Etude De Concurrence Locale Attijariwafa Bank

attendus : 51 2. Les types de services à offrir : 52 3. Conclusion : 54 Chapitre 4 Test du concept «Offre spécial Mobile TV » : 55 1. Etude qualitative : 55 1.1.1. Contexte : 55 1.1.2. Objectifs de l’étude : 55 1.1.3. Cible 55 1.1.4. Méthodologie 56 1.1.5. Guide d’entretien : 56 1.1.6. Résultats : 56 1.1.7. Conclusion générale de l’étude: 60 2. Etude Quantitative : 61 1.1.1. Objectifs : 61 1.1.2. Méthodologie 61 1.1.3. Les critères et les attributs principaux : 61 1.1.4. Les combinaisons

risque partagé fait supporter aux deux parties une part du risque de change. Le contrat prévoit, par exemple, qu'une partie de la variation de cours intervenant entre la date de facturation et la date de paiement sera partagée par l'exportateur à concurrence de la moitié, l'importateur supportant l'autre moitié ; * Clauses multidevises : les clauses multidevises ou clauses de change multiples permettent de libeller le montant du contrat en plusieurs devises et c'est seulement à l'échéance que l'une

afin de l'encadrer et lui procurer, en permanence, les opinions et les décisions religieuses, susceptibles de le prémunir contre la dérive à l'illicite. (7) Sous cet angle les institutions islamiques s'avère les plus intéressés par une telle concurrence du Fiqh dans le secteur économique, car confrontés en permanence à de nouvelles situations nécessitant des décisions religieuses dites FATWA. Et ça va sans dire qu'une seule personne ne pourrait assumer cette responsabilité, car ceci augmentera

classiques, satisfaisant ainsi une frustration de la clientèle moins aisée. La demande existe puisqu’elle est naturellement le moteur du développement du commerce de détail : Création d'emploi, création de plus-value, modernisation du commerce local, amélioration du paysage commercial et urbain, tous ces facteurs sont liés et ont un effet mécanique sur le développement. Mais c'est au cours des années 90 que les enseignes internationales se sont réellement développées dans le Royaume et des

de novembre 2009 Annexe 4 129 Zone franc : résumé opérationnel de la note de synthèse de l’atelier de novembre 2009 Annexe 5 135 Diagrammes indicatifs des services et produits offerts Annexe 6 140 Base de termes de référence pour une étude de faisabilité en vue de la création d’un établissement de paiement « mobile banking nord/sud » Annexe 7 142 Analyse de la réglementation de la microfinance dans l’UEMOA Annexe 8 150 Appui à la création d’entreprises Annexe 9 152 Éléments

2005. La concurrence apparaît dans le secteur en 1998 et depuis, l’étau se resserre sur leur marge d’intermédiation, nourrissant ainsi une dynamique de concentration. La rentabilité globale et la politique prudentielle des banques généralistes commerciales sont satisfaisantes, permettant une parfaite adaptation aux nouvelles normes imposées par les dispositifs de Bâle II qui est entré en vigueur dès 2007. Les banques françaises, présentes au Maroc par le canal de trois filiales locales, bénéficient

l’artisanat, le financement de l’habitat puis vers l’ensemble des secteurs économiques. I-1. Historique : 1961-1967 : création de la Caisse Nationale de Crédit Agricole (CNCA) : * Entrée en fonction de la CNCA. * Implantation des caisses locales sous forme de succursales. 1970-1987 : Début de l’activité bancaire : * Lancement de la collecte des dépôts et des activités bancaire. * Financement de l’agro-industrie en 1979 * Réorientation de la CNCA et financement de nouveaux

économiques et financières, certains auteurs se sont intéressés à l’analyse des déterminants de la rentabilité bancaire dans les pays aussi bien développés qu’en voie de développement. Néanmoins, dans le cas marocain, il n’existe pratiquement aucune étude sérieuse sur cette question cruciale. La pauvreté des études en la matière serait peut-être due au fait que les réformes financières et bancaires n’ont vu le jour que tardivement et que l’accès aux données concernant les banques est très difficile

la CGI Synthèse Recommandations Remerciements Avant de commencer à exposer les fruits de notre labeur, nous ne pouvons omettre de remercier toutes les personnes qui ont contribué à la réalisation de notre travail. Cette étude n’aurait pu voir le jour sans l’aide précieuse de ces personnes, et c’est pour cette raison que nous avons jugé nécessaire de leur témoigner ne serait ce qu’un brin de reconnaissance. Nous citons: * Mr. Mohammed Nabil El MABROUKI, notre professeur

14,48% du capital de ATTIJARIWAFA BANK, - LE CREDIT AGRICOLE avec1,44% du capital de ATTIJARIWAFA BANK, mais présent à hauteur de 34% dans les filiales stratégiques que sont WAFASALAF (2ème société de crédit à la consommation de la place, après EQDOM, la filiale du groupe SOCIETE GENERALE) et WAFAGESTION. En 2004, le secteur bancaire poursuit son mouvement de concentration. Les banques françaises déjà particulièrement présentes au Maroc par le canal de trois filiales locales, bénéficient de la restructuration