Équivalence ricardienne

que les impôts vont augmenter car effectivement, il faut financer le déficit. A partir de là, pour faire face à cette augmentation d’impôts, ils peuvent décider d’augmenter leur épargne. (+ d’épargne = - de demande) Ce principe est appelé équivalence ricardienne. D) L’effet d’éviction L’état a toujours deux options : - soit augmentation des impôts - soit emprunt Cette expression sert à désigner le fait que lorsque l’état emprunte pour financer son déficit budgétaire, il porte atteinte à l’activité

titre que les impôts vont augmenter car effectivement il faut financer le déficit. A partir de là pour faire face a cette augmentation d’impôts il peuvent décider d’augmenter leur épargne (+ d’épargne = - de demande). Ce principe est appelé équivalence ricardienne. * L’effet d’éviction Cette expression sert à désigner le fait que lorsque l’état emprunte pour financer son déficit budgétaire il porte atteinte à l’activité économique des entreprises (privées). C ‘est a dire qu’il y’a effet d’éviction

------------------------------------------------- L'équivalence ricardienne[modifier] Article détaillé : Équivalence ricardienne. L’« équivalence ricardienne » ou la « neutralité ricardienne » est une théorie économique également appelée « effet Ricardo-Barro » ou « théorème d'équivalence de Ricardo-Barro », énoncé en premier lieu par David Ricardo, économiste classique du XIXe siècle siècle, puis repris par Robert Barro en 1974. Selon ce théorème, il y aurait, sous certaines conditions, équivalence entre l'augmentation de la dette

en augmentant les impôts. La synthèse néoclassique conteste l’efficacité de ce mécanisme, en raison du phénomène d’équivalence ricardienne. Le théorème d’équivalence ricardienne a été énoncé en premier lieu par David Ricardo, économiste classique du XIXe siècle, puis repris par Robert Barro en 1974. Selon ce théorème, il y aurait, sous certaines conditions, équivalence entre l'augmentation de la dette publique aujourd'hui et l'augmentation des impôts requise demain pour le remboursement de cette

de plus que la moyenne des pays de l’OCDE. - Cette forte intervention de l’Etat français, afin de favoriser la consommation des ménages tout au long du XXème siècle, plonge aujourd’hui le pays dans un cercle vicieux. On retrouve les équivalences ricardiennes depuis 2007 avec les deux crises qui traversent la France : si l’Etat emprunte, il augment sa dette, les ménages anticipent une hausse des impôts et épargnent, donc la consommation diminue. ex : Selon l’INSEE, en 2013, la dette publique

augmentation de la demande grâce au déficit public (+ de G et – de T). C Les critiques sur la politique budgétaire - L’Etat, n’ayant pas intérêts à agir, n’est pas à même d’analyser la pertinence d’une dépense. - L’Effet d’Eviction (ou équivalence Ricardienne) : l’augmentation de la dépense publique entraine une diminution de la dépense privée. - Le Stop and Go : Relance publique => Rigueur => relance publique =>… - L’Etat ne peut se défaire de sa dette que par l’inflation, si cette dette

simplement d'une modification dans l'ampleur du déficit ou de l'excédent: si l'excédent augmente, le freinage s'accentue; si l'excédent diminue, le freinage s'allège. L'efficacité de cette politique est cependant contestée par les partisans de l' équivalence ricardienne. La politique budgétaire agit par l'intermédiaire du solde des dépenses et des recettes. Une même politique budgétaire –par exemple expansionniste– peut résulter soit d'une réduction des recettes (allégement d'impôts), soit d'une augmentation

rationnelles des agents →Les agents ne sont plus victimes de l’illusion monétaire →Lorsque l’Etat adopte une politique de relance, les agents anticipent les conséquences (nouvelle courbe de Phillips) →Relance de l’Etat est neutralisée → équivalence ricardienne Conséquences : Annoncer des règles et s’y tenir →Seul outil des gouvernements : annoncer des règles et renoncer à toute politique volontariste →Règles de comportement →Règles de droit : se lier les mains III) La gestion de la dette publique

de la masse monétaire en adéquation avec le taux de croissance économique. * Nouveaux économiste classiques : Pour BARO : il montre que les politiques conjoncturelles sont inefficaces en reprenant les principes d’équivalence ricardien. Équivalence RICARDIEN : c’est le principe selon lequel un déficit budgétaire n’a pas d’effet sur la demande car les agents économiques anticipent une hausse future des impôts afin que l’état rembourse sa dette. Autrement dit les agents économique vont d’avantage

En effet, une hausse des dépenses budgétaire affectant que peut le revenu permanent aura donc peu d’effet sur la consommation. Cette théorie sera renforcée avec les anticipations rationnelles. Anticipation rationnelle-Théorie de l’équivalence Ricardienne : Les agents prennent en compte toute l’information disponible et en moyenne raison dans leurs anticipations. Ainsi une hausse des dépenses budgétaires engendrera chez les agents une anticipation de basse des revenus futures s’il n y a pas de hausse