Etude De Marche Armani

plus propices bien plus tard que les coupures pub du prime time. Annexe 1 14 4 Pub et sexe font-ils bon ménage ? Les spots insérés dans des émissions coquines retiennent moins bien l'attention des téléspectateurs, selon une très sérieuse étude de deux chercheurs britanniques Marie-Dominique ARRIGHI Le sexe, ça fait vendre. Une évidence? Pas si sûr. Ainsi une émission de télé un peu coquine va empêcher la mémorisation des spots de publicité qui y sont insérés. Le cerveau du téléspectateur

va-t-elle tenter d’imposer son produit par rapport au produit vendu par un concurrent  en lui donnant un nom? Ce nom est la marque. La marque est le trait d’union indispensable entre l’entreprise et le consommateur. En tant que repères sur les marchés pour les consommateurs, les marques facilitent la gestion de l’information sur les produits offerts, augmentent la confiance des consommateurs lors de la décision d’achat et contribuent également à la satisfaction lors de l’usage. Du point de vue

Facteurs marketing et sociétaux ayant influencés l’essor des cosmétiques pour les hommes Mémoire de licence Université de Genève Faculté des Sciences Economiques et Sociales Section HEC Mémoire de licence Le marché de l’hygiène-beauté : Compréhension des facteurs marketing et sociétaux ayant influencés l’essor des cosmétiques pour les hommes Stéphanie GONZALEZ gonzalez.steph@gmail.com Professeur : Michelle BERGADAÀ Assistant : Grégory CORAUX Septembre 2005 © Stéphanie Gonzalez

d’« obéir aux exigences de la cherté, car elles imprègnent si bien nos idées en matière d’habillement que d’instinct nous trouvons tout accoutrement odieux qui n’a pas coûté un bon prix » [9]. Dès lors, en matière de vêtement plus qu’ailleurs, « bon marché » signifie « mauvaise qualité » et quand bien même une contrefaçon serait presque parfaite par « la forme, la couleur ou l’effet visuel », dès qu’elle est révélée, « sa valeur esthétique tombe sur-le-champ » [10]. Veblen en arrive donc à définir tout

Rachat de « Biotherm » ⇒ 1975 : « Cacharel » (prêt-à-porter) accorde à L’Oréal une licence pour un parfum en 1978 ⇒ 1985 : Rachat de la marque « Paloma Picasso » ⇒ 1988 : Rachat de « Helena Rubinstein », et rachat des activités cosmétiques de « Giorgio Armani » ⇒ 2000 : Rachat de « Kiehl’s » ⇒ 2000 : Prise de participation de « Shu Uemura » minoritaire, puis majoritaire en 2003 ⇒ 2002 : Accord de licence sur la marque « Viktor & Wolf » ⇒ 2006 : Obtention d’une licence de « Diesel » marque Italienne Cosmétique

disposant d’un processus productif, ici LVMH. Afin de faciliter notre champs de recherche et de proposer un travail de qualité, nous avons décidé de nous concentrer sur une seule entreprise du groupe LVMH : Louis Vuitton. Afin de réaliser notre étude, nous avons effectué de nombreuses recherches qui nous ont amenées à trouver des sources documentaires que vous trouverez en annexe. Ainsi nous allons essayer d’exposer la manière dont Louis Vuitton gère les stocks, la qualité, les pratiques de Lean

principalement : - La couture et Haute couture - La haute joaillerie et la haute horlogerie - La « haute cosmétique » - La parfumerie et la haute parfumerie - La maroquinerie haut de gamme - L’automobile de luxe, yacht, avions privés - Le marché de l’art - L’hôtellerie de luxe et le tourisme haut de gamme - L’immobilier de luxe - Les spiritueux et alcools haut de gamme, épicerie et restaurant de luxe - Le mobilier haut de gamme et art de la table 3. Les excès des marques de luxes

les plus saillants. Toute aussi importante, de mon point de vue, est l’émergence d’un positionnement nouveau des formations d’ingénieur vis-à-vis de deux composantes essentielles dans l’activité des entreprises mais jusqu’ici quasiment ignorées : le marché et le client. Cette tendance lourde résulte principalement : – de l’évolution de l’organisation et du fonctionnement des entreprises de plus en plus orientées vers la création de valeur pour leurs actionnaires et leurs clients ; – de l’élargissement

...................43 4 Impacts sur l’environnement ......................................................................................................................................................................44 4 Les implications sur le marché intérieur européen .......................................................................................................................................45 4 Des impacts contrastés selon la taille des entreprises ................................

que l’effet des taux de change a réduit les ventes de 8%. Notre EBITA a augmenté de 9,5% à CHF 10,9 milliards. La progression de la marge EBITA, qui s’élève à 12,3%, démontre non seulement notre aptitude à nous adapter aux nouvelles conditions du marché tout en restant concentrés sur les éléments moteurs de la rentabilité, mais aussi la résistance de nos marges, et ce même à des variations de change importantes. Notre bénéfice net a augmenté de 13,2%, passant de CHF 6,7 milliards à CHF 7,6 milliards