Exemple De Quiproquo

A qui parle-t-on au théatre (aparté et double ˆ énonciation) ? — Introduction à l’interprétation théatrale ˆ — Le nœud du drame — Prendre position dans un dialogue Une scène comique Une scène tragique ? Différence entre tragédie et comédie — Le quiproquo — Le dénouement Durée 2 heures 2 heures 3. Un avare de père Acte I, scènes 45 Acte III, scène 1 Acte IV, scène 3 2 heures 4. Un avare de maître 5. L’affrontement avec Cléante 6. L’affrontement avec Valère et le dénouement 2 heures

COMPARAISON : Mettre deux choses différentes en vis-à-vis METAPHORE : Comparaison sans outils de comparaison. EXEMPLE : L'oeil d'un homme est une fenêtre. REPETITION : Reprise d'un mot ou d'un groupe. ENUMÉRATION : Liste d'au moins trois éléments. EXEMPLE : Dans mon jardin, il y a des fraises, des cerises, des pêches et des bananes. HYPERBOLE : Exagération de langage,procédés d’exagération. EXEMPLE : Je vous l'ai déjà répété cinquante millions de fois. ANAPHORE : Répétition d'un mot ou d'un groupe

(documentez- vous sur « le spectacle dans un fauteuil » de Musset. Autre exemple Cromwell de Hugo est injouable car il y a beaucoup trop de personnages. L'intérêt de ce genre de texte est la forme dialoguée très vivante et les spécificités du genre théâtral qui demeurent à la lecture (coup de théâtre, quiproquo, etc....) II. Mais intérêt de la représentation A. Le texte théâtral est fait pour la scène. (Par exemple, l'aparté se comprend mieux quand il est joué ; cela est vrai de tous les

répétition fait rire lesspectateurs, par exemple dans « l'Avare » de Molière lorsqu’ Harpagon répond à sa fille Elise en reprenant exactement les mêmes phrases. Le théâtre suscite ces réactions en utilisant par exemple le Valet decomédie, qui est le personnage essentiel sur lequel repose le comique. Dans la pièce de Marivaux « le jeu de l’amour et du hasard », il fait rire par son langage, par son jeu et par la manipulation del’intrigue. Marivaux aime utiliser le quiproquo comme procédé humoristique. Dans

l'amoureux transi sont évidemment à étudier aussi, dans leur évolution. Pour étudier réellement cette évolution, les figures employées par Britannicus, et les champs lexicaux que l'on retrouve dans ses tirades sont très, très importants (quelques exemples : lexique de l'enthousiasme au début, hyperboles très fréquentes lorsqu'il évoque leur amour commun, langage courtois voire précieux sur certains vers --> galanteries à replacer dans leur contexte. le champ lexical de la douleur (chagrin, vers 3;

La scène d’ouverture par exemple, regroupe beaucoup d’informations sur l’état psychologique d’Argan puisque celui-ci est seul sur scène et exprime ses pensées à voix haute. Elle révèle non seulement son caractère monomaniaque mais aussi une personnalité avare et tyrannique : Argan

critique la société mais d'un point de vue comique et simple comme par exemple dans le barbier de seville de Beaumarchais. 2 les procedes comiques Il y a 4 procédés comiques,le comique de mots est tout se qui touche au domaine du language (répétition,jeux de mot,recours au jargon );le comique de gestes c'est certains gestes qui vont faire rire le pubic (giffle,bagarre,coup);le comique de situation c'est tout ce qui est quiproquo malentendu rencontre fortuite ;le comique de caractere est baser comme

des caractères, de situations. Sa fonction peut être ludique mais aussi critique. Les principaux procédés : –le décalage ou l’écart : un personnage est décalé par rapport au monde qui l’entoure, c’est ce qui le rend ridicule –le quiproquo : les quiproquos reposent sur un malentendu. Un personnage prend quelqu’un pour quelqu’un d’autre, ou il se trompe sur le sujet de la discussion. –le retournement de situation ou le dupeur dupé : un personnage tend un piège et y tombe lui-même –la répétition

pur divertissement promue par des théâtres privés. Le théâtre de boulevard est une comédie légère, fertile en intrigues et en rebondissements. Elle repose sur des séries de quiproquos et des hasards. Feydeau et Labiche sont les maîtres dans ce domaine. Des portes qui claquent et un amant dans le placard. Exemple de personnages : Mari, femme, amant, maîtresse, majordome, soubrette, avocat, prêtre Les thèmes récurrents sont : les affaires (les oppositions de classes, les conflits d’intérêts)

société à donner. Ils appartiennent à une époque, un temps donné de l’histoire. Le spectateur les accepte tout simplement parce que lui aussi appartient à cette époque et que le théâtre lui semble alors le reflet du monde tel que lui le perçoit. Par exemple, au milieu du XVIIe siècle, en réaction aux fantaisies baroques, on théoriciens des codes nouveaux. Boileau dans son Art poétique justifie la règle des trois unités et celle de la bienséance, au nom de la vraisemblance. L’esthétique dont Boileau s’est