Épaule

1 : Première étape : L’échauffement est réalisé sur la musique, première découverte de la musique sur laquelle ils vont ensuite évoluer. Cette première étape sera l’occasion de travailler sur la dissociation : Je bouge uniquement ma tête, mes épaules, épaule droite puis que la gauche… Jusqu’au pied. Pour cette première étape les élèves seront placés en ligne et l’enseignant face à eux réalisera l’échauffement (penser à l’effet miroir). Bien insister sur la droite et la gauche. Deuxième étape : Faire

(Longueur/largeur= φ). Aux alentours de 1492 : L’homme de Vitruve Il est réalisé par Léonard de Vinci (1552– 1519). Le nombril divise l’homme en deux segments qui sont dans le rapport d’or : Distance extrémité main droite – épaule gauche Distance extrémité main gauche – épaule gauche Quand l’hommelève les bras avec les jambes écartées, il est inscrit dans un cercle dont le centre est son nombril. Quand l’homme se tient les jambes serrées et les bras à l’horizontal, il s’inscrit dans uncarré.

prendre de l’eau dans ses mains et souffler pour faire des bulles, s’asseoir dans l’eau est de déplacer progressivement pour avoir de l’eau le plus haut possible,… 2) Maîtrise de la respiration : accroupi dans le petit bain, de l’eau jusqu’aux épaules, inspirer par le nez, mettre la bouche dans l’eau et souffler pour faire des bulles ; accroupi dans le petit bain, inspirer par la bouche, mettre la tête partiellement dans l’eau en bloquant sa respiration et en ouvrant la bouche (permettra de comprendre

de course augmente au profit des périodes de marche. J’ai surtout trouvé mon propre rythme. J’ai commencé par courir 2 fois par semaine (le samedi et le mercredi). Avant chaque course, je prends soin de m’échauffer les chevilles, les genoux, les épaules et le cou. Après chaque séance je m’étire au moins pendant 10 minutes. 1ère étape : Objectif : Accéder à la course longue, trouver mon rythme de course. Comprendre comment mon corps réagit lorsque je cours. Sur les trois premières séances de 30

bien réelle. La présence de la vie dans ce poème est paradoxale, car le thème du poème est la mort. Cadou cherche à montrer l'humanité des personnes qui vont être tuées : «...pour leur épaule Qui est un monument d'amour » (v.4/5), le mot épaule est symbolique, il désigne le soutien, la fraternité, sur leurs épaules ils peuvent s'appuyer, se donner du soutien, c'est un sentiment collectif. « Ils sont exacts au rendez-vous » (v.20), parle de ce rendez-vous avec la mort, la dernière partie du destin

Conserver les épaules droites et de face. 4. Pour étirer les adducteurs droits : fléchir la jambe gauche en conservant la jambe droite tendue (inversement à gauche). 5. Les talons restent au sol et le dos reste bien droit (il ne faut pas se pencher en avant). LE TRICEPS SURAL (Mollet) En restant bien droit et les jambes tendues : 1. Avancer la jambe à étirer 10 centimètres devant soi. 2. Planter le talon dans le sol en redressant la pointe de pied vers soi le plus possible. 3. Avancer les épaules en avant

-Les mouvements des bras s’effectuent en avant des épaules. -la partie droite et la partie gauche du Corps effectuent les memes

LE BUSTE de BASE (lignes de constructon, racées d'éau. T. 48- Stature 1m80-Aucun élargissement 24-LE PRET.iPORTER HOMME uction, tracées d'égu querre) 1/20ème = 2,2cm 4 24cm /18ème = 2,4cm Poitrine: 96cm L2-48cm 4,4cm ur bas encolure: 44cm 1/5�me = 8,8cm 1/10eme Longueur taille dos: 46,6 Carrure dos : 39,5cm 1/2 19,7Scm Carrure devant :37cm 12 18,5cm Longueur d'épaule : 15,7em Echelle: l 12 23.3cm -JàJl = 5cm - J1 à Jlb = 2cm .Has= 1/18eme d' enc -Sur la bISsectrice H d'encolure -11

: enfants debout, jambes légèrement écartées, bien en équilibre " Ne mobiliser que la tête: # dire " NON " : ne mobiliser que la tête de la façon suivante: regarder derrière son épaule droite et tourner lentement la tête pour aller regarder derrière l'épaule gauche. Faire ce mouvement en disant sans arrêt , d'une épaule à l'autre " NNNNNOOOON ! " La classe produit ainsi un bourdonnement agréable. Recommencer plusieurs fois # dire " OUI " : ne mobiliser que la tête de la façon suivante: Regarder le

soir d’hiver. Son regard perçant faisait ressentir sont coté déterminé. Un nez fin et retroussé, des joues aussi creuses que le fond du puits sombre du désespoir. Dans toutes circonstances, il gardait une attitude prompte et gracieuse de par ses épaules étroites, des mains aussi douces que la soie, une démarche élégante, majestueuse et gracieuse digne des plus grands souverains de France. Il portait une redingote noire usée et un foulard blanc qui protégeait son cou lumineux, des ténèbres de cette