Equilibre Contractuel

Principes Le contrat est un accord de volontés : c'est la volonté qui fit naître l'engagement. Le droit des contrats est régi par les principes suivants : • L'autonomie de la volonté : la volonté suffit à faire naître l'engagement, • La liberté contractuelle : on est libre de contracter ou de ne pas contracter, • La force obligatoire des contrats : les conventions légalement formées tiennent lieu de loi entre les parties. • La bonne foi : les contrats doivent être exécutés de bonne foi. Le

idée débouche sur un principe de liberté contractuelle, ce principe va jouer un grand rôle dans le droit des contrats ( ce rôle décline quelque peu actuellement ) . Toutes personnes est donc toujours libre de contracter pourvue qu’elle soit capable, réciproquement toute personne est libre de ne pas contracter . La vie moderne cependant nous contraint à contracter et ce d’un point de vue économique par exemple . À l’origine on a pensée que la liberté contractuelle, préservait la justice est l’équité du

On s’engage mais s’en aucun avantage. Souvent le juge sera moins dur avec le débiteur. Ex : donation, on prête de l’argent mais s’en intérêt => souvent contrat unilatéral. B. FORMATION DU CONTRAT 1) Les principes de base a) La liberté contractuelle = on fait ce qu’on veut. Elle se triple : 1. Contrat si on veut 2. Avec qui on veut 3. Sur ce que l’on veut + Les exceptions à ce principe : • Obligation de contracter. • Obligation de contracter avec un partenaire précis. • Obligation

avoir dû régler des prestations. La masse des primes collectées permet donc de verser une indemnité aux sinistrés. Pour l’assureur, la mutualisation des risques entraîne deux conséquences : – la sélection des risques de manière à rechercher un équilibre entre risques sinistrés et risques non sinistrés ; – le calcul du montant des primes à faire verser par les assurés, déterminé par un calcul de probabilités. La mutualisation des risques présente des limites : certains risques aux conséquences

autres à donner, à faire ou à ne pas faire quelque chose. Il existe à ce titre plusieurs classifications du contrat, à savoir : la classification légale et les classifications doctrinales faites pour prendre en compte la diversité des relations contractuelles existantes. En ce qui concerne tout particulièrement la classification légale, l’on y trouve les contrats à titre onéreux, qui sont des contrats par lesquels chacune des parties recherchent un avantage, notamment une chose, un service ou un prix

les conditions d’un éventuel engagement au cours de ce que l’on appelle les pourparlers contractuels. Il arrive que cette phase viennent se greffer sur une relation contractuelle existante et qu’il s’agit alors de renégocier de renouveler ou de rompre. Mais le plus souvent et le plus classique est que cette phase intervient à un moment où les parties ne sont pas encore engagées dans les liens contractuels d’un contrat c’est-à-dire dans la période précontractuelle. Cependant, dans cette seconde

Commun aux régimes jur, mais ont une valeur jur incertaine et une portée relative. Paragraphe 1 : le principe de la liberté contractuelle   C’est un ppe dont la valeur jur n’est pas très explicite, on l’associe plutôt à un ppe Cel mais en réalité ce ppe n’a pas de valeur Celle en lui-même. A – l’absence de valeur constitutionnelle en lui-même Pour Cs Cel la liberté contractuelle peut néanmoins être invoquée si des atteintes sont portées à d’autres ppes constitutionnellement reconnus, il peut admettre

L’approche contractuelle : outil de maîtrise de risques juridique Introduction : Dans son sens courant le terme obligation renvoie à la notion de contrainte. Notion qui peut venir de la morale ou même de la religion comme par exemple : l’obligation d’aider son prochain. En droit ce terme obligation a un sens plus étroit : L’obligation se définit comme un lien de droit entre deux personnes en vertu duquel l’une d’entre elles (le créancier) peut exiger à l’autre (le débiteur) une prestation

du contrat et qui en détermine le contenu. Chacun a la possibilité de contracter ou de ne pas contracter, de choisir son cocontractant ainsi que les clauses du contrat. 3 : Les limites au principe de l’autonomie de la volonté et de la liberté contractuelle : - Le contrat peut être imposé (par la loi) Le cocontractant peut être imposé (par la loi) Le législateur peut limiter du choix du contenu du contrat Le législateur peut imposer des conditions de forme 4 : La force obligatoire du contrat

principe de lʼautonomie de la volonté Lʼobligation contractuelle repose sur lʼautonomie de la volonté des parties. Lʼautonomie de la volonté signifie que le contrat tant nʼa dʼobligation que parce quʼil lʼa voulu. Sʼil lʼa voulu il est obligé par cette obligation. Lʼautonomie de la volonté est la traduction dʼune philosophie et dʼune doctrine économique du 19ème siècle : celle du libéralisme économique qui se traduisait par un adage «qui dit contractuel dit juste». Lʼautonomie de la volonté a donc entrainé