Exemple D Ironie

Rappelle-toi ses différentes apparitions dans les Contes. Voyons quelle image du loup nous propose M. de La Fontaine. 1. emblème : être ou objet visible, conventionnellement choisi pour représenter quelqu’un ou quelque chose ; la colombe, par exemple, est l’emblème de la paix. 2. bestiaire : recueil généralement poétique de textes sur les animaux 3. desseins : projets A Le Loup : une image négative 1- Le loup ingrat Lis soigneusement la fable « Le Loup et la Cigogne » de Jean de La Fontaine

indifférent, en contraste avec l'horreur du récit : une ironie pertinente dans la dénonciation de l'optimisme, une litote très frappante. On peut ainsi croire que la manière dont est posée les événement est neutre mais elle est en fait atténuée afin qu'au contraire les abominations de l'époque percutent beaucoup, et surtout, sans que Voltaire n'ait a proposer son opinion mais en laissant le lecteur l'adopter de lui-même. D'ailleurs, cette ironie est également présente dans la foi du noir pour la

passions, son ironie lui tenant lieu de scalpel. La raillerie chez Maurois se deploie avec agilité. Les qualites essentielles d’ Andre Maurois resteront toujours: l’ ironie et la clarté, les phrases courtes, peu d’ incidents, les adjectifs peu frequents mais choisis soignesement; les métaphores réussies. Dans « La Cathdrale » on voit aussi une métaphore inoubliable: « son coeur est resté jeune ». Dans les oeuvres de A. Maurois le dialogue occupe une place prépondérant. Par exemple, « La Cathdrale

rapport à la réalité Au-delà de la peinture, le pop art a usé des techniques picturales qui n'étaient auparavant pas considérées comme proprement artistiques, mais industrielles. Ce mouvement a perturbé le monde artistique d'autres manières, par exemple à travers la remise en cause du principe d'unicité d'une œuvre d'art. Andy Warhol reproduisait les siennes par dizaines, parfois même par centaines, ce qui heurtait les idées classiques attribuant à une œuvre sa valeur car elle n'est pas unique.

* 1)Dissonances & anomalie * Présentat° élogieuse mais anomalies: *énumérat° instrumts finit par «canons»: rappel réalité guerre, son discordant; Comparaison enfer: horrible. *nb euphémismes.(«ôta du meilleur des mondes», «héros» 2). ironie Images horribles, Candide supporte pas & déserte. -->Indices présence Voltaire, ne souscrit pas vis° idylliq. Candide. 2)Violence du tableau * Réalisme descript°: guerre intolérable. *lex. violence étendu, diversifié. Oxymore

pas savants car ils écrivent sans vérifier --> insiste sur les fausses idées, selon Fontenelle de plus, ils écrivent l'un contre l'autre plutot que de completer la réflexion de l'autre '--> (l.25) "aussitot une belle et docte réplique" : "belle"= ironie --> "écrit encore l'histoire" (l.22) : "encore"= insistance L'auteur insinue son point de vue par rapport aux idées des savants: "prétendit"(l.16) = sceptisisme, "écrit encore"= manque d'utilité c) Etendue de la réflexion Il ouvre le sujet (généralise)

racialistes, historiques...), en les caricaturant pour en montrer l'absurdité. Cette ironie est perceptible dans la formulation hypothétique du début (« si j'avais à soutenir...) qui introduit une prise de distance et par l'indignation de la fin. On est dans la persuasion (on joue sur le sourire) mais en même temps, le texte invite à un effort intellectuel: je dis quelque chose pour signifier l'inverse. Cette ironie n'a pas toujours été perçue par les lecteurs négligeants de Montesquieu: un journal

| | | |Lettre 165 (petite vérole = fin du rôle) « qu’à présent son âme était sur sa figure. » | | |6. son ironie, sa maîtrise du langage |Lettre 84 (racontant l’histoire de Prévan) « et moi, encore tout émue, je leur demandai par quel | | | |bonheur ils (ses domestiques) s’étaient encore

caractères et deux attitudes : a) Un personnage puissant et orgueilleux b) Un personnage faible, mais seulement en apparance c) L'opposition des deux personnages III/ Une histoire qui fait réflechir : a) Une morale absente b) Une attitude mise en exemple c) Un texte riche de sens I/ Une histoire en apparance banale : a) Les personnages de la fable Deux végétaux personnifiés : Ils parlent, ils ont des émotions ; “Souffrir” (13), “Compassion” (18), “Souci” (19). Ils ont des attribus qui renvois

fois de plus sur son âge = maladie articulaire* - comparaison de son visage avec la pomme de reinette (l 4-5) «  plus plisser qu’une pomme … » comparaison hyperbolique. Ici, paradoxe car normalement la pomme renvoit à la fraicheur, la grâce = Ironie Flaubertienne (regard ironique et méchant non sur le personnage de Catherine Leroux, mais qui s’attaque à la société qui la mise dans cette état) - l.1-2. Personnage recroqueviller sur elle-même «  maintien craintif », « ratatiner » … TR : personnage