Eloge Apologue

| | | |l’apologue[6][17] | | |ressentir attirance, |louer, valoriser (éloge) ou| |Descriptif (portrait), narratif et | |Comique, ironique et satirique, oratoire, | |admiration ou de la |dénigrer (blâme) |épidictique

“richesse” et “innocence” insistent sur la condition aisée de l’enfant.  Tout ce premier paragraphe est lié à la condition sociale de l’enfant riche. La description du joujou du riche est méliorative : splendide (hyperbole) verni, doré,… C’est une éloge de la beauté du jouet, de la richesse. Baudelaire compare le jouet avec son maître. Les mots des lignes 11 et 12 sont mélioratifs. Mais le mot « verroteries » montre que ce jouet est très beau mais que c’est du toc. Il y des éléments péjoratifs lorsque

du pouvoir et du peuple. Vers 30-32 : Hyperbole. * 2ème récit : Episode historique qui utilise l’apologue et illustre le 1er récit. Dans les deux derniers vers, La Fontaine cherche à montrer la puissance, la force argumentative d’une fable/apologue avec comme exemple Méninius. Mise en abîme, récit enchâssé dans un autre récit. Les membres et l’estomac Et rapprochement avec le pouvoir des fables I. Un récit à structure complexe et plein de vivacité Fable morcelée : Entrée en matière

Madame de Montespan comme on peut le voir , de part les « je » et « me » que l’on retrouve dans le texte , la maque de dédicace est aussi récurrente , le dialogue marqué entre le « je » et le « vous ». Dans sa fable, LaFontaine a pour but de faire une éloge de Madame de Montespan afin qu’elle accède à sa requête. Pour cela il va flatter son égaux, en commençant par des rappels de sa grâce   et de sa séduction en la comparant à Olympe (l 11) , il va jusqu'à appeler Mme de Montespan Olympe (l29) , puis

partie de ses idées. Lecture Reprise de la question posée • fable classique De nombreux indices semés tout au long du texte nous rappelle l’appartenance de l’auteur au mouvement classique. • vers 7 a 9 : périphrases laudatives : il va faire son éloge. Le chêne est grandiloquent lorsqu’il dresse son portrait et méprisant quand il parle du roseau. • vers 10 : « aquilon » et « zéphyr » font référence aux termes que l’on utilisait dans l’antiquité qui signifiaient les vents, aquilon était le dieu

qui parle ? L’auteur semble pressé d’arriver au dénouement qui parachèvera son éloge de la souplesse. - Mise en scène où spectateur assiste à un dialogue dont il peut prévoir l’issue grâce à la bande-son ( menace du vent ). Cette issue voit la survie du Roseau et la chute prévisible du Chêne, exaltant l’intérêt d’être capable de souplesse. II) Un éloge de la souplesse Portée morale de cet apologue semble vouloir exalter la capacité « à plier » ; que faut-il entendre par là ?

critique, polémique….) Une lettre (lettre personnelle, lettre fictive, lettre ouverte, lettre au courrier des lecteurs) Un journal intime ou une autobiographie Un dialogue Une courte scène de théâtre Récit à visée argumentative, fable ou apologue Un discours Une forme poétique ….. 3) Mobiliser vos connaissances techniques sur le genre à produire 4)) Analyser les contraintes de la consigne  Analyser très précisément la situation d’énonciation (qui parle ? à qui ? quand ? et où ?)

ligne 15 des questions rhétoriques pour mettre en évidence le relativisme et d énoncé l’ethnocentrisme des Européens : « ce pays est a toi et pourquoi ? » « Et parce que tu y a mis le pied ? » Apres avoir montré que Bougainville avait dressé un éloge du peuple tahitien (l 25.30). Accumulation de questions oratoires dans lequel le tahitien met en évidence l’humanité de son peuple, le peuple tahitien n’est pas jaloux, ni violent, il n’a pas d’instinct de propriété et ne connais pas non plus la notion

un sermon , d’être fessé ou d’être pendu  atténuation et banalisation et légèreté des décisions lorsqu’il s’agit de condamnation aussi grave . Le vocabulaire mélioratif et les descriptions grandioses contribuent a faire de ce texte un faux-éloge ou un éloge paradoxal . Ironie dans l’absurdité des motifs d’arrestation : « avoir épousé sa commère » (langage familier utilisé), « arraché le lard » (d’un poulet!), parallélisme absurde entre Pangloss et Candide « l’un pour avoir parlé, et l’autre pour

L’homme dans les genres de l’argumentation du XVIème à nos jours Objectifs : travail transdisciplinaire avec le cours de SES sur la question de la socialisation ; travail sur la notion d’utopie ; études de textes argumentatifs de genre différents (apologues, essai, dialogue) et de différents procédés d’écriture propres à l’argumentation ; travail de l’intertextualité Problématique de la séquence : quel regard les écrivains portent-t-ils sur les relations au sein de la société ? Groupement