Equilibre Monétaire Chez Les Classiques

trois acteurs, actuellement il y en a cinq. Mercantilistes la richesse provient de l’augmentation des métaux précieux dans l’économie, d’où les pillages. Ils s’opposent aux physiocrates et veulent augmenter les exportations. II- L’ÉCOLE CLASSIQUE (1700-1848) * École anglais : Adam Smith (1723-1790) et David Ricardo (1772-1823) * École française : Jean Baptiste Say (1767-1832) 1- Adam Smith (1723-1790) A Smith : « théorie des sentiments moraux » qui s’oppose à « la richesse de

fluctuations soulève le problème des causes, démarrages, entretien, et rupture de la croissance. Cette compréhension des causes renvoie à deux problèmes fondamentaux : les causes sont-elles endogènes ou exogènes ? Quelle est la place des phénomènes monétaires et financiers ? Il y a indéniablement multi-causalité ; il n'empêche que beaucoup d'études théoriques n'abordent qu'un point précis. Chaque théoricien apporte sa pierre à l'édifice et il y a peu de vue globale. Ainsi, l'enjeu de cette analyse

emploi à chaque instant. Le taux de croissance des salaires est donc bien fonction du chômage. CHAPITRE I : LA NOUVELLE ECONOMIE CLASSIQUE Introduction : Développée du milieu des 1970s aux USA sous l’influence de plusieurs auteurs, Lucas, Barro, Sargent, Wallace. Objet : expliquer les fluctuations économiques tout en conservant deux principes hérités des classiques : _les agents économiques sont rationnels. _les marchés s’équilibrent toujours, par ajustement permanent des prix à l’offre et

Chapitre 2 Rôle de la monnaie et politique monétaire A l’origine, il existait plusieurs formes de moyens de paiements pouvant aller selon les cultures et les époques des coquillages, aux galets, aux épices, têtes de bétail, métal,….On en trouve les premières traces modernes en Europe chez les Grecs anciens, au VIe siècle av. J.-C. Ainsi, le troc a servi de premier vecteur d’échange entre les Hommes. Le problème va naître sur la valeur des marchandises comme base de

fait: l'abondance de monnaie est perçue comme un signe de prospérité des affaires. Les États qui souhaitent s'enrichir accumulent des quantités d'or et d'argent. Il y a un lien entre l'abondance monétaire, la puissance des États et les conditions de financement du commerce en général: la masse monétaire, si elle est abondante, implique des taux d'intérêts faibles, qui sont donc favorables à l'investissement. Les mercantilistes sont déjà très élaboré; ils vont tenter de reprendre la loi de GRESHAN

politique. Au sens grec du terme, la politique c’est la vie de la cité. A partir du moment où les règles d’organisation sont élaborées, l’économie va pouvoir être l’une des discipline qui va faire en sorte qu’on atteigne ces règles politiques. Chez Platon et chez Aristote on a clairement une supériorité de la politique. Ils considèrent que l’économie ne doit pas être au centre car l’effet pervers peut être l’individualisme. ← Thales : (650 av JC) il a été l’un des premiers agents spéculateur.

de première année. Il constitue son prolongement mais change d’angle d’analyse. En effet, lors du premier séminaire de théories économiques, les élèves ont appris quelles étaient les sources de la création de la valeur (échange et usage) chez les auteurs classiques et quelles étaient les routes à suivre afin de jouir de la « Richesse des nations ». L’étude des textes d’A. Smith ou D. Ricardo a permis de mettre en avant les principes centraux que sont la division du travail et l’extension du marché

Les keynésiens eux font directement de la macroéconomie et refusent l’approche microéconomique.  A l’époque classique (18e-19e : de Smith a Walras) les économistes ne se posent pas la question du type d’approche, l’approche est directement macroéconomique, avec à l’intérieur, des éléments de microéconomie.  Dans les années 30, la grande dépression met à mal toute la théorie classique. Keynes met en évidence que la rigueur prônée a l’époque ne fait qu’amplifier le phénomène initial. La pensée

détermine la structure de la C et de l’S mais également, les conséquences sur le fonctionnement d’ensemble. A. Les déterminants du niveau de consommation et de l’épargne des ménages. ! 1. La Vision Keynésienne ! ! a. La loi psychologique de Keynes Chez Keynes se sont les variations de la demande qui sont moteur de l’activité économique. Quand il s’agit d’expliquer les fluctuations de l’éco, il se tourne vers l’Investissement (I). L’Investissement connait des soubresauts contrairement à la C qui est

Néolithique : économie de production + échange  agriculture, élevage, sédentarisation & spécialisation 3. Antiquité : Monnaie  économie agricole basée sur l’esclavage 4. Moyen-âge :  Monétaire, invention banque de dépôt, E.U = production locale 5. Renaissance & temps moderne : Amérique, afflux d’or = crise monétaire, naissance des premières entreprises 6. Révolution industrielle : Début du machinisme, travail devient salarié, révolution française, essor industriel, abolition esclavage, création