Eliade

Tabous des Français. - Paris : Hachette, 1986. DUVIGNAUD (Jean) - Introduction à la sociologie. - Paris : Gallimard, 1966. DUVIGNAUD (Jean) - Sociologie de la connaissance. - Paris : Payot, 1979. ELIADE (Mircea) - Images et symboles, essai sur le symbolisme magico-religieux. - Paris : Gallimard, 1952. ELIADE (Mircea) - Le mythe de l’éternel retour, archétypes et répétitions. - Paris : Gallimard, 1949. ELLUL (Jacques) - La parole humiliée. - Paris : Seuil, 1981. ELLUL (Jacques) - Le bluff technologique

HASSARD) Hubert (1905), Hubert et Mauss (1909), Mauss (1968) ont mis l’accent sur le caractère rythmique de la vie sociale en élaborant le concept de “ temps qualitatif ” très éloigné de celui qui réduit le temps à une durée mesurable. Mircea Eliade (1959) donne une analyse très subtile. Une explication de l’image fondamentale du temps dans les sociétés qu’il appelle “ archaïque ”, c’est-à-dire antérieure au christianisme. Il décrit le déroulement des évènements suivant un rythme immuable : les

conférer sa régénérescence. S'il est important de souligner que la nuit agit sur les personnages en excitant leur désir41, entrer dans la nuit est une action encore plus importante dans la mesure où elle symbolise le retour à l'origine qui, assure Eliade, "précède toute cosmogonie"42 et qui est indispensable lors de chaque nouvelle genèse. En entrant dans la nuit, le récitant se soumet donc à l'expérience de la mort symbolique après quoi il sera bientôt conçu (par la nuit). Cette interprétation

entre les V. et Frédéric d’hier et ceux d’aujourd’hui, en bon arbre généalogique. L’arbre n’est pas seulement un élément du décor, ni un beau symbole apollinien (voir l’incipit), ni un concentré cosmique (arbre sacré, ou axis mundi comme dirait Mircea Eliade) ; il a un rôle moteur dans la dynamique narrative. La fiction aurait ainsi (gardons le conditionnel par prudence : Giono est un grand mystificateur, et rien ne permet de confirmer avec certitude les conditions de cette toute première germination

-WAGNER (R.L),PINCHON(J),Grammaire du français classique et moderne, Paris ,Hachette, coll. « Hachette Université »,1962. OUVRAGES THEORIQUES SUR LA VIOLENCE -BIGEARD (Jean Marie). La Violence, Paris, Larousse, 1974. -ELIADE (Mircea), Le Sacré et le profane, Paris, Gallimard, coll. « idées » ,1965. -GIRARD (René), Le Bouc Emissaire, Paris, Grasset et Fescelle, 1982. -GIRARD (René), La Violence et le sacré, Paris

Frend (Philadelphie : Fortress Press, 1984), pages 212-18 ; Encyclopaedia of Religion and Ethics de James Hastings, éd., (New York : Charles scribner's, 1908-27) 8:407-9 ; « Marcion », dans Encyclopedia of Religion de Robert R. Wilken, éd. Mircea Eliade (New York : Macmillan, 1987) 9:194-96 et enfin, dans The New Encyclopaedia Britannica (Chicago : Encyclopaedia Britannica, 1986), 7:825-26. Pour plus de détails sur Marcion, consultez Christianity de Roland H. Bainton, The American Heritage Library

de reproduction, de traduction et d’adaptation réservés totalité de signification, d’une figuration symbolique d’ensemble. De plus, c’est la marque du mythe que de porter sur des dimensions critiques de l’existence humaine. « Sa fonction », écrit Eliade, « est de révéler des modèles et de fournir ainsi une signification au monde et à l’existence humaine. Aussi son rôle dans la constitution de l’homme est-il immense» (1963, p. 177). En d’autres termes, le mythe fournit une figuration générale de la

L’Odyssée, Ithaque est clairement pour Ulysse un espace sacré au sens où Mircea Eliade le décrit dans Le Sacré et le Profane. La patrie du héros est un espace consacré en dehors duquel tout semble chaos. On peut donc sans peine appliquer à Ulysse les réflexions d’Eliade postulant que l’homme des sociétés traditionnelles éprouve le besoin d’exister constamment dans un monde total et organisé, dans un Cosmos. Ce besoin, Eliade l’appelle « Nostalgie du Paradis. » Le retour d’Ulysse à Ithaque est retour

poète d'expression allemande ; • Sergiu Celibidache, chef d'orchestre et phénoménologue de la musique ; • Emil Cioran, écrivain et philosophe d'expression française ; • Henri Coandă, ingénieur, inventeur du turboréacteur ; • Mircea Eliade, écrivain, essayiste et historien des religions ; • George Enescu, compositeur, violoniste, chef d'orchestre et pianiste ; • Eugen Ionescu, dramaturge d'expression française ; • Mihail Sébastian, écrivain ; • Tristan Tzara, à l'origine

si fidèle au réel que son modèle exact était un échangeur d’autoroute en construction à proximité du Théâtre des Amandiers, offrait à lui seul une “métaphore” riche en significations diverses : “Ce pont, écrit par exemple Jean-Marc Lantéri citant Eliade, c’est un peu l’axis mundi, l’image mythique se trouvant au centre de la terre et reliant la terre au sol, garantissant en quelque sorte la présence du sacré. Le fait que cet axe soit brisé atteste de l’impuissance du Blanc à comprendre ou à maîtriser