Erving Goffman

sert la prison aujourd’hui ? Remplie-t-elle ses fonctions officielles d’enrayement de la délinquance ou n’est ce qu’une institution d’application d’une punition et de « gardiennage » ? Chantraine, suivant les traces de Goffman, considère la prison comme une institution totale, que Goffman défini ainsi « un lieu de résidence ou de travail où un grand nombre d'individus, placés dans une même situation, coupés du monde extérieur pour une période relativement longue, mènent ensemble une vie recluse dont

la déviance comme un fait social (analyse du crime chez Durkheim, typologie des modes d’adaptation individuelle chez Merton) des théories analysant la déviance comme processus (théorie de l’étiquetage de Becker, analyse interactionniste du stigmate chez Goffman).

la surveillance ». Dans la troisième phase, la chose devient publique et l’acte prend une forme déviante. L’entourage commence à s’inquiéter du phénomène et ordonne « d’arrêter ». Muriel Darmon, en s’appuyant sur les réflexions d’ Asiles de Goffman, montre comment l’individu passe du statut de « normal » à celui de « déviant » par un circuit d’agents. Ces agents sont souvent ceux qui faisaient partie du circuit interactif de la phase de commencement. L’approche interactionniste montre comment

très bien où la mettre!!!!) On retiendra dans les intérêts sociologiques de ce texte la recherche d'une analyse objective des faits historique (sans jugements subjectifs) qui s'écarterait de la bipolarisation Bien/Mal habituelle. D'après E. Goffman, une institution totale est un lieu de résidence ou de travail où un grand nombre d'individus, placés dans une même situation, coupés du monde extérieur pour une période relativement longue, mènent ensemble une vie recluse dont les modalités sont

et de l’époque dans laquelle vit l’individu impose lui aussi une série de contraintes à son identité. I. L’identité d’un individu est définie par les interactions sociales dans lesquelles il est engagé Interactionnisme (Mead ; Stauss ; Goffman) : l’identité comme produit mouvant des interactions (ex. : rôle de malade, etc.). Masques et rôles. + Becker (étiquetage) : identité comme négociation entre l’individu et les autres. II. L’identité d’un individu est définie par le milieu

Barrault Elodie Master meefa, groupe L4 La mise en scène de la vie quotidienne I/ La présentation de soi D’Erving Goffman Références bibliographiques : Cet ouvrage a été paru en 1973 sous sa version originale « The presentation of Self in Everyday Life ». L’édition française a été traduite de l’anglais par Alain Accardo. L’édition du livre est Les éditions de Minuit ; la collection à laquelle l’ouvrage est rattaché est « le sens commun », créée par Pierre Bourdieu. Enfin, son nombre de pages

Dans cet ouvrage, Goffman utilise la méthode durkheimienne de la définition préalable et construit un objet, l’institution totale, pour y appliquer la méthode idéale typique. L’institution totale est un « lieu de résidence et/ou de travail » réunissant un certain nombre d’individus dans ces conditions : * coupure du monde concrétisée par des obstacles matériels * prise en charge de tous les besoins des reclus * fonctionnement bureaucratique * contacts limités entre reclus et personnel

Elle peut inclure: • Les activités physiques; • Les rôles professionnels; • Le concept de soi; • Tout ce qui change un des éléments précédents (comme une incapacité), change l’identité de l’individu et crée potentiellement un stigmate. • Selon Goffman (1963), un stigmate disqualifie un individu de sa pleine acceptation sociale. • On définit couramment la stigmatisation comme le fait de discréditer l’autre. • On la voit comme étant causé par des croyances sociales largement répandues à l’égard

perceptions qu’ont les individus sur le monde et sur l’environnement qui les entoure. Becker s’oppose dès lors aux théories fonctionnalistes et déterministes de Parson ou Merton à titre d’exemple. Il sera par ailleurs avec d’autres sociologues comme Erwin Goffman, un des précurseurs de l’observation participante.L’intérêt de cet ouvrage réside dans le fait que Becker élargi pour la première fois le domaine de la délinquance en s’intéressant au phénomène de la déviance : Si par le passé, les études ne s’intéressaient

Erving Goffman, L’arrangement des sexes. Traduit en français par Hervé Maury, La dispute, collection Le genre du monde, 2002, Paris. Sous la direction de Claude Zaidman. (L’original : publié en 1977 aux Etats Unis). Cet ouvrage est un essai sociologique, venant à l’origine d’un article : « The arrangement between the Sexes » paru en 1977 dans Theory ans Society (vol. 4, n°3, p. 301-331), qui présente les rapports entre les hommes et les femmes. L’œuvre de Goffman s’attache à étudier, dans