Evaluation Module 6 Aide Soignant

sont incorporées (loi du 1er juillet 1992 - art. 40 et 41 et Code pénal - art. 425). © Éditions Foucher, Malakoff 2013 Sommaire L’épreuve orale d’admission La validation des acquis de l’expérience aide-soignant La profession d’aide soignant L’environnement de l’aide soignant Partie 01 Méthode : se préparer à l’entretien 01 Se préparer mentalement et physiquement 02 Gérer son stress 03 Communiquer 04 Faire preuve d’écoute et d’attention 05 Répondre aux questions du jury

leur confiance en me permettant de m’intégrer à leurs équipes. Merci à tout le personnel des SAMU (Médecins et PARMs) et en particulier à toutes les équipes des SMUR qui m’ont reçues (Infirmiers* anesthésistes et infirmières, ambulanciers, aides-soignants et agents hospitaliers) pour leur accueil, leur disponibilité, leur encadrement, leur confiance, leur écoute, leur patience, leur encouragement, leurs précieux conseils et leur courage. Merci à tous d’avoir bien voulu vous livrer et vous confier

FORMATION DES PROFESSIONS SANITAIRES ET SOCIALES Ressource d’apprentissage |Domaine : |Santé et social | |Module : |Préparation aux concours | ➢ Objectifs pédagogiques Préparer les candidats d’entrée aux écoles de formation

Jean-Pierre AQUINO Dr Jean-Philippe FLOUZAT Direction Générale de l’Action Sociale (DGAS). Gériatre, Clinique de la Porte Verte, Versailles, Vice-Président de la Société Française de Gériatrie et Gérontologie (SFGG). M. Thierry GRESSIER Collège des Soignants, Société Française de Gériatrie et Gérontologie (SFGG). Pr Alain FRANCO Président du Collège Professionnel des Gériatres Français (CPGF). Dr Benoît LAVALLART Direction Générale de la Santé (DGS). Dr Louis LEVY Collège des Enseignants

foyer d’accueil médicalise non spécialisé. Sommaire Motivations du choix du sujet de l’étude prospective. 2 Introduction 4 Partie 1 : méthodologie. 5 Partie 2 : Les besoins particuliers des personnes autistes. 6 2.1 Prévalence. 6 2.2 Caractéristiques de l’autisme. 6 2.3 Identification des besoins spécifiques de cette population. 8 Partie 3 : l’état des lieux  de la prise en charge des personnes autistes. 15 3.2 Constat au niveau de l’offre des places dans les structures médico-sociale

Institut de Formation des Aides-Soignants (IFAS) Groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière Alain RAMÉ MAI 2012 2 LA DIURÈSE : DÉFINITION A l’hôpital, la surveillance des paramètres vitaux du patient inclus la totalisation journalière du volume de ses urines : c’est la diurèse. La diurèse est le volume d’urines émis sur 24 heures. La diurèse varie d’un individu à l’autre et chez le même individu essentiellement en fonction des volumes d’eau ingérés, des traitements (diurétiques)

Thérapeutique Educatif et Pédagogique (ITEP) de l’Aunis à La Rochelle, structure gérée par l’Association Départementale des Pupilles de l’Enseignement Public de Charente Maritime, l’ADPEP 17. Cet établissement accueille des enfants et adolescents de 6 à 16 ans manifestant des troubles du comportement et de la conduite ; public que je ne connaissais pas avant mon stage. J’ai donc intégré une Unité de Vie Educative (UV) situé à Fétilly, à proximité du centre ville de La Rochelle. Ce choix a été motivé

sous-jacentes. . L'aspect apparent de l'escarre ne reflète pas toujours sa gravite car le derme résiste mieux à l'ischémie Prévention La prévention des escarres doit être systématique chez un sujet a risque en décubitus ou immobilise. Une évaluation du risque est indispensable ; elle peut être facilitée par l'utilisation d'échelles d’évaluation. - L’échelle de Norton, qui comporte 5 critères d'évaluation est plus particulièrement adaptée aux sujets âgés (65 ans et plus) - L'échelle de Waterlow

professionnels que nous avons interviewés pour avoir pris de leur temps pour répondre à toutes les questions que nous nous posions, ce qui nous a permis d'accomplir notre travail de fin d'étude. Nous tenons à remercier nos personnes ressources qui nous ont aidées durant la réalisation du travail, qui nous ont soutenues et qui nous ont rassurées lors de nos moments de peur et de doutes. Nous remercions également nos familles pour nous avoir soutenues tout au long de ce travail et tout au long de cette formation

BOUBON-RIBES : Infirmière libérale, Bagnols-sur-Cèze C. BUSSY : Cadre infirmier hygiéniste, Villejuif Y. CLAUDEL : Médecin généraliste, Bort-les-Orgues PE. LAURÈS : Journaliste et usager, Cap-d’Agde JJ. LE BRAS : Cadre kinésithérapeute, Nice P. MACREZ : Aide-soignant, Paris M. RAINFRAY : Gériatre, Pessac D. STRUBEL : Gériatre, Nîmes A. TANGUY : Chirurgien orthopédique, Clermont-Ferrand F. TRUCHETET : Dermatologue, Thionville I. ULRICH : Pharmacienne, ClamartPRÉVENTION ET TRAITEMENT DES ESCARRES DE L’ADULTE