Eros Et Thanatos

de pulsion de vie en parlant de la libido et de pulsion de mort en parlant de ce qui désassemble. Pourtant la libido éloigne de l’autre (pas de considération pour autrui, juste attiré pour un profit). La dispersion, assimilée par la psychanalyse à Thanatos, semble mal nommée également car elle assure la survie. Maintenir à distance ce qui fait mal pour pouvoir continuer à avancer sans trop souffrir ne ressemble pas à la mort mais à une stratégie de vie : assurer la survie de ce qui reste, afin de pouvoir

de volonté). 2. Une passion menacée : précarité de la vie, présence de la mort (champs lexicaux à relever, observer que la vie semble se retirer dans le premier tercet (gradation, « tarir », « cassée », « impuissante »; amour et mort, Eros et Thanatos tissent des relations paradoxales ; analyser le passage du verbe « mourir » à la périphrase métaphorique « mortel séjour » et de celle-ci à la personnification de la Mort, dans le dernier vers, personnification associée à un oxymore « noircir

et amour de soi pour se centrer sur l’idée de l’investissement du Moi par la libido. 2ème théorie des pulsions: A partir de 1920 («Au-delà du principe de plaisir»), Freud distingue les pulsions de vie (Eros) qui visent la conservation de la vie, du plaisir, et les pulsions de mort (Thanatos) qui tentent de détruire le travail des pulsions de vie. Tournées vers l’intérieur elles visent l’autodestruction (suicide, anorexie), tournées vers l’extérieur elles visent la destruction et l’agression. Tout

désigne tous les représentants psychiques liés aux deux grandes forces pulsionnelles traversant la nature humaine : - La force de vie ou libido, ou pulsion sexuelle que Freud symbolise par Eros, le dieu grec de l'amour. - La force de mort ou pulsion de destruction ou pulsion agressive que Freud symbolise par Thanatos, le dieu grec de la mort. Cette instance est une instance dynamique cherchant sans cesse à se satisfaire. Elle obéit au principe du plaisir. 2) Le moi. C'est une modification du ça

réalisateur français Roger Vadim (1960). Une vingtaine d’années plus tard, l’écrivain irlandais Bram Stoker signa le roman épistolaire Dracula qui deviendra la référence du genre. S’inspirant des œuvres suscitées, filant à son tour la dialectique Éros / Thanatos et empruntant le nom d’un personnage réel (un voïvode ayant gouverné la Valachie au milieu du 15ème siècle, surnommé « Vlad Dracul »), il fait de son héros un damné romantique, à la fois monstrueux et raffiné. C'est alors qu'en 1922, le réalisateur

(=donne certaine élégance) : beaux vers avec sens ignoble2.· description charogne renforce provocation : allusions sexuelles, comparaison « femme lubrique » v5, langage familier· décors idyllique et bucolique contraste avec l’immonde charogne· Eros et Thanatos se mélangent : « brûlante » v6 : double sens (fièvre, mort/feu du désir)· opposition poésie lyrique/description Baudelaire : · ventre » v8 (siège sensualité femme)/« plein d’exhalaisons » v8 (Baudelaire est « cynique » v7)· antithèse « soleil »

si effrayantes, si effarantes que soient les marques du passage du démon, il faut s’efforcer de les déchiffrer, comme l’analyse le fait des symptômes qui trouent le déroulement continu de la vie consciente, dévoilant les forces supérieures, Eros et Thanatos, qui, en sous-main, la dirigent, en en déplaçant le cours, dans un climat de constante intranquillité. La possession de Loudun, événement à tous égards extraordinaire, comme sur un théâtre où se jouerait un spectacle mené en sous-main par un

seconde, un modèle différent de la première (le principe de plaisir) est due à l’apparition des névroses traumatiques[4] (de guerre). Le sujet traumatisé ne peut plus refouler l’évènement traumatique qui devient envahissant. Freud, en opposant Eros à thanatos, met en place la pulsion de mort (la jouissance lacanienne). Freud en est arrivé à l’idée que le moi avait une partie consciente et une partie inconsciente parce que chez le névrosé traumatique, ce qui est inhibé, c’est le corps : il ne veut

la bonne ou mauvaise mine. La physionomie ou faciès: les traits assemblent une identité, en ressemblance aux parents ou grands-parents. Identité marquée par le milieu de vie, l’habitus social, le rapport à soi. L’attractivité (positive : éros ; négative : thanatos) est certes reliée aux représentations dominantes de la beauté, mais pas seulement. La préoccupation du moment : la musculature lisse (involontaire) se contracte, reflétant les états mentaux (tendu, détendu, soucieux, fatigué, etc…). L’expression

fixer un rendez-vous galant. Il assure lui parler « Aussi sérieusement que la Mort elle-même. » Jeu sur la double énonciation. Le spectateur peut comprendre l’implicite d’une telle phrase. Amour et mort se trouvent ainsi réunis (thématique EROS/ THANATOS). Le Duc « Catherine est un morceau de roi. » En choisissant sa chambre pour le rendez-vous, Lorenzo fomente son complot… il tisse la toile de son piège. Le duc, évoque la Cibo dont la présence le lasse. Il doit partir voir un cheval. La scène