Est Il Légitime De Dire A Chacun Sa Vérité

2ème PARTIE : En quoi peut-on dire qu’il y a une étude psychologique des personnages dans le roman Pierre et Jean ? On peut dire qu’il y a une étude psychologique dans l’œuvre de Maupassant, Pierre et Jean, car l’auteur cherche à nous faire explorer chaque personnage en les confrontant à des situations extrêmes. C’est le cas notamment lorsque Pierre découvre que Jean est son demi-frère, puisque sa mère a trompé son père. Pour cela l’auteur n’hésite pas à déstabiliser l’équilibre familial

ou il revient à la mer la meilleure vie sur le marché de sa fille . L’amour est alors envisagé sur le mode, de la perte et du risque alors que le mariage est regardé comme une forme de ritualisation avec la réciprocité des échanges (aimés son mari et être aimé)l.20 Texte 2 :Extrait de la Princesse de clèves-1-Introduction1 .Situation du texteIl s’agit d’une scène fameuse du récit appelé la scène de l’aveu qui souleva de nombreuses polémique et querelles quand a sa vraie semblance et a son respect des

quant à sa forme et son contenu et éprouve des difficultés à se poser comme un genre littéraire défini. A ce propos Pierre Chartier dans L’introduction aux grandes théories du roman déclare que « le roman est le moins convenu des genres. Il fait plus qu’emprunter , il transforme et déforme pour son propre compte. Il fait plus que transformer ce qu’il trouve, il contient en lui-même le principe de toutes les transformations possibles. Pour reprendre la formule de Valéry, on peut dire qu’il a ceci

formé par les personnes qui en raison de leur lien de parenté sont soumis à la même autorité. Cette définition limite la famille aux enfants et parents. Définition de M. Hauser La famille est un groupe d’individus qui reconnaissent entre eux des liens moraux et matériels engageant mutuellement leur personne et leur patrimoine sans limitation de durée. Paragraphe 2 : le rapport de la famille avec les autres disciplines. Il y a 800 000 naissances, 120 000 divorces et 250 000 mariages, c’est le JAF qui

qu’il est : un théâtre où chacun doit jouer son rôle » disait Shakespeare dans le Marchand de Venise. Mais considérer la vie comme une pièce de théâtre pose un problème : comment porter un regard objectif sur la vie si cette même vie n’est qu’illusion. Il semblerait que l’homme ne soit qu’acteur de sa vie et qu’il n’en soit pas pleinement maître puisque la pièce de théâtre est écrite avant d’être jouée. Ce cheminement nous amène donc à la problématique suivante : l’homme a-t-il la pleine maîtrise

une allégorie renommée, exposée par Platon dans le Livre VII de La République. Elle met en scène des hommes enchaînés et immobilisés dans une demeure souterraine qui tournent le dos à l'entrée et ne voient que leurs ombres et celles projetées d'objets au loin derrière eux. Elle expose en termes imagés l'accession des hommes à la connaissance de la réalité, ainsi que la non moins difficile transmission de cette connaissance. » Source : Article Allégorie de la caverne de Wikipédia en français (auteurs)

guillotinée pour ses écrits politiques - Publication en 1791, à compte d’auteur, de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne - Un texte faisant pendant à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, adoptée le 26 août 1789 : selon elle, les femmes ont été les grandes oubliées de l’Histoire, alors qu’elles ont participé activement à la révolution. - Une œuvre aux multiples destinataires. Après s’être adressée à la Reine et avant d’exposer sa réécriture de la déclaration

Ce qui est juste c’est ce qui est conforme au droit et à l’égalité des personnes. La justice est l’objet de discussions. Lorsqu’il y a un conflit, les deux parties pensent toutes deux être du coté de ce qui est justes. Même si l’on admet que la mauvaise foi puisse intervenir, il n’en reste pas moins que nous n’avons recours à des arbitrages que parce que la justice n’est pas chose évidente qui s’impose immédiatement aux yeux de tous. Il y a cependant des injustices flagrantes, et pas seulement aux

nous adhérons à nos croyances dans la mesure où elles dirigent notre pensée et commandent nos actions, voire donne un sens à notre vie sans que nous sachions clairement pourquoi. En ce sens si elles nous activent, nous meuvent, nous les subissons passivement car elles s’imposent à nous sous l’apparence de l’évidence toute faite, de préjugés que nous ne produisons pas nous-même par un effort de réflexion personnelle et critique ; mais, paradoxalement, nous nous identifions tellement à elles qu’elles

La théorie (L) ..................................................................................................... 71 35. Le travail (L - ES - S) ........................................................................................ 72 36. La vérité (L - ES - S - Techn.) ........................................................................... 74 37. Le vivant (L - S) ................................................................................................ 79 38. Sujets “inclassables”