Épithète homérique

cyclope). Ulysse déclare son prénom chez les Phéaciens « Je suis Ulysse, fils de Laërte » Il est connu des mortels mais aussi des êtres divins. Ulysse, héros : -Ulysse est le pivot de l’épopée -retour de Troie à Ithaque = le sujet de l’œuvre -Epithète « inventif » à un double sens : détours/ruses -épopée raconte les errances d’Ulysse mais aussi ses exploits -Ulysse est omniprésent dans l’œuvre acteur ou préoccupation des hommes et des dieux -Ulysse est qualifié comme égal aux dieux -il

cérébrale lié à l'intelligence, la ruse mais aussi le mensonge ce qui ce rapproche beaucoup du caractére d'Ulysse car en effet grace à Athéna, il détient des qualités plus positive que négative ce qui lui permet d'avoir pour attribution des épithétes homériques comme " l'ingénieux Ulysse", ou encore " Ulysse le rusé" " industrieux Ulysse" il est donc liée aux Dieux par rapport à Athéna " L'homme au divine pensé" . La déesse a permit à Ulysse de rencontrer les bonnes personnes au bon moment notamment

style élevé : héroï-comique V 3 : Evocation du combat placé sous le signe d'Homère '. allusion au Xanthe V5 Longtemps : siège de Troie dura 10 ans. Le bruit : prestige des grandes légendes. La gent qui porte crête : périphrase calquée sur les épithètes Homériques V16àl8 : Ces préparatifs de revanche sont placés sous le signe de Virgile Géorgiques, III, 224Ù241, qui évoque un taureau vaincu : emphase produite par la reprise des mêmes mots que Virgile, Amours, exerçant, vent. 3ieme axe : l'ironie

Le rival Prométhée 1.4.4 Le combat contre Typhon 1.5 Épouses 2 Fonctions 2.1 Le dieu du ciel 2.2 Un dieu justicier et protecteur 2.3 Un dieu bienfaiteur et sauveur 2.4 Dieux similaires 3 Les sanctuaires 4 Une mythologie unifiée 5 Amours 6 Épithètes homériques, attributs et sanctuaires 7 Voir aussi 7.1 Sources 7.2 Bibliographie 7.3 Articles connexes 7.4 Notes Mythologie Étymologie Tétradrachme royaume Seleucide représentant Zeus Le nom Zeus (nominatif : Ζεύς / Zeús ; vocatif : Ζεῦ / Zeû ; accusatif

Crépuscule de Guillaume Apollinaire Introduction: Guillaume Apollinaire, publie son recueil Alcools en 1913. Ce dernier constitue une grande partie de son œuvre littéraire et nous dévoile son esthétique et ses thèmes de prédilection. Le poète y expose, dans un habile jeu d'écriture entre tradition et modernité, des sujets aussi variés que récurrents comme la quête de la modernité poétique ou la déception amoureuse. Le titre est également évocateur car il sous- entend une déclinaison de plusieurs

Zeus est tout ce qu’il y a au-dessus de tout. » Si certaines divinités furent adorées plus particulièrement dans certaines régions, Zeus est toujours demeuré le dieu universel honoré partout. Il fut véritablement le trait d’union panhellénique. Les épithètes (ou « épiclèses ») que reçut ce dieu paternel sont innombrables. Beaucoup de dieux de l’Olympe dans l’entourage de Zeus sont des personnifications de notions morales : justice, sagesse, beauté, destin, vengeance, etc., ou les instruments de lois

Eole + 2) Ses voyages Au cours de ses voyages, il devient de moins en moins barbare et de plus en plus sage. Ses voyage lui permette de devenir un héros, c'est-à-dire un model à suivre pour les autres. (Justification possible par les épithéte Homèrique de la version original) Les Cicones : C’est une sorte de transition, les cicones ont participé à la guerre de Troie du côté du Troyens les massacrer est donc « normal » pour Ulysse et ses compagnons. Les lotophages : C’est la première

confie pour qu'on l'aide, elle ne se voit pas décidé seule. Il s'agit d'un personnage sensible qui a une fonction dramatique, c'est une scène romanesque sentimentale, le registre est pathétique qui plaît à l'époque. Belle et désolée est une épithète homériques. Cette fragilité est illustrée par le fait qu'elle consulte, le père Tout-à-tous est désigné comme étant un bon confesseur (l.2). C'est à demi-mot qu'elle fait ses révélation, au début elle n'ose pas appelé St-Pouange elle dit (l.3 « un homme

jusqu’au savoureux « Tu causes, tu causes. C’est tout ce que tu sais faire » de Laverdure. Queneau affirme l’anaphore comme un outil majeur dans Zazie dans le métro. De plus, Queneau emprunte une forme de l’anaphore au plus grand en usant des épithètes homériques, notamment avec le personnage de Marceline. En effet, ses répliques sont toujours succédées de l’adverbe « doucement » mis à toutes les sauces. Ainsi Marceline « dit doucement », « répond doucement », « crie doucement »… Mais le travail poétique

v.85), du « vin doux comme le miel » (VII, v.182), de la « charmante ville » (VII, v.18) ou encore du « palais illustre » (VII, v.46). Ce procédé de sublimation est très régulièrement utilisé pour décrire ou même pour nommer. En effet, les épithètes Homérique deviennent toutes valorisantes : Nausicaa est qualifiée de « fille au beau visage » (VI, v.113) aussi, Alcinoos et appelé : « Alcinoos le généreux » (VI, v.299), « Alcinoos, Seigneur sacré » (VIII, v.2), « le noble Alcinoos » (VII, v.23) …