Enjambement

ardemment des senteurs confondues », « la gourde où je hume (respire) à longs traits le vin du souvenir ». Le parfum devient une sensation tactile, intense.   Les enjambements sont fréquemment utilisés pour mimer l’envol de l’imagination, l’agrandissement de l’espace, la multiplication des sensations : les enjambements les plus significatifs sont ceux qui débouchent sur un second vers énumératif, ce qui accentue encore l’impression de rythme en expansion. Dans les quatre exemples qui suivent

prosaïsme. La versification se présente comme décousue, pour appuyer l'aspect de note de voyage avec six enjambements qui cherchent à allonger le vers, comme au vers 5-6 : "j'allongeais les jambes sous la table - Verte" le poète allonge les jambes comme il allonge le vers ou alors au vers 3-4 : "des tartines - De beurre" où il prolonge le plaisir de la tartine sur le quatrième vers. Ces enjambements prolonge les vers comme si ils tendaient vers la prose. Puis, les rejets v. 4-6-13 : "De beurre" ; "Verte"

assonance en [ã]. 4/ Le rythme des vers La combinaison de la phrase et du vers contribue à créer des rythmes particuliers par : • L’ enjambement : la phrase d’un vers se prolonge sur le vers suivant. - Tout va de pis en pis : les cités qui vivaient - Tranquilles ont brisé la foi qu’elles devaient. (Ronsard) • Le rejet est une variante de l’ enjambement ; il consiste à rejeter un élément court. - Accrochant follement aux herbes des haillons - D’argent ; où le soleil, de la montagne fière

du bien-être « adorable », « rieuse » : donnent un sentiment d’un auteur qui est à son aise * Le poète exprime à travers ce sonnet des sentiments de bien-être. Mais c’est aussi un poème qui est vivace et moderne. II. La provocation - Enjambements (rejet au vers suivant d’un ou plusieurs mots nécessaire au sens du premier vers) v.7, 10, 13 : mettent en valeur le premier mot « vert », « rieuse », « d’ail » -> rythme irrégulier - 2éme quatrain et les deux tercets se suivent sans pause

nettement croissant 2/10; trimètre remarquable qui repose sur l’anaphore et le parallélisme grammatical trois infinitifs présents . 243-244:enjambement qui amplifie la souffrance . 246: le dissyllabique en position initiale signifie encore plus nettement le congé . 251/252: enjambement qui souligne la toute puissance du politique ( la force supérieure, le fatum de la tragédie antique ) . 257: « et la mienne »

Qui chantent / les transports / de l’esprit / et des sens. 3 3 3 3 Enjambement C'est un effet de rythme qui consiste à enjamber et supprimer la pause de la fin du vers pour se poursuivre dans le suivant : La Nature est un Temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles L'homme y passe

normale. Majuscule à chaque début de vers et aucune virgule ajoutée. Dernière strophe ponctuation un peu plus particulière avec le ; et les quelque majuscule ajoutée par importance selon moi. Question 6 : Rimes et enjambement de vers Présence de rimes alternés/croisés de forme ABAB Enjambements des vers en contre-rejet Question 7 : Temps de verbe Le poème est écrit au présent Question 8 : Figures de styles Personnification : Vers 11 : «infâmes araignées», on essaie de donner plus d’importance et de peur

couvercle”-métonymie : “l’esprit gémissant” = le poète-métaphore : “verse”-oxymore : “un jour noir”-enjambement des vers 1-2, puis 3-4-allitération en K-rythme régulier 3/3//3/3 ou 6/6-rimes croisées Les deux prop. Sub. Circ de temps créent un effet de lourdeur, de poids, de pesanteur , renforcé par les enjambements qui traduisent la continuité. Le sentiment d’enfermement du poète que permet de visualiser la comparaison

assez régulier avec une syntaxe simple, le second, en revanche, a des phrases complexes. Nous notons beaucoup d’enjambements (vers 4 ; 6) qui mettent en valeur le premier mot « vert », « rieuse », « d’ail ». Nous observons aussi, créé par les enjambements, des rythmes irréguliers. Nous pouvons aussi voir que le deuxième quatrain et les deux tercets se suivent sans qu’il y ait de pause ce qui marque un léger rejet des conventions poétiques. Nous pouvons aussi observer que les mots « plat » et «

sauvage, animal insaisissable → vagues -métaphore commence avec v1 « moutonnant » = écume de la mer. V5 « agité » v9-10 « voguent/nage » v13 « la houle qui m'enlève » v14 « mer d'ébène » v15 « de voiles, de rameurs, de flammes et de mâts » =Enjambement mime le mouvement de la mer qui ne s'arrête pas . V26 « ports.. vaisseaux » v22 « océan » v23 « roulis » = mouvement de la mer. Séquence II | LA CHEVELURE - Baudelaire | Texte 3 | *métaphore filée forêt = v8 « forêt aromatique »