Erik L'Homme

un esprit de liberté qu'évoque l'atmosphère des années 1900[1] : les artistes novateurs sont nombreux dans le domaine de la peinture avec le fauvisme et le cubismequi ouvre le chemin à l'abstraction ou dans le domaine de la musique avec, en France, Erik Satie (1866 - 1925), Maurice Ravel (1875 – 1937) et plus tard Pierre Boulez, né en 1925. C'est aussi le moment où s'installe l'art du cinéma avec Méliès (qui ne deviendra parlant qu'à partir de 1927) et où la modernité s'impose aussi dans le domaine

Dans ce livre paru aux Editions Fayard, Erik Orsenna nous invite à suivre les traces d’un petit morceau de tissu en coton. Il nous explique les origines de cette matière première, les lieux et les enjeux de sa production. « Un homme qui passe remarque un arbuste dont les branches se terminent par des flocons blancs » et c’est le début d’une extraordinaire histoire. Les troupes d’Alexandre le Grand franchissent l’Indus en 326 avant Jésus-Christ, les populations croisées portent des vêtements

principales références : - Il est enthousiasmé par la musique de Wagner, Chabrier et Satie ainsi que par l'école russe tandis qu'au niveau littéraire, il se porte vers Beaudelaire, Poe et Mallarmé. - Par l'intermédiare de son père, il rencontre Erik Satie qui est une de ses référence. Titre : Ses années d’étude. Durant ses premières années au Conservatoire (1889-1895), il démontre un talent pour les nouvelles expériences. Durant cette période, il se lie d'amitié avec le pianiste espagnol Ricardo

costumes doivent être l’œuvre de peintres reconnus et la mise en scène fastueuse. Un des mots d'ordre de Diaghilev aux artistes était : "Etonne-moi !". Il engage ainsi : - les plus grands compositeurs : Igor Stravinsky, Claude Debussy, Maurice Ravel, Erik Satie, Francis Poulenc… - les plus grands peintres : Pablo Picasso, Marie Laurencin, Georges Braque. - les plus grands danseurs : la danseuse Pavlova et le danseur Nijinsky acquièrent dès les premières tournées une immense renommée. Igor Stravinski

1/ Presentation de l'auteur: Erik Orsenna est un auteur du 20ème siècle plus précisément , il est né le 22 mars 1947 à Paris. Il etudia la philosophie, les sciences politiques et l'economie; Il devient docteur d'Etat alors qu'il publie son premier roman. Il publie par ailleurs  7 romans alors qu'il s'occupe de tâches administratives . Il est elu en 1998 à l'academie française. Son père lui a apporté le goût du voyage, la mer et la musique, alors que sa mère lui transmet son goût pour la langue

d'Apollinaire, décédé l'année précédente. Cocteau l'introduit dans de nombreux cercles parisiens, où il rencontre Paul Morand et Erik Satie entre autres. En fin d'année, il débute l'écriture du « Diable au corps ». En 1920, il prend ses distances avec Cocteau par rapport aux dadaïstes, Breton et Tzara surtout. En mai, Cocteau, Radiguet, Georges Auric, Francis Poulenc et Erik Satie fondent la revue « Le coq », qui paraîtra jusqu'en novembre. Il publie son recueil de poèmes, « les joues en feu ». En

surface. La maîtrise de la langue écrite reste le maillon faible tant sur les plans lexical que syntaxique. Cependant, beaucoup de candidats ont gagné des points sur cette partie du devoir visant à évaluer leurs compétences d’écriture. Secteur B Erik ORSENNA, La grammaire est une chanson douce. Le texte extrait de La grammaire est une chanson douce a été très bien reçu par l’ensemble des professeurs et, notamment, par la richesse qu’il présente. Par ailleurs, le sujet demandé pour la rédaction

Aide fiche de lecture français 1 Raymond Radiguet [modifier] En 1918, il fait une rencontre qui exercera sur sa carrière une influence prépondérante : on le présente à Jean Cocteau qui aussitôt devine — « A quoi ? Je me le demande », écrira-t-il plus tard dans La Difficulté d’être — un talent caché. Enthousiasmé par les poèmes que Radiguet lui lit, Cocteau le conseille, l’encourage et le fait travailler ; il l’aide ensuite à publier ses vers dans les revues d’avant-garde, notamment dans Sic

l'exclamation de Diaghilev qu'il admire par dessus tout : "Etonne-moi !". La création du ballet Lui vient l'idée d'un spectacle qui devra être la synthèse de l'esprit moderne, "Parade", un ballet qui ne peut se concevoir sans Diaghilev. La musique sera signée Erik Satie et les costumes seront de Picasso. Cocteau lui, se bat pour imposer son argument, mais bientôt ses deux collaborateurs réussissent à ôter tout texte, toute parole, le privant ainsi de l'essentiel de son oeuvre. Mais qu'importe ! Cocteau cède

Cocteau et Erik Satie nous en ont dévoilé le fond. Il est parfois amusant de constater jusqu'à quel degré l'ineptie peut descendre. Mais sans doute n'était-ce pas le genre d'agrément qu'eussent préféré nous offrir les auteurs de cette tentative de rapins sur-réalistes. De l'argument ou thème, je ne parlerai point: où il n'y a rien, le critique perd ses droits. J'en ferais tout autant de la musique si force ne m'était de préciser la figure du compositeur. Sa réputation d'humoriste, M. Erik Satie se