EMAS

de 300 en 1996 et qui est passé à plus de 3000 en 2009[82]. Il y'a également eu une émergence de normes environnementales, des meilleures pratiques et des normes tels que l'ISO 14000, le système européen de management environnemental et d'audit (EMAS), et l'Index de durabilité Dow Jones pour les sociétés[83,84,85]. VII. CONCLUSION D. La marche et le cyclisme La marche et le vélo sont la solution écologique ultime «carbone zéro» pour le transport personnel. Toutefois, la marche et le vélo

volontariat. Les principaux dispositifs ce certificats signifie qu'on est responsable Certificat° ET LABEL : Adhésion volontaire et facultative à plusieurs référentiels nationaux ou internationaux EMA : règlement européen : Annexe 1 : Méthode EMAS ISO: normes internationales Annexe 2 : Normes ISO Global compact : engagements internationaux Annexe 3 : Global compact (négociation si on a pas le certificat) Engagements négociés avec les pouvoirs publics ou privés Engagement unilatéraux =

aussi des impacts environnementaux et sociaux de ses activités. 3. Les formes de la RSE La RSE peut prendre plusieurs formes - Adhésion facultative à des normes élaborées par les pouvoirs publics (normes ISO ISO 9001 et ISO 14000), normes EMAS (Eco-Management and Audit Scheme)…) - Engagements dans des actions soutenues par les pouvoirs publics ou les ONG comme le commerce équitable ou les labels écologiques. – Audits sociaux externes (entreprise spécialisée ou ONG) des sous traitants

l’Entreprise dans les actions éco citoyennes afin de contribuer en autre à cet objectif de la neutralité carbone. - Les processus d’amélioration continue : On peut en distinguer trois types : • Les programmes volontaires publics, dont les normes EMAS et ISO. • Les accords négociés entre pouvoirs publics et entreprises. • Les engagements unilatéraux pris par les entreprises comme le cas l’AERES. Exemple : Les accords négociés prennent la forme d’un contrat à l’échelon national, entre les pouvoirs

porte-parole. Les principaux dispositifs de la RSE L’adhésion volontaire et facultative à un ou plusieurs des référentiels internationaux ou nationaux élaborés par les pouvoirs publics : Global Compact, Principes directeurs de l’OCDE, normes ISO, normes EMAS (Eco-Management and Audit Scheme)… Les engagements négociés directement avec les pouvoirs publics ou des partenaires privés et prenant la forme de définitions d’objectifs à moyen terme, chiffrés, sur les performances des entreprises, ou de partenariat

 Il est impératif d'atténuer les répercussions   négatives des processus de fabrication sur les collectivités, l'environnement et les ressources   naturelles, tout en protégeant la santé et la sécurité du public.   Des systèmes de gestion reconnus tels que les directives ISO 14001 et EMAS (Eco  Management   and Audit System) ont été utilisés en référence durant la préparation du Code. Ils peuvent   constituer une précieuse source d'informations complémentaires.      Normes environnementales :      1) Autorisations et déclarations environnementales obligatoires  

sociale ne seront pas abordées car elles s’intéressent uniquement à l’un des volets de la performance globale. De même, les différentes initiatives en matière de reporting social (le bilan social), de normalisation environnementale (les normes ISO 14001, EMAS) et de normalisation sociale (les normes SA 8000, AA 1000) ne seront pas traitées. De même, les outils (le Guide SD 21000, la norme ISO 26000), qui proposent des lignes directrices pour la prise en compte des enjeux du développement durable ou de la

de manœuvre à l’entreprise. L’ISO se tourne aujourd’hui vers la prise en compte de l’impact social, avec ISO 9000, mais également avec un travail en collaboration avec la norme SA 8000 qui est abordée plus bas. L’Environment Management Audit System (EMAS, ou Système de Management Environnemental et d’Audit – SMEA), créé en 1995, est la norme européenne de certification environnementale. On l’appelle également éco-audit. L’EMAS va plus loin que la norme ISO 14001. En effet, elle est plus exigeante car

communication est un des principaux fondements de la démarche Pour cela, selon les lois en vigueur ou les référentiels de normalisation adoptés, des indicateurs bien identifiés devront régulièrement être publiés comme le préconisent le référentiel éco Audit EMAS ou la loi NRE de 2001 par exemple. La gestion des risques La responsabilisation de l'entreprise est un volet essentiel d'une politique de développement durable. Une gestion des risques complète s'impose identification des menaces et dangers potentiels

certification de système, ce qui est un atout commercial vous permettant de vous démarquer de la concurrence :  Certification SMQ* : ISO 9 001 / ISO 22 000 / IFS* / BRC* / etc.  Certification SMS* : OHSAS* 18 001  Certification SME* : ISO 14 001 / EMAS* / etc. 2010 © Pascal Bousselet Consultants 11 L’informatisation des processus QSE dans les entreprises agroalimentaires Les processus QSE Q3 Le Système de Management de la Qualité : quelle méthodologie de planification ? Quelles