Ethique Du Vendeur

classique L'activité des banques participative doit être conforme aux normes de la Chariâ. Ainsi, un système financier participative, tout en intégrant des objectifs de rentabilité et d'efficacité, se doit de respecter l'ensemble des principes éthiques de la Chariâ. Cette particularité éclaire l'ampleur des divergences entre Finance Islamique et Finance Conventionnelle. Au niveau de cette partie, Nous nous proposons de faire une comparaison des deux types banques (classiques et participatives)

concerne les avantages résultant de l’échange de produits de nature différente (or contre blé). En matière d’échanges de monnaie (argent contre argent), tout surplus tiré d’une transaction non basée sur des actifs réels et préalablement possédés par le vendeur est illicite (haram). Entrent dans cette catégorie les contrats de prêt. Concrètement, les crédits bancaires – qu’il s’agisse des crédits à la consommation ou des crédits aux entreprises – ne respectent pas cette exigence. Les mécanismes pour éviter

ne connais pas les prix ailleurs, je ne peux pas aller acheter ailleurs. Si je ne sais pas que l'essence Biral est la même que celle de Somme, je ne choisirai pas la moins chère. 4. Atomicité des acheterus et des vendeurs: cela veut simplement dire qu'il faut qu'aucun acheteur (vendeur) ne puisse influencer seul le niveau des prix. C'est la raison pour laquelle le prix du pétrole, du café et d'autres produits ne suivent pas toujours cette loi. 5.Entrée et sortie libre du marché: si je me rends compte

séduire les consommateurs en masse (ex : le nom d’une marque, emballages reconnaissables, produits divers sous une seule marque, …) Développement d’objets jetables Expansion des marques via le parrainage de manifestations sportives ou culturelles 2) Vendeurs, publicitaires, marketers : une généalogie De 1633 au milieu du 18ème siècle : annonces dans des journaux spécialisés Au milieu du 19ème siècle : la publicité commerciale s’affirme dans la presse générale  Apparition de nouveaux intermédiaires

Stratégie des marques Cours 1 : I) Introduction Définition « Une marque est un nom, un terme, un signe, un symbole, un dessin ou toute combinaison de ces éléments servant à identifier les biens ou services d’un vendeur ou d’un groupe de vendeurs et à les différencier des concurrents. » Une notion vaste Une notion vaste et un domaine très étendu : marques de grande consommation, les médias, les régions, les associations, internet, les pommes (+ proche du label, qualité et constance du produit)

destinés à l’échange et, le plus souvent, il s’agit d’un des produits étant intervenu dans la transaction. Le surplus sera présenté que par un paysan disposant de biens sécables susceptibles d’en faire l’objet d’une part et, d’autre part, une règle éthique fondamentale et toujours implicite veut que le partenaire le plus pourvu fasse preuve de générosité (influence du statut économique) Conditions climatiques ont aussi un impact (récolte,…). Lorsqu’un bien devient rare parce que la demande surpasse

Le monopole : désigne une situation dans laquelle un offreur est seul à vendre un produit donné à une multitude d’acheteurs. * L’oligopole : Une situation d'oligopole se rencontre lorsque sur un marché il y a un nombre très faible d'offreurs (vendeurs) et un nombre important de demandeurs (clients). * La concurrence directe : les entreprises fabriquant le même produit qui répond d’une façon identique à un besoin et s’adressant à la même clientèle. * La concurrence indirecte : les entreprises

d'ailleurs pas totalement absents en marketing domestique dans des pays multiculturels et à structure fédéraliste telle que la Suisse. L'éthique ambiante figure évidemment en bonne place parmi les variables de comportement d'achat. Un comportement éthique dans un certain environnement culturel ne l’est pas forcément dans un autre. On pense d'abord - et à juste titre - à différentes formes de corruption. Le processus de négociation, lui aussi, soulève d'autres problèmes d'éthique, comme par exemple

distribution : ensemble de personnes physiques ou morales agissant dans la distribution et ayant des caractéristiques commerciales identiques (canal des grossistes, des détaillants, des centrales d’achats…). Charte éthique : document réalisé par une organisation, regroupant les règles éthiques qu’elle choisit de respecter. Chiffre d’affaires : montant total des ventes d’une entreprise, calculé pour une période donnée (le mois, l’année…). Cibles de la promotion des ventes : individus visés par les actions

sur l’autre pour se cautionner et s’enrichir naturellement. III. Qu’est-ce qu’une marque ? Ph. KOTLER : « une marque est un nom, un terme, un signe, un symbole, un dessin ou toute combinaison servant à identifier les biens ou services d’un vendeur et à les différencier des concurrents » KAPFERER «  ou la marque comme suppression du risque ». La marque fonctionne de la même façon pour le consommateur et pour le financer, elle supprime le risque. Le prix à payer rémunère la certitude, la garantie