post mortem, s'accompagne aussi, dans la plupart des systèmes cosmogoniques, d'une nécessité impérieuse de différencier totalement les sexes en ce monde ». Ce que Mircea Eliade résume bien en disant 125 qu'il « est aussi paradoxal d'être mâle et femelle que de redevenir enfant, de naître de nouveau, de passer par la porte étroite126 ». Nous avons donc, à travers cette figure de l'androgyne, une illusion de communication

Timeless Way of Building, Oxford UP, New York, 1979. Atkinson, Robert and Bagenal, Hope—Theory and Elements of Architecture, Ernest Benn, London, 1926. Bachelard, Gaston, translated by Maria Jolas—The Poetics of Space (1958), Beacon Press, Boston, 1964. Eliade, Mircea, translated by Sheed—Patterns in Comparative Religion, Sheed and Ward, London, 1958. Frankl, Paul, translated by O’Gorman—Principles of Architectural History (1914), MIT Press, Cambridge, Mass., 1968. Heidegger, Martin, translated by Hofstader—‘Building

nature. Gaston Bachelard. Gilbert Durand. Si ces symboles tiennent des mythes, il est alors possible de parler de la critique symbolique comme d'une mythocritique empruntant à la mythologie et à l'ethnologie. Georges Dumézil. Northrop Frye. Mircea Eliade. Roger Caillois. Claude Lévi-Strauss. Si les symboles sont attachés à des complexes, il est possible de parler de la critique symbolique comme d'une psychocritique, aussi souvent d'inspiration jungienne que freudienne. Charles Mauron. Marie Bonaparte

contemporains. En outre, par son anticonformisme, Nicholas Georgescu-Roegen nous semble appartenir à cette diaspora intellectuelle roumaine qui a déjà donné au XXe siècle des figures aussi peu cartésiennes que Tristan Tzara, Eugen Ionesco, Mircea Eliade, Virgil Gheorghiu, Stéphane Lupasco ou encore Emil Cioran, ces iconoclastes de la mythologie moderne de l’Occident. C'est aussi à nos mythes que s'en prennent les analyses de Georgescu-Roegen : la figure du cercle et sa cosmologie ne sont-elles pas