Emil Cioran

sens faible) et de ses conséquences (la morale chrétienne entre autres). Influencé par la pensée nietzschéenne, Cioran inventera le nihilisme pessimiste, qui ne laisse à l'homme aucune lueur d'espoir : « Contre l'obsession de la mort, les subterfuges de l'espoir comme les arguments de la raison s'avèrent inefficaces. »[2] Par ailleurs et dans une œuvre parfois comparée à celle de Cioran, Albert Caraco voyait la vie comme un non-sens absolu. La pensée de Heidegger Heidegger voyait dans le nihilisme

qu’il a. Ce ne sont pas les hommes qui changent, ce sont leurs désirs. L’Homme avance dans le temps à l’aveuglette, avec pour seuls objectifs, ses désirs. « Tout se réduit en somme au désir et à l'absence de désir . Le reste est nuance » a dit Emil Michel Cioran. Pour être heureux, l’Homme doit apprendre à satisfaire ses désirs qui peuvent l’être sans transgresser les libertés d’autrui et les lois en vigueur. Vivre en société, c'est, en effet, apprendre à renoncer à

XXe siècle comme Vassili Kandinsky et d'autres ultérieurs ("abstraction lyrique") La philosophie lyrique Indépendamment de toute perspective artistique, si ce n'est l'allusion aux essais de poésie auxquels sont enclins les hommes amoureux, Emil Cioran débute son ouvrage de jeunesse (1932 Sur les cimes du désespoir) par une section intitulée « Être lyrique ». Il y minore sous divers points de vue les connotations ordinaires du terme lyrisme qu'il utilise au contraire pour désigner et dépeindre

sens faible) et de ses conséquences (la morale chrétienne entre autres). Influencé par la pensée nietzschéenne, Cioran inventera le nihilisme pessimiste, qui ne laisse à l'homme aucune lueur d'espoir : « Contre l'obsession de la mort, les subterfuges de l'espoir comme les arguments de la raison s'avèrent inefficaces. »[3] Par ailleurs et dans une œuvre parfois comparée à celle de Cioran, Albert Caraco voyait la vie comme un non-sens absolu. ------------------------------------------------- La pensée

John Fitzgerald Kennedy « Un besoin naturel pousse l'homme à vouloir goûter au progrès et à rechercher la vérité. » de Luben Karavelov «Le progrès est l'injustice que chaque génération commet à l'égard de celle qui l'a précédée. » de Emil Michel Cioran [ « Les vrais hommes de progrès sont ceux qui ont pour point de départ un respect profond du passé.» de Ernest Renan « La prostitution est une des rares professions qui soient demeurées très artisanales en dépit du progrès technique. » de Philippe

préfère les femmes aux hommes, c’est parce qu’elles ont sur eux l’avantage d’être plus déséquilibrées, donc plus compliquées, plus perspicaces et plus cyniques, sans compter cette supériorité mystérieuse que confère un esclavage millénaire. » Emil Cioran (1911-1995) « C’est par le travail que la femme a en grande partie franchi la distance qui la séparait du mâle ; c’est par le travail qui peut seul lui garantir une liberté concrète. » Simone de Beauvoir (1908-1986) « On ne naît pas femme

dont nous venons de parler, rend d’autant plus percutante l’apodose, plus brève, qui sonne comme une clausule cinglante et désabusée. Le discours tenu par La Bruyère est donc particulièrement sombre, ce qui explique qu’on ait pu le qualifier de « Cioran en perruque » (l’expression est de Patrick Dandrey).=> L’expression finale fait apparaître un thème récurrent de la critique des courtisans chez La Bruyère : celui d’une dévotion pervertie (le terme « dévoués », l. 17, appartient au champ lexical

Donc, la lecture de Proust aura été un élément clé dans la compréhension de son oeuvre, car celle-ci regroupe les mêmes thématiques. -Quelques exemples de l'entourage de Beckett Beckett était ami avec le philosophe et écrivain roumain, Emil Cioran. Celui-ci avait écrit un texte nommé : "De l'inconvénient d'être né". C'est un titre à mettre en parallèle avec Fin de Partie car une des grandes thématiques de cette pièce est que lorsque l'on naît, on entame nos "cent mille derniers quarts d'heure"

décisions, et paradoxalement de ne pouvoir « agir en son âme et conscience », définit bien ici la conscience comme receleur de liberté. Ce manque de liberté peut alors conduire à un mal-être, contrairement au bonheur évoqué par Fournier. Ainsi, Emil Michel Cioran écrit dans De L’Inconvénient d’être né : « La conscience est bien plus que l'écharde, elle est le poignard dans la chair. ». Ecouter ou non sa conscience reste un choix pour l’Homme. Si cette « petite voix » reste audible pour chaque

Trench Town [pic]> A mon sens, la musique renforce, aussi bien dans la joie que dans le drame, les sentiments.   [Jacques Demy] [+] Extrait de Le Monde -18 Février 1964 [pic]> La musique est une illusion qui rachète toutes les autres.   [Emil Michel Cioran] [pic]> Nous nous cachons dans la musique afin de nous dévoiler.   [Jim Morrison] [+] Cité par Jerry Hopkins dans la biographie Personne ne sortira d'ici vivant [+ [pic]> La radio et la télé resteront toujours, avec ou sans image, de