Eusèbe de Césarée

donc( 5eme et 6eme siècle 2. Irénée messager des Chrétiens de Lyon auprès du pape Eleuthère (13ème évêque de Rome, mais premier à s’appeler évêque de Rome) (CF texte) On observe dans le préambule de l’histoire ecclésiastique d’Eusèbe Césarée ; que les événements se sont passés sous le pontificat d’Eleuthère pape174 mort 189 **Pape = évêque de Rome pas le chef de l’église mais le chef des évêques, c’est au près de lui qu’on va renseigner, décider. Dès le début supériorité sur

documents suivants (soit le doc,1 et 2 soit le doc 1 et 3)Doc 1 : le document 1 est un récit des martyrs de Lyon qui sont un groupes de chrétiens qui ont subis le martyr à Lugdunum ( Lyon) en 177 , on retrouve ce récit dans l’ouvrage écrit par Eusèbe de Césarée vers la fin du 3ème/ début du 4ème siècle. Dans ce récit il parle de la violence que vivaient les chrétiens durant le martyr de Lyon a cause de la persécution par l’état romain. Il prend même l’exemple d’une jeune esclave chrétienne persécutée

RÉVOLTE EN CYRENAÏQUE l’empereur Trajan L’histoire de la révolte en Cyrénaïque à l’époque de l’empereur Trajan (53-117) nous est relatée par les témoignages de l’ennemi, entre autre ceux du sénateur Dio Cassius (156-229) et de l’archevêque Eusèbe de Césarée (aux alentours de 339235). Andreas était le chef des insurgés judéens. Après sa victoire sur le commandant romain Lupus, les insurgés d’Égypte arrivèrent en Libye et massacrèrent plus de 220 000 personnes. À Chypre, les insurgés avec à leur

refusaient alors le service militaire, et que ce refus tomba lorsque le christianisme devint la religion de l’empire. Le Pape François estime que « les martyrs chrétiens n’ont pas été si nombreux aux premiers siècles…[Même un apologiste comme] Eusèbe de Césarée, qui a écrit sur les martyrs en Palestine, n’en recense qu’environ une quarantaine [en Palestine], même pendant la Grande persécution [celle de Dioclétien] »[footnoteRef:5]. Le spécialiste de l'Antiquité tardive Pierre Maraval explique que « les

les palais mycéniens a cependant révélé que le nom de Dionysos figurait dans la liste des divinités grecques dès l’époque archaïque. Il semble qu’à l’époque pré-olympienne, son culte soit à rapprocher des cultes agro-lunaires et chtoniens. Eusèbe de Césarée, auteur chrétien, a évoqué des sacrifices au cours desquels on dépeçait la victime vivante (d’où l’épiclèse d’Omadios) pour la consommer. Dionysos est un dieu très répandu et très populaire dans toute l’Antiquité. On trouve de nombreux temples

guerre contre les romains. 1er historien qui implique un dieu unique, Yavé. Abondance et qualité des info qu'il fournit. IL veut faire connaitre le peuple juif et dissiper la haine que certains lui portent. Commence l'histoire providentielle. Eusèbe de Césarée : évêque qui écrit en grec. créateur du genre de l’Histoire ecclésiastique :  histoire de l'Église. Son ouvrage raconte en dix livres l'histoire de l'Église chrétienne des origines jusqu'à la victoire de Constantin sur Licinius en 323. Il veut

disciple immédiat des apôtres (70-150) nous dit que Marc est devenu le secrétaire de Pierre; il écrivit " avec exactitude, mais pourtant sans ordre, tout ce dont il se souvenait de ce qui avait été dit ou fait par le Seigneur". (Papias, selon Eusèbe de Césarée, Histoire ecclésiastique 3,39,15) L'évangile selon Marc est destiné à des païens convertis à Rome. Son récit commence par: "Commencement de l'Evangile de Jésus-Christ, Fils de Dieu". Mc 1.1 "Le Fils de Dieu et le Fils de l'homme est venu, non

administratif posé par un particulier ou un fonctionnaire). L’empereur, à qui est reconnu le pouvoir de faire la loi, n’est cependant pas au-dessus des lois : la question est âprement débattue au Bas Empire - Pour certains penseurs tels Eusèbe de Césarée sous le règne de Constantin, l’empereur est soumis aux lois car son autorité dépend du droit. : il exalte la modération et la clémence du prince qu’il oppose à l’arbitraire des tyrans. Avec la christianisation de l’Empire, l’empereur est soumis

épargnés. Tous les biens de son père sont confisqués par les trois successeurs de Constantin Ier, Constantin II, Constant Ier et Constance II que Julien considéra comme les instigateurs de ce massacre. L'éducation de Julien est confiée à l'évêque Eusèbe de Nicomédie, qu'il suit peut-être à Constantinople quand celui-ci s'empare du siège épiscopal de la capitale, à moins qu'il ne soit resté relégué à Nicomédie. Il a pour pédagogue l'eunuque Mardonios, Goth d'origine, qui avait déjà été le celui de

l’ange parle aussi aux soldats. Évangile de Pierre En 1886, à Akhmin en Haute-Égypte, a été découvert dans la tombe d’un moine, un parchemin rédigé en grec vers le VIIIème – IXème siècle. Il s’agissait de l’évangile de Pierre, déjà cité par EUSÈBE de Césarée dans son Histoire de l’Église. Il s’agit d’un évangile apocryphe, harmonisant les évangiles canoniques en y ajoutant des détails provenant d’autre source. Il est habituellement daté de la première moitié du IIème siècle (150 ?) ou même avant