Estimation theory

l’éloignement des foyers de croissance est à l’origine d’une corrélation positive entre distance à la France et croissance du revenu par tête. Vendre plus loin c’est aussi profiter des opportunités offertes par des marchés en plus forte croissance. Les estimations économétriques de Martin & Mayneris (2013) confirment que la moindre sensibilité à la distance est plus marquée pour les maisons Colbert. Plus précisément, les exportations de produits de luxe réalisées par les maisons Colbert sont quasiment insensibles

appliquer à notre échantillon est celui de Mc Nutt (2003). Ce dernier est inspiré des modèles respectivement utilisés par Jones (1991), Teoh et al. (1998) et Xie et al. (2003) mais adapté au contexte bancaire. 1ère étape : Spécification du modèle et estimation des paramètres Notre modèle d’étude s’écrit alors comme suit : (1) PCDi,t : la dotation aux provisions des crédits douteux constatées par la banque i à l’année t. ∆Créditsit : variation des crédits accordés

. . . . . . . . 55 Analyse de front d’onde « sans analyseur » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56 3.4.1 3.4.2 3.5 Étalonnage sur point source (SICLOPE) . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56 Étalonnage sur objet structuré : estimation de réponse instrumentale . . . 56 Cophasage par diversité de phase . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57 3.5.1 3.5.2 4 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57 Cophasage d’interféromètre

des prévisions (1), plutôt que des évaluations, et sont peu compatibles entre eux (2). Pour prendre l'un des exemples les plus flagrants, l'OCDE (2000b) note que les estimations pour les années 1995-1997 varient de 70 millions à 24 milliards de $ selon les cabinets (cf. tableau 1). Ces mêmes cabinets prévoyaient en moyenne (estimations menées de 1995 à 1998) que le commerce électronique représenterait en 2001-2002 5 % des ventes de détail, ce qui semble totalement incompatible avec les chiffres du

apparaît comme l’une des composantes essentielles à la compréhension de la valeur d’une marque pour un consommateur. Ceci dit, on ne peut ignorer l’expérience acquise lors de l’achat de la marque, et qui va à son tour agir sur son estimation des qualités de la marque. Cette estimation va renforcer ou infirmer la confiance qu’il peut accorder à la marque. Gurviez (1998) note que contrairement aux règles classiques d’un marché coordonné par les prix, l’objectif des marques est maintenant de créer et de maintenir

consommation d’essence, il est évident qu’ils n’ont pas le même effet sur la qualité de la vie. En outre, si les citoyens ont le souci de la qualité de l’air et si la pollution de l’air augmente, les mesures statistiques qui l’ignorent offriront une estimation inadaptée de l’évolution du bien-être des populations. Il se peut également que la tendance à mesurer des changements progressifs ne soit pas à même de rendre compte des risques de détérioration brusque de l’environnement comme dans le cas du changement

facteur d’asymétrie. La cinquième section est consacrée à une illustration empirique. Pour cela, nous présentons la méthodologie d’étude, puis les données : leur description, leur évolution et l’étude de leur stationnarité. Ensuite, nous abordons les estimations des différentes spécifications afin d’identifier la règle optimale. La sixième et dernière section est consacrée à la conclusion. 2.2 La conduite de la politique monétaire : discrétion ou règle explicite ? Le concept de la politique monétaire

pointillé (figure 2a), 2) en distinguant le comportement d'achat latent ou comportement « vrai », du comportement d’achat manifeste qui résulte aussi des contraintes de l'environnement; la droite ajustant les quatre observations peut être vue comme une estimation de cette trajectoire latente, c'est à dire du comportement d'achat tendanciel avant qu’il n’ait subi l’effet des contraintes extérieures. Cette droite est déterminée par deux paramètres. αi, l'ordonnée à l'origine de la droite (intercept) représente

gouvernance fondé principalement sur la confiance peut entraîner un gaspillage des capitaux investis, faute d’évaluation (ex ante et ex post) suffisante des investissements entrepris. En résumé, la confiance induit également ses propres coûts : mauvaise estimation de la valeur créée, inefficience liée au long-termisme, non-pertinence des investissements choisis par insuffisance des contrôles formels… Un des coûts les plus importants des systèmes de gouvernance qui privilégient la confiance est vraisemblablement

c'est cette valeur qui traduit l'optimisation des choix du consommateur puisque l'individu est capable de mesurer sa satisfaction : « la valeur d'une marchandise dépend non de sa nature essentielle, mais de l'estimation des hommes, même si cette estimation est folle1 ». B. Classement des préférences : reformulation et fonction d'utilité ordinale Une autre approche est proposée par l'école néoclassique et notamment celle d'Edgeworth dans Mathematical Psychics (1881) qui a influencé, on le verra