Enquête exclusive

dit donc que, comme les autres espaces maritimes du globe, l’Océan Arctique est un espace « convoité », disputé entre des états riverains (Russie, Canada, EtatsUnis, Danemark, Norvège) qui cherchent à obtenir une extension de leur zone économique exclusive (ZEE), cette portion de près de 400 kms au large des côtes où, d’après la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (créée à la Conférence de Montego Bay de 1982), la navigation est libre mais où l’état riverain est souverain sur les ressources

siècle dernier. Il s’agit d’un véritable moteur de développement économique et social du pays. Or ce secteur n’a connu son plein essor qu’à partir du début des années soixante-dix. Le potentiel biologique important que constitue la zone économique exclusive (ZEE) d’une part, et l’accroissement de la demande mondiale pour les produits de la mer, d’autre part, ont offert de grandes possibilités d’investissements rentables pour les opérateurs publics et privés. Ces deux éléments ont beaucoup changé les

qu'universelle, elle n'a aucun fondement objectif ou scientifique. Elle relève avant tout du sentiment et du sens commun. Seule l'action nous pousse à agir,jamais un raisonnement. Est donc vrai ou bon ce en quoi nous avons besoin de croire pour agir. - Enquête sur l'entendement humain (1748): ce résumé du Traité comporte un ajout concernant la religion, où l'esprit critique de Hume frise de près l'athéisme. La question des miracles comme preuve de l'existence de Dieu y est sérieusement mise à mal. Pour

Philo : Texte de Hume Hume était un philosophe écossais; il est né à Edinburgh en 1711 et est mort en 1776. Ses oeuvres principales sont Traité de la Nature Humaine (1739) et Enquête sur l'Entendement Humain (1748). Dans le texte extrait du livre I du Traité de la nature humaine, Hume prétend que le "moi" n'existe pas et que nos idées ne proviennent pas de perceptions ou de sensations. Dans la première partie du texte, Hume présente la thèse qu’il compte réfuter : il s’agit d’une thèse soutenue

Cet extrait de Traité de la nature humaine de David Hume révèle sa théorie basée sur la nécessité pour l'homme de vivre en société . Il développe ici ses arguments allants dans l'intérêt de la vie en communauté . En premier lieu , Hume compare l'homme aux autres animaux, il distingue chez ce dernier une insuffisance de moyens pour un nombre incalculé de besoins contrairement aux autres espèces. Puis, il approfondie sa comparaison et renforce son argument en utilisant le lion comme exemple. Ensuite

HUME (suite)- Enquête sur l'entendement humain   SECTION III: De l'association des idées       Pour Hume l'association des idées se fait sur trois "principes de liaisons": La ressemblance : "La vue d'un portrait nous fait forcement penser à l'original" La contiguïté: "Parle-t-on d'une chambre, nous sommes amenés à nous enquérir ou à parler des autres chambres de la maison." Le cause à effet: " (…) si nous pensons à une blessure, à peine nous est-il possible de ne pas réfléchir à la

faiblesse de l'homme; celles-ci trouvant leur origine dans le caractère fragile et éphémère de l'existence. Bibliographie : Traité de la nature humaine (1740), Essais moraux, politiques et littéraires (1741-1783), Essai sur l'entendement humain (1748), Enquête sur les principes de la morale (1751), Histoire d'Angleterre (1762), Dialogues sur la religion naturelle 1779). Citations de David Hume : "Toute connaissance dégénère en probabilité." (David Hume / 1711-1776 / Traité de la nature humaine / 1740)

Cercle de lecture Roman: Le meurtre de Roger Ackroyd Rôle: Synthétiseur Tout se passe dans une petite ville d'Angleterre, King's Abbot. Dans cette ville, tout le monde est au courant de tout et plusieurs ragots circulent. Tout commence quand le Dr James Sheppard est appeler à diagnostiquer le corps de Mrs. Ferras, une dame riche de la ville, décédée durant la nuit. Elle serait morte d'une trop forte dose de véronal. Certains supposeraient même un suicide... Mais pourquoi une jeune dame fortunée

Dans ce texte extrait du Traité de la nature humaine, Hume s’interroge sur les rapports entre les hommes qui vivent en commun. Comment, à partir du moment où les hommes sont toujours animés essentiellement par des passions égoïstes, faire en sorte qu’une vie en commun soit possible ? La question qui se pose ici de manière d’abord générale s’adresse aussi particulièrement au moraliste et au politique. L’un et l’autre s’attachent, en effet, à penser les conditions d’une vie en commun. Pour tenter de

 Il y a certains philosophes qui imaginent que nous avons à tout moment la conscience intime de ce que nous appelons notre moi; et que nous sommes certains, plus que par l'évidence d'une démonstration, de son identité et de sa simplicité parfaites. La plus forte sensation et la plus violente passion, disent-ils, au lieu de nous distraire de cette vue, ne font que l'établir plus intensément; elles nous font considérer leur influence sur le moi par leur douleur ou leur plaisir. Essayer d'en fournir