Enjambement

avec une valeur générique, cette fable s’appliquerait à toutes les femmes. Vers 1 et 2 : (contradiction entre l’avis de l’auteur qui exprime ses opinions et le point de vue misogyne) Noter la présence d’alexandrins et d’octosyllabes avec des enjambements. Dès le premier vers Jean De La Fontaine ouvre la fable sur un « Je » repris dans les vers 3 et 5 et inclus dans le « nous » vers 4. Les verbes qui sont en dépendance avec le « je » expriment un avis (« je dis », « j’avance », «nous le regrettions

quatrain : adresse aux confrères tercets : toast à la poésie Le ton du poème reflète le caractère léger et enthousiaste du banquet : l’absence de ponctuation forte associée à un mètre bref (l’octosyllabe) et les divers rejets et enjambements créant une grande fluidité incitent à lire le sonnet d’un seul trait, au rythme de la parole. V 1 et 2 : -Ce poème, fût-il inédit (« vierge vers »), n’est « Rien », à l’image de l’écume de champagne qui disparaît rapidement, si on ne le considère

lors de la méiose. Il y a des brassages interchromosomiques, les différents chromosomes constituant une paire migrant indépendamment vers les pôles de la cellule, mais aussi des brassages intrachromosomiques, également appelés « crossing-over » ou enjambements. Un crossing-over consiste en l’échange d’une partie de chromatide au sein d’une paire de chromosomes homologues. Il existe deux types d’enjambements : L’enjambement génétique « classique » : échange de parties de chromatides se trouvant au même

soleil et aux sphères étoilées. Toutefois la première strophe ne se termine que si on poursuit la lecture au vers 5 à 8 qui semble préciser le sujet abordé par le poète. Il évoque l’élévation de l’esprit et ensuite la personnification de cet esprit. Enjambement dans les vers 7 et 8 pour donner une idée de profondeur de l’état de l’esprit. La seconde strophe débute par le déterminant possessif « mon » ce qui confirme non seulement le registre lyrique du poème mais précise le sujet de cette première phrase

« voyou ». Sur le plan de la versification, le vers 2 reporte sur le vers 3 les termes indispensables à sa compréhension par un enjambement hardi : « Un voyou qui ressemblait à Mon amour vint à ma rencontre » Permettant de positionner « voyou » et « amour » en tête de vers, cet enjambement met ainsi en relief les deux mots clefs de la strophe. Cet enjambement est osé dans la mesure où il place à la rime un terme grammatical, la préposition « à », qui est vide de sens propre. Or, selon l’usage

sorte de note de voyage. Ce voyage nous est décrit avec précision et réalisme, à pied, avec des chaussures usagées, s'y ajoute la précision de l'heure, 17 heures. Les rejets qui ont motivé son départ sont présents dans tout le poème, il y a six enjambements (v.1,3,5,6,12,13) ; trois rejets (v.4,6,13) ; et un contre-rejet (v.13) ; tout est improvisé, décousu et traduits par des alexandrins dissymétriques, mal découpés, parfois boiteux comme le dernier alexandrin du premier tercet dont la longueur n'est

la lenteur du temps qui passe. B) Le poème est une complainte sur l’amour disparu Comparaison eau/amour : «  L’amour s’en va comme cette eau courante » vers 13. v.1-2 : eau du fleuve = amour qui s’en va fuite du temps, de l’amour perdu Enjambements : -« Coule la Seine »/ « Et nos amours » v.1-2 → sujet inversé, : expression de l’amour éphémère. -COI de souvenir v. 3 : nostalgie des souvenirs -« Faut il qu’il m’en souvienne » v. 3 : si c’est une ?: incompréhension du poète (abandonné 

être après « fit » mais ce mot, dans une bonne diction, ne peut être accentué. La coupe après cheval est très forte. f) Répartition des pauses ; enjambement La césure et la fin de vers appellent des pauses : aussi peut-on s’attendre à y trouver les pauses de sens que marque la ponctuation. Mais ce n’est pas toujours le cas. * On dira qu’il y a enjambement quand la fin du vers sépare deux termes étroitement liés entre lesquels le débit normal ne réclame aucune pause. Parmi les effets d’enjambement

continuité entre les différents états de la Nature (matière concrète minérale qui renvoie au monde sensible, visible // matière vivante chargée d’une spiritualité mystérieuse et renvoyant au monde abstrait) sont exprimés par les deux enjambements des vers 1/2 et 3/4 : enjambement produit une idée de continuité, de symbiose. De plus, la fluidité des alexandrins, qui se succèdent par paires dans le 1er quatrain, souligne cet équilibre subtil des deux versants du symbole (monde visible // monde abstrait).

trouble », « dissipe ») • Choix de rimes embrassées : mouvement circulaire • Rythme devient lui aussi de plus en plus ample : trois premiers vers ( 4/4 puis rythme ascendant (à partir du vers 6 les coupes fortes tendent à disparaître) • Enjambements (cf. v. 1-2, 11-12 et suivants) créent une dynamique de lecture qui limite les pauses III. Une composition baroque • Couleurs : couleurs flamboyantes (cf. v. 2 et 12) mises en relief par l’opposition avec la « nuit » • Lumières :