Eloge De La Différence

nouvelleProblématique : Comment le soleil est-il d'abord représenté comme l'inspirateur du poète, avant de représenter les pouvoirs divins de la poésie ?Plan :I. Baudelaire raconte comment ses vers naissent de ses promenades au soleil (1er huitain)II. Un éloge du soleil, guérisseur de tous les maux (2ème huitain)III. Comparaison du poète au soleil (quatrain final)Conclusion :- soleil = inspiration poète puis métaphore pouvoirs poésie- poème = représentation ambivalente poète -> §1: en quête d'inspiration

monstre alors qu’il a un comportement humain ; Frollo que le narrateur fait passer pour quelqu’un de bien alors qu’il incarne le mal. Ce qui crée un paradoxe avec  l’inversion des rôles de Quasimodo et Frollo, donc une morale, sur les apparences et la différence ;  « l’habbit ne fait pas le moine »   Madame de Lafayette : La princesse de Montpensier, 1662 -Récit historique : documentation, reconstitution et personnages réels ; mais aussi Récit d’analyse psychologique Dénouement (excipit) : Les personnages :

montagne, face à un épervier (« c’était la destinée de Napoléon, serait-ce un jour la sienne ? ») Le héros romantique a soif d’absolu, se réfugie souvent dans la solitude, a besoin d’admirer des figures héroïques… (ce sont des formes de passion)+ Son éloge de Danton lors du balJulien est un être romantique aussi par le « mal du siècle » qui le ronge : il a l’impression d’être né trop tard dans un monde qui ne lui convient pas. 3. La dualité de Julien, un personnage en évolution

constitué de 7 chapitres relativement courts. Chapitre 1 : Micromégas voyage de planètes en planètes pour se former l’esprit et le cœur, et rencontre le secrétaire de l’académie de saturne. Chapitre 2 : Micromégas et le secrétaire échangent sur les différences entre leurs planètes. Le secrétaire accompagne Micromégas dans sa quête philosophique. Chapitre 3 : Les deux amis visitent la planète de Jupiter, puis mars et arrivent sur la terre. Chapitre 4 : Le saturnien pense qu’il n’y a personne sur la terre

héroïne en insistant sur l'éducation que lui a transmise sa mère afin de la préparer à la vie mondaine et de lui enseigner les valeurs de l'« honnête femme ». II. Une éducation irréprochable 1. Eloge de Mme de Chartres chargée de l'éducation de sa fille Tout d'abord Mme de la Fayette fait un éloge de Mme de Chartres qui s'est chargée de l'éducation de sa fille et lui a transmis ses valeurs. Elle est présentée comme une femme méritante car elle était seule à élever sa fille après le mort de son

moment la chretiente et ce qui fait l’importance de la nouvelle figure de l’Etat qui commence a se dessiner. Par example, c’est autour d’Erasme, de Leonard de Vinci, de Gutenberg, de Montaigne, de Machiavel, de Calvin et Luther que nous articulons la difference des idees, le retour a la nature, les reformes religieuses ou la nouvelle pensee de l’Etat. I/ DEFINITIONS La Renaissance est completement a l’inverse du Moyen-Age, considere comme une periode noire. Pour comprendre cette période

malentendus, échanges limités. Communautarisme, revendication de la différence. Babel -> se comprenait, s’entendait bien ; Dieu va « confondrait les langages. », détruire unité linguistique, vont disperser donc opposition + incompréhension. ANTITHESE : création langue universelle, mettre d’accord pour élaborer nouveaux signes que peuple comprendrait. Seul langage universel = mathématiques. 17eme siècle -> DESCARTES , LEIBNIZ = éloge rationalisme, aucune langue supérieur à autre, idée qui compte. DESCARTES

termine bien et l’amour triomphera. b)Situation du passage : Il s’agit là du dénouement de le pièce :  Dorante, malgré la différence de condition sociale, a demandé en mariage celle qu'il croit n'être qu'une servante. Dans la scène 9, il apprendra que celle qu’il aime n’est autre qu’une femme de sa condition. c)Problématique : Dorante parviendra-t-il à surmonter les différences de classe et les préjugés pour l’épouser sous un habit de servante ? Comment la jeune femme le mettra-t-il à l’épreuve 

n’est pas l’exposé d’un savoir emprunté… Montaigne souligne la singularité de son œuvre, qui correspond à ses « propres et naturels moyens ». Il souligne le contraste avec les pratiques des auteurs contemporains et fait « connoistre l’extreme difference entre eux et moy ». b) …. et quand l’essayiste emprunte, c’est pour mieux se dire lui-même… 147 C - 148 C : « Reprendre en autruy mes propres fautes (…) en ce docte et laborieux tissu des Politiques ». Montaigne réfléchit sur la manière dont

récurrent de pronoms de la première personne « je » (v.18), « m’ » (v.6), « me » (v.33) et des déterminants possessifs tels que « mon » (v.24) ou « ma » (v.7). Cet éloge à soi-même que l’empereur formule contraste avec les doutes qui le rongent. c. Une conjuration qui accentue l’ironie tragiqueS’ajoute à cet éloge d’Auguste une ironie tragique causée par la conjuration entre Cinna et Maxime, dont le spectateur a connaissance depuis le premier acte. Bien las du complot mis en