Empirisme logique

système de gouvernance des entreprises, Economie et Société, Sciences de gestion, Série SG, n°8-9 Coriat B, Guennif, S., (2000), “Incertitude, confiance et institution”, In Lauder R. et Orillard S. « La confiance en question », Paris, L’Harmattan, Logiques Sociales. Delerue, H. ; Simon H, (2005) : Management des relations d’alliance dans les PME de la biotechnologie : Confiance ou Contrat ? XIVème Conférence Internationale de Management Stratégique, Pays de la Loire, Angers Fenneteau, H. et Naro, G

GLOSSAIRE VERBES DE CONSIGNE A Analyser : décomposer une situation, un document en ses différents éléments, établir les liens entre eux et faire émerger un sens ; par exemple : la cause, la conséquence, l’évolution (pro­gression, régression, stabilisation...). Une analyse, au sens étymologique du terme, nécessite de décortiquer un problème (-lyse) puis de construire le savoir (ana-) ; elle nécessite une part de compréhension faite après observation, description ou constatation pour en arriver

qu’appliquait Euclide, qui avait des idées sur des éléments et parvenait à le démontrer par des expériences sensibles. A travers des idées intelligibles il parvient à démontrer celles-ci en les combinant ensuite avec ses facultés sensorielles. La logique possède des idées innées c’est-à-dire des connaissances que l’on possède depuis notre naissance car seuls des  « principes internes », comme la raison, peuvent nous confirmer. La métaphysique, dont découle la théologie, possède aussi des idées innées

dans une certaine mesure disparait et revient dans une autre forme ». On peut voir qu’il y a une certaine continuité des institutions de l’Etat. Mais elle se transforme tout de même. Il faut les situer dans l’historicité pour mieux en comprendre les logiques. Comment essayer de définir l’Etat ? On peut admettre une pluralité de définition. Mais on ne peut pas quand même accepter comme valable une mauvaise définition. On fonctionne sur le modèle de la définition préalable. Une première définition qui

j’ai de la cervelle. C’est pas n’importe qui qu’aurait trouvé ça. » Cet effort de pensées, le seul sans doute qu’il accomplit | | |dans toute son existence, suffit à le transformer. Pascal a eu sa nuit. Charles-Hubert, lui, fut visité par la logique. Ce jour-là, sans même qu’il | | |s’en aperçût, il passa de l’état de crémier à celui de spéculateur. Cet empirique devint un théoricien. Le palier décisif entre la médiocrité et | |30 |l’opulence était franchi. […]

recherche au CNRS. Ses travaux portent essentiellement sur la théorie sociale et la sociologie politique mais aussi sur des thèmes plus spécifiques comme l’école, le racisme ou le populisme. A l’école, sociologie de l’expérience s’inscrit dans la suite logique de Les lycéens de François Dubet publié en 1991, en allant plus loin car les auteurs s’intéressent à l’ensemble du système scolaire depuis le primaire jusqu’au lycée. A travers cette recherche, F. Dubet s’appuie sur sa théorie de la sociologie de

4. Les démarches scientifiques D’après André Giordan, la démarche scientifique consiste à « faire émerger des éléments observables ou quantifiables, de les confronter à des hypothèses, de pouvoir maîtriser la démarche pour éventuellement la reproduire et de pouvoir discuter tous les résultats »1. Toute démarche scientifique fait appel au raisonnement. Ce dernier s’appuie sur des faits expérimentaux, des lois, des propriétés d’objets,… Ainsi, observations, mesures, enregistrement de données, modélisation

jouent un rôle déterminant et imposent toujours les changements, de l’autre ceux qui pensent que les changements n’ont lieu que si, d’une manière ou d’une autre, ils sont acceptés par ceux qui ont à les mettre en œuvre. Selon les premiers, c’est la logique économique, la Bourse, qui mène le monde, et personne ne peut vraiment s’y opposer : les décisions dans les grandes entreprises sont prises pour des motifs financiers, cellesci ferment ou créent des établissements pour satisfaire leurs actionnaires

variable in the model.” L’article de Grossman et Stiglitz est fort int´ressant, mais il est fort e technique et pour cette raison il n’est pas appropri´ pour un cours e de premier cycle. N´anmoins, je crois qu’il est tr`s important de come e prendre la logique de leur argument. – La version semi-forte est la version qui est la plus difficile ` rejeter a empiriquement. En d´pit de ceci, il y a un certain nombre de parae doxes ou d’anomalies sur lesquels nous reviendrons. Nous parlerons de l’´valuation empirique

LA VERITE Il s’agit ici de déterminer qu’elle est la nature du vrai. Nature qui s’oppose au faux, à l’erreur et à l’illusion. La vérité se conçoit donc comme la qualité du rapport que le sujet entretient avec la réalité. Dans ce cadre, on distingue 3 types de vérité qui diffèrent selon leurs mode de justification et la manière dont elle appréhendent le réel . Une vérité révélée qui se dévoile à travers un sentiment intérieure une conviction intime qui est a elle-même sa justification Une