Escarre

respirer/circulation 2.1.1 Définition Le besoin de respirer/circulation du sang est la capacité à capter l’oxygène indispensable à la vie cellulaire et à rejeter le gaz carbonique produit par la combustion cellulaire. a) Difficultés Elle a une escarre au siège ; moins bonne oxygénation vue qu’elle ne bouge pas. b) Ressources Fréquence respiratoire, pulsation, température  c) Rôle en tant qu’AS Je changeais sa position toutes les 2 heures plus alignement du corps pour éviter les positions

infirmière ou un médecin. Aucun médecin n’est sur le service et aucunes infirmières ne connaissaient le numéro d’urgence. Elle revient en chambre et je lui dis qu’il faut commencer le massage cardiaque, le patient étant sur un matelas, de plus anti-escarre, qu’il serait bon de le mettre au sol. On s’apprêtait à le faire quand une autre infirmière nous interpelle en nous disant de le laissait sur le lit afin qu’il soit plus facile de le perfuser. Une planche nous ai apporté, on la glisse sous le patient

blessures, mauvaises manipulations Maltraitances psychologiques : Humiliation, insulte, cruauté mentale, harcèlement, menaces Maltraitances médicales : Excès ou privation de soins ou de médicaments, contentions abusives , manque de soin entrainant escarres Maltraitances financières : Vols, malversations Il peut s’agir de : Négligences passives ou maltraitance par « inadvertance » , sans intention de nuire : Non satisfaction des besoins premiers ou défauts de mise à disposition des ressources disponibles

Infirmiers A domicile) s’adresse aux personnes âgées, malades et/ou handicapées, qui souffrent de dépendance importante et qui nécessitent donc une prise en charge particulière : aide au lever, au coucher, toilette, soins de nursing, prévention des escarres… Ce service prend en charge 32 patients qui sont répartis sur différentes tournées. Les aides soignantes interviennent le matin mais également l’après-midi et le soir (pour les personnes les plus dépendantes). Les Infirmières du Centre de Santé

articulations en position de fonction pour éviter les raideurs. Surveillance d'un plâtre Chaleur locale : le membre doit rester à une température normale. Couleur : surveiller l'apparition d'une cyanose : urgence. Douleur. Odeur : plaie ou escarre sous le plâtre. Fourmillement : normalement absent. Sensibilité : surveiller si perte de sensibilité. Oedéme : surélever le plâtre. Qui dit plâtre dit risque de syndrome des loges : c’est une ischémie avec hyperpression tissulaire des loges

vendredi). Son mari lui téléphone tous les matins à 8 h pour voir si elle a bien déjeuner. Environnement Madame R. est seule dans sa chambre, elle dispose d'un lavabo et d'un WC personnel, d'un adaptable, d’un lit médicalisé avec un matelas anti escarre. Elle a la télé dans sa chambre. C’est une chambre bien éclairée, on trouve des photos sur le mur de ses enfants, ses petits-enfants, son mari, des dessins de ses petits-enfants et une photo de son mariage. Plusieurs effets personnels sur son chevet

l’intégrité de la peau : dont les signes sont marqués chez madame G par une rougeur du sacrum et des talons. La cause de cette atteinte est l’alitement, la diminution de la mobilité, l’apport hydrique et protidique limité, ce qui peut donc entrainer les escarres. 15 d. Risque d’infection urinaire : madame G à une sonde urinaire qu’on change chaque trois semaine et une sonde de gastrostomie mis en place lors de son séjour au centre hospitalier d’Arcachon. Les précautions devront être prises pour éviter

d'apprecier. Je vois son faciès changer d'expression, elle se détend petit à petit. Je pose mon gant et prend une serviette pour lui secher le visage. Madame D est plus calme, l'infirmière lui sèche les fesses, lui masse le saccrum pour prevenir des escarres et glisse la protection sous son posterieur. Je demande à Madame D de se remettre sur le dos tout en l'aidant, ce qu'elle n'a pas l'air d'entendre. Je la remet donc en décubitus dorsal pour placer la protection correctement sous le posterieur de

douleur fait, sous sa dynamique, l’objet d’une prise en charge spécifique pour chacun des résidents (utilisation d’une échelle visuelle analogique, traitement systématique, suivi...) et d’actions de formation du personnel. 7. Il veille à ce que les escarres fassent l’objet d’un suivi institutionnel, avec l’existence d’un protocole écrit et actualisé (prévention et traitement). 8. Les pratiques de contention physique doivent être justifiées et discutées en équipe soignante avec une réévaluation périodique

réanimation si rapidité d'évolution, atteinte respiratoire et ou de la déglutition. - Le traitement symptomatique : * Mise en place d'une sonde naso-gastrique si trouble de la déglutition. * Ventilation assistée si trouble respiratoire. * Prévention des escarres: mobilisation, matelas à eau. * Prévention des phlébites : héparinothérapie. * Troubles sphinctériens : sonde urinaire. * Douleur : traitement symptomatique. * Paralysie faciale : occlusion palpébral + larme artificiel. II- Traitement immuno modulateur