Eloge De Jean Moulin

| | | |Jean MEYNAUD | |Professeur de science politique à l'Université de Lausanne

négociable (v. Jean-Baptiste de La Curne de | |Sainte-Palaye, Dictionnaire historique de l'ancien langage françois, publié par L. Favre, Niort, 1876-1882, 10 | |vol. ; Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l'ancienne langue française, Paris, 1880-1902, 10 vol. ; Dictionnaire | |historique de la langue française, sous la dir. de Alain Rey, Le Robert, Paris, 1992, sous l'art. obliger ; G. | |Piéri, « Obligation », Archives de philosophie du droit, 1990, pp. 221-231 ; Jean-Louis Gazzaniga

banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait la main de Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. Mais comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s'arrêta net de surprise. ― Oh! dit-elle, regarde un peu, Jean. Et ils restèrent plantés, serrés les uns contre les autres. Nous avons

l’ordre du préfet Alypius. Le même jour, mémoire des saints hiéromartyrs Alexandre (Trapitsyne), archevêque de Samara, et de ses compagnons : Jacques Alferov, Viatcheslav Infantov, Alexandre Ivanov, Trophime Miatchine, Alexandre Organov, Jean Smirnov, Jean Souldine et Basile Vitevski, prêtres (1938), et du saint moine-martyr Jérémie (Leonov) (1918). D Mémoire de notre saint Père FULGENCE, évêque de RUSPE. Originaire d’une famille sénatoriale de Carthage (467), Claude Gordien Fulgence

4 1 .2. 5. Poétiques 4 1. 2. 5. 1. Gaston Bachelard 4 1. 2. 5. 2. Jean –Pierre Richard 5 2. LES OEUVRES ETUDIEES 6 2. 1. Charles Baudelaire: Les Fleurs du Mal

Pierrot était le plus vigoureux de ses esclaves (car je ne songeais plus à obtenir sa liberté, il ne s'agissait que de sa vie) ; qu'il faisait à lui seul l'ouvrage de dix autres, et qu'il suffisait de son bras pour mettre en mouvement les cylindres d'un moulin à sucre. Il m'écoutait, et me faisait entendre qu'il ne donnerait peut-être pas suite à l'accusation. Je ne disais rien au noir du changement de mon oncle, voulant jouir du plaisir de lui annoncer sa liberté tout entière, si je l'obtenais. Ce qui

bénévole Professeure à la retraite de l’École Dominique-Racine de Chicoutimi, Québec et collaboratrice bénévole Courriel : mailto:mabergeron@videotron.ca Dans le cadre de la collection : "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web : http://www.uqac.ca/Classiques_des_sciences_sociales/ Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi

.....................................137 Une vie de Maupassant ou « l'écriture du vide » Aurore Loison - 2007/2008 6 2) Effacement des personnages .........................................................................................145 a) Jeanne........................................................................................................................145 Une ébauche de personnage, une inconsistance de femme.......................................146 Un être passif.............

Des personnages positifs qui vivent au sein de la société. 5. Parfois le roman cycle concerne un seul individu- R. Roland- le roman fleuve (idée de Tolstoï selon que la vie humaine peut être présentée comme un fleuve, riche qui passe- le musicien Jean Christophe 6. Chez Jules Romains le roman cycle ne présente ni la vie d’une famille, ni celle d’un seul individu mais il est organisé par une simultanéité d’événements- Les hommes de bonne volonté (le roman polyphonique). Il raconte l’histoire de

avec passé. Architecture devient tributaire de sa décoration. Révolution modeste mais capitale car affecte le cadre de vie même. Transition visible en peinture avec Largillière (né en 1656), Rigaud (né en 1659), Coypel et Desportes (nés en 1661) ; Jean-François de Troy (1679-1752), Oudry (1686-1755), Watteau (1684-1721)… Redécouverte de Rubens. Tournant de la peinture française se situe avec la victoire des poussinistes sur les rubénistes. Du nord viennent goût d’une palette vibrante, recherche d’une