Exclus De La Citoyennete Romaine Et Grecque

l’Ecologie Politique : la critique de la technique 123 4. Vers une « laïcité technologique » 150 5. Le numérique « pour les nuls » 161 6. Ni Dieu ni Maître : les Réseaux (avec A. Rozenholc et E. Dessendier) 186 7. Pour une citoyenneté révolutionnaire (avec B. Friot) 201 8. Laïcité et statut politique du producteur : « le producteur-citoyen » (avec J.M. Kintzler) 293 9. Entretien sur l’énergie 301 10. Le gratuit : pilier de l’alternative au capitalisme 351

leur est reconnu. En ce sens, pour les uns, la notion principale doit être l’Etat qui est la conception la plus ancienne (antiquité grecque) elle renvoie à l’étymologie même du mot politique (polis : la cité, l’état). Cette vision reste dans la continuité des travaux d’Aristote qui considérait la cité comme le type de société principale. Aujourd’hui, la cité grecque a pour synonyme l’état. Cette première conception qui privilégie l’état et la sociologie politique de l’état, a été considérablement

devenir un bien marchand ou un service ordinaire mis à la disposition d’acteurs privés ou publics, la demande publique étant au moins aussi importante que la demande privée. Si l’étymologie du mot « soldat » nous ramène au « soldius », une monnaie romaine en or, alors les modernes « contractors » viennent refermer une parenthèse au cours de laquelle les citoyens des nations postrévolutionnaires ont chèrement payé l’impôt du sang. Le débat ainsi ouvert est cependant loin d’être clair, tant les positions

chronologique, compte-tenu de l’ampleur de la période à étudier. Etude centrée sur le pluralisme juridique médiéval (Vè-Xvème siècles). Sur le plan du droit, cette période est caractérisée par une profonde discontinuité, liée à la redécouverte du droit romain, au XIè s. D’où une présentation qui choisit d’isoler les 7 premiers siècles du M.A par rapport aux trois suivants, largement annonciateurs des intuitions de la modernité. Concentrons-nous donc sur ces 7 siècles et sur leur histoire juridique.

point de vue. On sera ainsi amené à penser comme l'orateur parce qu'il est séduisant. Nombre d'hommes politiques jouent sur cette corde sensible en établissant une relation quasi charnelle avec leur auditoire, d'où toute connotation sexuelle n'est pas exclue. La pratique qui consiste à toucher physiquement l'électeur (par le biais le plus souvent d'une poignée de main) relève de ces méthodes. La séduction a de tout temps constitué l'un des moyens puissants d'entraîner la conviction. Elle est un bon exemple

renaissance avec les états italiens. On fait démarrer ces relations internationales à partir du traité de Westphalie 1648 qui va mettre fin à la guerre de trente ans qui oppose la France les provinces unies et la Suède, l’Espagne et le saint empire romain germanique => point de départ d’une véritable diplomatie, et d’un système international au sens moderne du terme qui va s’organiser. De plus à travers ce traité on va voir l’émergence du concept de souveraineté (autorité suprême qui détient un

lien de nationalité rattachant juridiquement les individus à l’Etat, ce dernier va octroyer ses liens selon les règles internes parfois constitutionnelles, législatives ou réglementaires. Dans un régime démocratique, la nationalité entraîne la citoyenneté, c’est-à-dire la qualité autorisant l’exercice des droits liés à la participation politique (vote ou éligibilité). On a pendant longtemps, opposée 2 conceptions de la nationalité : - l’école historique allemande, qui privilégie par définition

d’association. La loi sur l’égalité de réunion en 1881. Ces mesures st l’apanage d’une minorité de pays, ceux ds lesquelles où il y a eu une Ré industrie avec la naissance du classe moyenne pr luter contre l’aristocratie de la puissance éco. Les pays st exclus st les colonies et les pays ss domination de fait. Il y a néanmoins l’émergence de la bourgeoisie avait était formé à la pensée occidentale, avait voulu prôner contre les pays coloniaux, cette élite intellectuelle essayer de retourner contre les

les acceptions. Sur le plan du territoire, l’Arménie a rarement été indépendante malgré la présence d’un royaume d’Arménie au IIe- Ier siècle av. J.-C., puis au Ixe-Xe siècle. A partir de l’ère chrétienne, elle fut le plus souvent dominée par les romains, les Parthes, les Perses puis par les Arabes, Byzance et les Turcs. En 1828, l’Arménie orientale est sous administration russe, puis en 1878, les territoires arméniens environnants y sont ajoutés. Au cours de l’année 1915, le peuple arménien est victime

faire le bonheur ou la puissance d’Angleterre d’Aujourd’hui, il n’y a qu’à s’intéresser sur ce qui a fait le bonheur et la puissance de Rome. Ils découvrent la notion de res publica, ce qui donne son nom au républicanisme. La République est pour les romains un système politique mis en place après la chute de la royauté au début du VIème siècle avant JC. Dans cette logique, une monarchie peut être républicaine, il suffit que le Roi recherche l’intérêt de tous (république s’opposant alors à tyrannie, non