Exemple Benchmarking Produits

CHAP I : LA POLITIQUE DE PRODUIT I] Le produit : réponse marketing aux attentes de la cible Dans cette acception, la notion de produit renvoie au concept et ses 3 dimensions. = CONCEPT PRODUIT Donc à la notion de positionnement ⇨ à celle de MIX MARKETING et non pas à celle de politique de produit La politique de produit = le mix produit ou la gestion du mix produit II] Le mix produit = ensemble des éléments les plus proches du bien ou du service brut qui fait partie du mix

tout à l’amélioration de la qualité de la relation client, à l’exception des secteurs de l’Energie et de la Restauration qui ne progressent pas. REVISITER LA RELATION CLIENT ?  Paroles entendues : Les clients discutent toujours le prix Les produits ou services sont toujours trop chers Ils exigent des offres ou des propositions écrites Ils prétendent que leur fournisseur habituel leur donne satisfaction Aucun client ne donne suite mon appel téléphonique La conjoncture est morose… Faute à

IMMOBILIERE........... 58 S/SECTION I : LES TABLEAUX DE BORD .................................................................... 59 S/SECTION II : LES INDICATEURS DE GESTION ........................................................ 61 S/SECTION III LE BENCHMARKING......................................................................... 62 CONCLUSION.......................................................................................................................... 63 ANNEXES ....................

national. On remarque alors aujourd’hui que chaque grande entreprise dispose d’un service qualité lui permettant de rentabiliser l’investissement de sa démarche d’un point de vue concurrentiel, notamment en entrainant une meilleure perception du produit par les consommateurs. Dans ce contexte nous pouvons donc nous demander en quoi une démarche de qualité totale permet-elle exactement de faire face à la concurrence. Pour mieux le comprendre, nous étudierons tout d’abord les domaines sur lesquels

mars dernier l’opérateur possède 4,6% des parts de marché sur le mobile). Les comportements et les attentes des consommateurs ont eux aussi évolués, effectivement les consommateurs sont de plus en plus soucieux des prix et souhaitent acquérir des produits et services de qualités à bas prix. De plus les clients sont difficilement fidèles aux opérateurs et attachent plus d’importance au service en lui-même et à ceux que l’offre propose qu’à l’opérateur. SFR, entreprise habituée aux changements organisationnels 

grands groupes industriels ont été les premiers à mettre en œuvre des démarches de veille concernant leurs opérations internationales, afin d’être tenu informé des mouvements de la concurrence, mais aussi sur les nouvelles technologies et nouveaux produits, mais également vérifier la solvabilité des entreprises « partenaires ». La veille, appelée également « surveillance de l’environnement » est « la mise en place formalisée et organisée d’un système d’information visant la collecte, le traitement

Communication » 2) Diagnostic externe ➢ Les Opportunités ➢ Les Menaces III – Propositions et choix de stratégie……………………………………... p.10 1) La matrice SWOT 2) Définition de la stratégie envisagée IV – Rapport de Benchmarking…………………………………………...... p.12 1) Citroën aujourd’hui… 2) Le match Citroën / Renault I – Situation de l’entreprise et problèmes 1) Citroën de 1919 à 1976 L’évolution de la situation de l’entreprise Citroën peut être

comme Procter and Gamble qui mettent sur le marché des produits de grande consommation comme le dentifrice/lessive. En France, dans les années 60, cette expérience est reprise dans les entreprises comme L’Oréal, Danone, Renault. Elles vont donc étendre un champ d’application du Marketing à l’ensemble des produits de grande consommation. Le Marketing s’est aussi diffusé dans les entreprises qui offrent des services aux consommateurs. Exemples: Banque/Tourisme/Restauration. On parle alors de Marketing

l’évaluation de la performance de ces derniers. L’étude a souligné l’inexactitude et la subjectivité des mesures utilisées dans le TDB, une communication « top-down » au lieu d’une autre plus participative et l’utilisation d’indicateurs issus d’un benchmarking, qui se révèlent inappropriés pour l’évaluation des performances au niveau interne. Jones & Nisbett (1971) constatent que les acteurs tentent de juger leur comportement comme étant déterminé par les facteurs situationnels, alors que les observateurs

encore, on peut dire que l’ouverture et l’accessibilité croissante des informations a rendu ce procédé peu loyal moins utilisé. L’émergence de l’Internet et l’appropriation par les entreprises des systèmes d’informations a permis de rendre les produits de veille accessibles au plus grand nombre. De nouvelles possibilités sont ainsi apparues, permettant de rendre la démarche plus efficace : un plus grand nombre de destinataires, une meilleure mise à jour des informations, un plus grand volume