Excuses Atténuantes

matière politique. Le mouvement législatif du 19ème présente les caractéristiques suivantes : par rapport a la maxime latine, on observe un adoucissement de la répression, diminution de la peine capitale, l’institution de 1832 des circonstances atténuantes, correctionnalisation de certains crimes. En 2nde lieu, dans l’option de l’amendement, on constate de développement de la peine d’emprisonnement, on rénove et construit des prisons. En dernier lieu, les idées libérales ont eu pour effet : que

centrales, il y a un rôle évident du côté de l’Allemagne qui intervient dans un conflit qui ne la concernait pas au premier abord. Mais il y a des circonstances atténuantes, notamment le fait que l’Autriche-Hongrie est absolument persuadée que sa survie est en danger si elle ne règle pas son compte à la Serbie. L’assassinat lui en donne une bonne excuse. L’Allemagne regrette de ne pas être intervenue de façon plus nette dans la guerre balkanique de 1913. Elle veut donc montrer qu’elle est proche de son allié

dévaloriserez, soit vous accuserez. Dites : « et je dois avouer que j’ai le trac ! » mais ne dites pas : « et je dois avouer que j’ai le trac, car c’est la première fois que je parle en public ». Gérez vos manques par le silence ou l’humour, sans vous excuser. Si à cause de votre trac vous vous troublez ou avez un trou de mémoire, revenez tranquillement en arrière et faites le point ou demandez à l’auditoire s’il suit bien. Faites-vous aider : « qui peut me dire où j’en étais ? » © Éditions d’Organisation

Sacrée soirée : André avait 2 sorties prévues dans la même soirée. Il s'est tout d’abord rendu Ginette, mais n’est resté que 30 secondes, juste le temps d’avaler un whisky on the rocks (un whisky avec des glaçons pour les buveurs d’eau), puis s'est excusé pour se rendre chez Serge à sa deuxième soirée. Malheureusement, certains des invités qui ont continué la fête chez Ginette sont morts empoisonnés. Après enquête de la police, et grâce à l’analyse des verres de la fête il est certain que les whiskys

criant à tue-tête : — Akoulina ! Akoulina ! Il revint au bout d’un moment, accompagné de la vieille servante. Akoulina portait un plateau chargé d’un carafon de vodka et de quelques tartines au caviar. Elle dormait debout. Son visage était maussade. — Excuse-moi, Akoulina, dit Constantin Kirillovitch. Mais j’avais faim. Akoulina s’inclina sans mot dire et quitta la pièce. Constantin Kirillovitch offrit un verre de vodka à son fils aîné. — Non, merci, dit Nicolas, je supporte mal les alcools. La tristesse

corps mordoré atteignaient la perfection, son visage exprimait une lumière tellement intense qu’Imhotep en fut bouleversé. Il n’avait pas le droit de l’observer ainsi et de troubler sa solitude, il aurait dû s’approcher, lui parler, se répandre en excuses, évoquer le hasard. Vu son élégance naturelle, ses cheveux soignés, la finesse de ses mains et de ses pieds, la belle nageuse appartenait forcément à une famille riche et noble. Imhotep continua à reculer et finit par s’éloigner, après un ultime regard

dévaloriserez, soit vous accuserez. Dites : « et je dois avouer que j’ai le trac ! » mais ne dites pas : « et je dois avouer que j’ai le trac, car c’est la première fois que je parle en public ». Gérez vos manques par le silence ou l’humour, sans vous excuser. Si à cause de votre trac vous vous troublez ou avez un trou de mémoire, revenez tranquillement en arrière et faites le point ou demandez à l’auditoire s’il suit bien. Faites-vous aider : « qui peut me dire où j’en étais ? » Les mots d’ARLETTY recueillis

que le titre de l’un d’eux était : L’Origine de la Religion des Arbres. Certainement son propriétaire était un pauvre bibliophile qui, soit professionnellement, soit 6 par marotte, collectionnait des livres peu connus. Je lui présentai mes excuses, mais le bonhomme devait attacher un grand prix aux livres que j’avais si involontairement maltraités, car il vira sur ses talons en poussant un grognement de mépris, et je vis son dos voûté et ses favoris blancs disparaître parmi la foule. J’eus

jouissait de le voir ne manquant de rien, elle eût donné sa vie pour lui ; Wenceslas en avait la certitude. Comme toutes les belles âmes, le pauvre garçon oubliait le mal, les défauts de cette fille qui, d'ailleurs, lui avait raconté sa vie comme excuse de sa sauvagerie, et il ne se souvenait jamais que des bienfaits. Un jour, la vieille fille, exaspérée de ce que Wenceslas était allé flâner au lieu de travailler, lui fit une scène. − Vous m'appartenez ! lui dit−elle. Si vous êtes honnête homme,

de l’herbe tendre ! N’oublions pas les circonstances atténuantes : le forfait est ancien, il en a juste « souvenance », il y aura sans doute prescription. Et puis c’est un pré de moines : « la plaisante idée, note Chamfort, de La Fontaine d’avoir choisi des moines, au lieu d’une commune de paysans, afin que la faute de l’Âne fût la plus petite possible, et la confession plus comique ». Mais le pauvre baudet a beau s’excuser, toutes ses excuses l’accuseront : s’il fallait, diable ou pas, que tous