Exemple D Eloge Et Blâme

Séquence : l’éloge et le blâme au temps de Racine. GT Objets d’étude : l’éloge et le blâme. : argumenter, persuader, convaincre : le mouvement littéraire. Objectifs : étudier le genre épidictique, définir les registres, revoir le genre du portrait. Perspective secondaire : analyser l’image, organiser une sortie au musée Jean Racine à La Ferté-Milon. Le genre épidictique ayant fait l’objet de nombreux textes au XVIIe siècle, il semblerait pertinent de relier cette étude aux représentations de Racine

ses idées et pour cela, il utilise l’ironie. L’épitre : C’est une lettre qui est adressé à une grande personnalité. La personne qui reçoit cette lettre, favorise les arts et donne des pensions aux artistes. Celui qui envoie la lettre doit faire un éloge de la personne qui reçoit la lettre ou encore, des remerciements. L’épitre peut jouer le rôle de préface ou peut annoncer les thèmes et un guide du livre. Dans l’épitre de Zadig, on annonce un fonctionnement proche de la litote*. Il faut donc, être

SOUVENT PERCUES COMME INUTILES 1) La description et l’ennui du lecteur - De nombreux lecteurs déclarent s’ennuyer à la lecture de descriptions : cela hache l’intrigue, ralentit l’action. - Les romans réalistes du XIXe, par exemple, sont célèbres pour leurs descriptions à rallonge sur plusieurs dizaines de pages. Dans le Père Goriot de Balzac, la description de la pension Vauquer, précède celle de Madame Vauquer et l’action qui suit : impression d’une hégémonie de la description

les défauts d'une personne ou d'une institution : c'est le genre épidictique.   Mais, comme il en est de tout classement, ces catégories sont poreuses : un même texte peut, par exemple, conjuguer les formes classiques du judiciaire et de l'épidictique. C'est autour de ce mélange que s'inscrit notre séquence : éloge et blâme, qui appartiennent plus précisément à l'épidictique, rejoignent naturellement les registres mis en œuvre dans le plaidoyer ou le réquisitoire, qui ressortissent au judiciaire.

encore Rabelais dans gargantua avec le chapitre « pourquoi les moines sont rejetés de la société » et a la fin du roman lorsqu’il décrit « l’abbaye du libre arbitre », il critique l’église, ses rites et ses règles. On voit ceci aussi avec Erasme dans éloge de la folie ou il fait parler la déesse de la folie qui critique l’église le clergé et les superstitions. Dieu ne sera plus a présent au centre des préoccupations, désormais l’être humain sera au centre de la pensée comme on le voit avec léonard de

 représentation d'une  réalité  idéale  et  sans défaut. C'est un genre d'​ apologue qui se traduit,  dans  les  écrits,  par  un  régime  politique  idéal  (qui  gouvernerait  parfaitement   les  hommes),  une  société  parfaite  (sans  injustice  par exemple,la découverte de  l'​ Eldorado dans ​ Candide​ ) ou encore une communauté  d'individus  vivant  heureux  et  en  harmonie,  souvent écrites  pour  dénoncer  les  injustices  et  dérives  de leurs  temps).  En temps  de guerre, l’auteur y dénonce

lexical de la beauté redondant ▪ gradation, hyperbole, exagérations, accumulations => sagesse, qualité morale Eloge de Mme et Melle de C. ▪ Mme => nommée dès la l.5 Melle => nommée qu’à la l.24 ▪ mise en relief avec superlatifs et modalisateurs (intensifs) ▪ gradation négative => défauts masculins (avertissements sur les hommes) => blâme des hommes ? ▪ technique du récit : narration avec un portrait physique de l’héroïne enfin de texte ▪ insistance sur

introduit les conséquences. Répétition de la locution « Non seulement, même ». c) Lexique. → Concret: Lexique des sensations… → Abstrait: Lexique de la pensée, des idées… Solide et claire cheminement de l'analyse, expressivité des exemples rappelant le Rousseau orateur. Mais que souligne cette analyse de soi ? 2) L'analyse de sa dualité : a) Réunion des contraires : « Deux choses presqu'inalliables s'unissent en moi »… b) Phrase 1: 1) Opposition

caractère simplet des croyants qui mènent ces geurres sans même savoir pourquoi. La critique des européens va mener à l'éloge complémentaire du peuple américain. Le peuple européen est « glorifié » notement car il est mis en contraste avec le blâme du peuple européen. En effet, «  infiniment superieuss au notre » (l.8) Voltaire, a collé un adverbe de supériorité à un adjectif de supériorité, il amplifie l'éloge des américains en les comparants aux européens « notre ».. De plus , après une accumulation

une écriture poétique de l’Histoire : c’est la valorisation du poète par rapport à l’historien. En effet, l’Histoire a bien deux fonctions (« afin qu’en te lisant » v. 118) : une fonction qu’on pourrait appeler « pédagogique » (= « qu’ils prennent exemple » v. 119) et une fonction « émotive » (= « ils pleurent notre mal » v. 118). L’écriture poétique est d’une encre plus efficace que celle de l’historien. Cette adresse à l’historien permet surtout de dire la supériorité du poète sur l’historien. Or