Entrons dans la danse

la malnutrition, les orphelins squelettiques, les cadavres abandonnés dans la rue, les rafles et les insurrections des Juifs. 26 — © Cned, Français 3e © Cned – Académie en ligne Séquence 3 SÉQUENCE 3 A – Le paratexte Séance 1 Entrons dans le texte : étude du paratexte et du prologue c c 1- L’auteur de ce roman est Ivan Tourgueniev (1818-1883). C’est un auteur russe. Il était l’ami de Flaubert et de Zola. Il a écrit des nouvelles, des romans et des pièces de théâtre. 2-

conduisant, il essaie de m’encourager de ses sourires et de petites phrases toutes faites que je dois mémoriser. Mais je me sens toujours terriblement mal. Les souvenirs commencent à s’insinuer dans mon esprit lorsque nous entrons sur le parking. Hardin à genoux dans la neige… Les explications de Zed à propos du pari… Je déverrouille rapidement ma voiture et saute à l’intérieur pour éviter l’air froid. Une fois à l’intérieur, j’ai un mouvement

rencontré sur la plage. De plus, je n’arrête pas de penser à la nouvelle. Autant mettre fin à cette histoire sans avenir avant qu’un drame se produit. - Hey man, qu’est-ce que tu fais tout seul dans un coin ?, me demande Krutis. - Il mate les nanas dansé, annonce Craig. - Bon quand vous aurez fini de parler de moi en faisant comme si je n’étais pas là, on pourrait peut-être aller quelques bières. - En route !, hurle Mason heureux de s’en envoyer quelques-unes. Alors que les mecs avancent vers les

désœuvrées, seules ou à plusieurs à attendre. On a l’impression qu’on les a posées là comme des objets comme parquées. Ce n’est peut-être pas un hasard si on entend dire « qu’on place les personnes âgées ». Une animatrice gesticule, chante faux et danse mal. Manifestement ce n’est pas son métier. On a l’impression qu’elle cherche à donner une bonne image de la maison de retraite. Cela parait surfait ; je me doute qu’on est dans le décorum comme si l’on appliquait du vernis pour raviver un vieux meuble

les retire ; le moment nous favorise : rien n'arrive à Bizerte, à Élisabethville, dans le bled algérien que la terre entière n'en soit informée ; les blocs prennent des partis contraires, ils se tiennent en respect, profitons de cette paralysie, entrons dans l'histoire et que notre irruption la rende universelle pour la première fois ; battons-nous : à défaut d'autres armes, la patience du couteau suffira. [22] Européens, ouvrez ce livre, entrez-y. Après quelques pas dans la nuit vous verrez des

mettre suffisamment pour que le spectateur puisse suivre le récit et s'y intéresser. Nous y reviendrons. La fin de l'exposition peut être établie quand le protagoniste, ayant déclaré son objectif, met en oeuvre les moyens pour l'atteindre. Nous entrons alors dans une nouvelle phase de l'histoire, un nouvel acte. Le Développement Dans cette partie, temporellement la plus importante du film (la moitié de la durée totale), nous découvrons les moyens que le protagoniste met en oeuvre pour tenter

le palier, avec une lumière, jusqu’au-delà de l’heure fatale, et lui promet une récompense si la sonnerie n’a pas lieu. A une heure du matin, le concierge voit avec consternation le cordon de sonnette se mettre en branle de lui-même, le gland rouge danse avec frénésie le long du mur. Le conservateur ouvre, de son côté, et ne voit devant lui que le concierge faisant des signes de croix. - C’est l’âme de votre prédécesseur qui revient : - L’avez-vous vu ? - Non ! mais des fantômes, cela ne se voit pas

de la sorte des sautes d’analyse singulières, souvent à quelques lignes de distance ; ce sont de continuels crochets, qui déroutent et qui donnent à l’œuvre un caractère voulu. Sans doute, l’homme est plein d’inconséquences ; seulement, cette danse du personnage, cette vie du cerveau notée minute à minute, et dans les plus petits détails, nuit, selon moi, au train plus large et plus bonhomme de la vie. On est presque toujours là dans l’exception. C’est ainsi que les amours de madame de Rênal

découper les Balkans pour les séparer du continent. » Sonia Zoran, Le Nouveau Quotidien, 15.4.94 5) La plupart du temps, nous cherchons en l’autre les similarités, nous voulons absolument que l’autre ait le même cadre de référence que nous. Sinon nous entrons dans la comparaison, dans la jalousie ou dans la rivalité. Et nous entamons des jeux de pouvoirs car nous ne nous sentons pas pleinement à l’aise avec la différence. Norbert Apter, Vivre avec la différence . 6) « Je suis l’autre. Comment est-ce possible

au-delà de toute expression. Je vais bien mettre une semaine à démêler toutes ces émotions. Le bar est bondé, bruyant ; la piste de danse est prise d'assaut. Kate n'est plus à notre table et José a disparu. Levi, resté seul, a l'air perdu et pitoyable. — Où est Kate ? Il faut que je crie pour me faire entendre. Ma tête commence à puiser au rythme de la basse. — Elle danse, hurle Levi. L'air furieux, il scrute Christian d'un œil soupçonneux. Je passe à grand-peine ma veste noire et glisse la bandoulière