Enjambement

régulier avec une syntaxe simple, le second, en revanche, a des phrases complexes. Nous notons beaucoup d’enjambements (vers 4 ; 6) qui mettent en valeur le premier mot « vert », « rieuse », « d’ail ». Nous observons aussi, créé par les enjambements, des rythmes irréguliers. Nous pouvons aussi voir que le deuxième quatrain et les deux tercets se suivent sans qu’il y ait de pause ce qui marque un léger rejet des conventions poétiques. Nous pouvons aussi observer que les mots « plat » et

quatrième syllabe au vers un, deux et sept et tombe sur la deuxième syllabe du vers cinq et six. Cette césure permet de marquer des pauses dans le poème et ainsi d’instaurer un certain rythme. Il y a un enjambement au cinquième vers, le verbe de la sauterelle est reportée au vers suivant. Cet enjambement permet d’atténuer la pause à la fin du vers. La strophe est écrite sous la forme suivante AbAbCCCb. Nous avons tout d’abord des rimes croisées AbAb et ensuite des rimes embrassées bCCCb Ces

Qu'écarlates ou verts, près du Roi qui les raille, Croulent les bataillons en masse dans le feu ; » (V.3-4)  Une fois recouverts d'un uniforme, les soldats sont des pions que l'ont abat.  « croulent » : mis en avant avec un enjambement : montre le destin fatal des soldats + l'horreur de la guerre - « fait de cent milliers d'hommes un tas fumant ». (V.6)  métaphore : Transformation terrible des hommes en un tas fumant = cendre = mort  déshumanisation des hommes Transition

7. Le point d'exclamation traduit l'émotion, l'inquiétude, le trouble affectif où est plongé Hernani. 8. Le rythme de l'alexandrin (6/6) est irrégulier aux vers 6 (3/9), 11 (3/3/3/3), 12 (2/10), 14 (3/9), 17-20 (1/5/1/5 - 10/2 enjambement 4/8 - 4/8), 23-24 (3/3/6 enjambement 6/6), 29 (3/9). Ces ruptures mettent en valeur l'élan passionné et les tourments du héros. 9. Au sens propre, épouser signifie «se marier» (dans ce cas Hernani se réfère à doña Sol); au sens figuré, on dit épouser une cause, les

cette femme. Remarquons que le poète fit rimer «majestueuse» et «fastueuse», répéta donc le mot «tueuse» qui annonce l’idée du danger que présente la Femme. La construction du vers ménage aussi ce qui se révèle être une inversion avant un autre enjambement. Ainsi, Baudelaire fit attendre, et mit donc en valeur, dans le vers 4, un mouvement qui est non seulement dynamique («Soulevant») mais aussi quelque peu léger («balançant le feston et l'ourlet»). On trouve aussi cette union du soulèvement et du

contexte, le mot représente une errance insouciante et l'imagination du poète qui divague à plusieurs moments du poème (« ombres fantastiques »). Il symbolise aussi la liberté du sonnet, qui a un rythme particulier à cause des rejets (vers 6-7), des enjambements entre des strophes...,et la liberté de son vocabulaire parfois un peu familier « crevées », « patelot » et des rimes insolites « crevées/ rêvées », « trou/ frou-frou ». Dès les premiers mots, on voit que ce poème traite d'un voyage « je m'en

obstacles , des malheurs auxquels les hommes sont confrontes : la gradation « vent », « orage », « cyclone » insiste sur la grandeur de ce malheur, de même que les assonances et allitérations en « on » et « r » dans « gronde » et « profond », et que 1’enjambement interne du vers 16. Ces personnages et cet événement symboliques, caractéristiques d’un apologue, permettent à Anouilh de développer une nouvelle morale. 3- Une nouvelle morale :la morale d’Anouilh est différente de celle de La Fontaine. a)

B. La dernière scène nous offre le récit topique de la mort du héros (esquisse plutôt que développement) - Cinq vers seulement mais qui forme une phrase qui semble plus ample qu'elle ne l'est grâce aux enjambements : ce qui crée une sorte de dilatation de l'action racontée. Du reste le récit est interrompu par Eurydice ; Le récit qui suscite l'effroi n'est pas matérialisé sur la scène mais transfiguré» par le récit et l'imagination du spectateur qu'il sollicite, Ainsi l'ultime

nombreux enjambements qui violent parfois sévèrement la logique grammaticale. Il y a donc un rapport entre cette difficulté, les mots qui la disent et la disposition des vers. Le diseur aussi est en équilibre instable et c’est à cause de cette difficulté que la mûre n’est cueillie qu’au milieu du poème, ce que signale par ailleurs le blanc typographique : « se tend en un effort inouï de/ tendresse, la mûre ». Ainsi, le poème de Darras tente de reproduire la réalité notamment grâce aux enjambements qui

Financier = associé à l’argent ($). Champ lexical de l’$ important. Sens de la Fable = influence de l’$ / les gens heureux. Tant que le savetier n’en a pas = heureux, insouciant (Cf. : enjambements v. 18-19, 19-20,20-21) //vie au jour le jour. Dès qu’il a 100 écus, le savetier = angoissé / l’avenir (Cf. enjambement v.38) ( joyeux - - -> avare, peureux, anxieux 2 3 Le renversement des valeurs : destruction du bonheur par l’argent. Valeurs associées au Savetier s’inversent dès qu’il entre en