Enron

ont   parfois   accentué   les   difficultés  (Brésil  en  1999,  Argentine  en  2001).       -­‐   En   2001,   Standard   &   Poor’s   et   Moody’s   notent   la   société   Enron   en   catégorie   «  investissement  »,   la   meilleure.   Quatre   jours   plus   tard,   la   société   déclare   une   faillite.     -­‐   Lors   de   la   crise   des   subprimes

sont votées pour satisfaire des intérêts particuliers. Le scandale de la crise énergétique illustre cet état de fait. En 1996, les parlementaires ont dérégulé le secteur énergétique. Cette nouvelle législation a permis aux grands du courtage comme Enron de réaliser des profits énormes mais il s’en est suivi un effondrement de l’offre jusqu’à provoquer des pannes d’électricité géantes. Or il a été mis en évidence que 22% des élus de la chambre des représentants de Californie étaient extérieurement

son chiffre d'affaires de 1,3 milliards de dollars. 2002 : Crise en argentine Les faillites vont affecter tous les secteurs. Outre les télécommunications avec WorldCom (21 juillet 2001) et Global Crossing ( 28 janvier 2002) , l'énergie avec Enron (2 décembre 2001) et Pacific Gas and Electric Co, le câble avec Adelphia et NTL, la distribution, avec K. Mart (22 janvier 2002) et la finance (Finova Groupe ) 2008 : Crise des Subprimes qui ressemble énormément à la crise de 1929 avec la titrisation

stock-options lié stock- – Réduire la masse salariale à court terme – Inciter les salariés à accroître la valeur de l’entreprise salarié accroî l’ – Garder les salariés stratégiques salarié straté La solution : L’actionnariat des dirigeants L’ Enron : l’échec d’un système de rémunération l’échec d’ systè ré muné Un nouveau modèle à trouver modè Stock-options et marchés financiers Stockmarché – La chute des marchés financiers ou la faillite réduit la valeur des stock-options marché ré stock–

cotée et les investisseurs. L’analyste financier reste certes une référence en matière de conseil en investissement financiers mais son appréciation peut être contestable dans certains cas. Que ça soit une erreur ou omission volontaire (l’affaire Enron) ou même involontaire : l’analyste financier peut se tromper et une marge d’erreur reste toujours présente et discutable. BIBLIOGRAPHIE • Dictionnaire des marchés financiers, J.Antoine & M-C.Capiau-Huart, 1ère édition de Boeck, 2006

culturelles, environnementales… F) La faillite d'Enron, la corporate governance en échec ▪ Après l’euphorie des 1990s, on entre dans des turbulences (e-krach, scandales boursiers…). ▪ On met au jour les fraudes des dirigeants de géants comme Enron : c’est l’ « économie de mensonge ». ▪ Cela révèle les dysfonctionnements du nouveau capitalisme et d’un de ses objectifs, la hausse de la valeur boursière de la firme à tout prix (rachat d’actions, fusions-acquisitions, montages douteux…). ▪ Du

son rendement était de +8,8% en 2007 et encore de +0,3% au pire de la crise de 2008. En 2009 sont rendement était toujours nettement positif. 4/6 Bien sûr, la capitalisation a des désavantages, on peut penser aux salariés de Maxwell ou de ENRON, qui, quand leurs entreprises ont fermé ont perdu leurs emplois et leurs retraites qui étaient investies en actions dans l'entreprise, on peut aussi penser qu'elle n'est réservée qu'aux personnes aisées qui peuvent se permettre d'économiser, de capitaliser

toujours plus efficace que le secteur public [Henry, 1999 : ] et ces méthodes de management ne sont pas aussi parfaites. Elles ne paraissent pas irresponsables et infaillibles comme l’ont montré les nombreux scandales financiers de ces dernières années [Enron, Worldeon, Xerox, Ford et autres, les banques qui font faillites, etc.]. Donc, il n’existe pas des systèmes infaillibles. Comme le dit Bartoli (2005 :419). Les méthodes du NMP doivent mieux tenir compte de la nature des organisations. « Ces pratiques

comptabilisation des réserves latentes qui permettront par la suite le lissage du résultat. Place au criticism ’’To be prudent (or not to be ?), That is the question’’ La dernière décennie a était caractérisée par de nombreux scandales financiers (Enron, Parmalat, affaire des subprimes...), et parallèlement par la comptabilisation des instruments financiers en référence à une valeur de marché tant dans les normes IAS que dans les normes américaines au mépris des principes comptables traditionnels

sur les marchés financiers par rachat des produits qualifiés de « toxiques ») a permis d’atténuer les effets de la crise. De plus, les scandales financiers des années 90 montrent qu’il est nécessaire d’établir des règles de contrôles. L’affaire Enron a mis en avant les fraudes du cabinet d’audit Andersen qui faisait partie à l’époque des cinq plus gros cabinets d’audit au monde. Ces divers scandales financiers montrent par ailleurs que le néolibéralisme actuel est caractérisé par un capitalisme