Exemple De Quiproquo

elle-même qui devient drôle. Cela peut être le cas lorsqu'on met un personnage en difficulté, en particulier lors de l'apparition d'un personnage qui dérange. Par exemple, c'est le cas lorsque Mme Jourdain rentre chez elle et trouve M. Jourdain en train d'essayer de séduire Dorimène dans Le Bourgeois Gentilhomme de Molière. Le quiproquo est un des éléments qui constituent le comique de situation. Le comique de geste qui intervient souvent au théâtre. De nombreux éléments en font partie, comme les

délivré Chérubin et l’a poussé à s’enfuir (scène 14), dans notre extrait elle prend la commande des opérations en se substituant au jeune homme : « Prenons sa place au plus tôt. », ce que marque l’impératif « prenons. Elle installe donc elle-même le quiproquo sur lequel est fondée la scène 16, devenant ainsi le « metteur en scène » des autres personnages. Car, en désamorçant ainsi la colère du Comte et ses effets dévastateurs, elle transforme aussitôt son maître et sa maîtresse en acteurs malgré eux

parodie, au burlesque, à la caricature, à la parodie ou encore au travestissement. Le comique peut naître d'une situation (par exemple une situation absurde), d'un comportement, d'un caractère ou encore de gestes. Il provoque le rire, le sourire, l'amusement. Les thèmes sont extrêmement variés : les défauts d'un personnage, la vie quotidienne etc. Répétitions, quiproquos, propos décalés, actions ou paroles qui semblent illogiques, jeux de mots (Calembours, néologismes amusants)... Comédies, théâtre

amuse le spectateur * Usage du quiproquo : dans l’Avare de Molière malentendu entre paysan Molière Harpagon croit que le valet lui parle de sa cassette alors que celui-ci lui parle d’Elise qu’il considère comme le trésor de sin cœur. 2) Un espace d’évasion * L’oubli des / une sorte de loisir : le médecin malgré lui de Molière : Sganarelle se passer pour un médecin : 3) Un vecteur d’émotion tristesse (tragédie) enthousiasme * Par exemple dans les caprices de Marianne le lecteur

oublier ses problèmes le temps d’un spectacle. On se moque dans la pièce L’école des femmes de Molière, qui grâce à son habileté et son écriture amuse le public, en créant un quiproquo dans l’acte II, scène 5 entre Arnolphe, obsédé par la crainte d’être cocu, et Agnès qui vient de s’ouvrir à l’amour. Molière crée ainsi un quiproquo qui montre la naïveté d’Agnès face à la souffrance d’Arnolphe et un équivoque entre l’amour et le ruban. On peut aussi citer la scène 3 de l’acte IV dans la pièce de théâtre

Or elle se confie à Gubetta afin de le convaincre d’une grande révolution : elle veut opérer une révolution sur elle-même, devenir un exemple de vertu. Ce changement suscite l’ironie de son confident. Néanmoins l’amour de Gennaro, son fils, qu’elle contemple endormi, alors qu’elle ne l’a pas vu depuis longtemps et qu’elle ne peut révéler son identité, l’incite à se métamorphoser. D’ailleurs

représentés de manière plaisante les mœurs, les défauts, les ridicules des êtres humains. Ainsi, le genre comique permet de susciter le rire ou le sourire, qui est une marque de l’amusement du spectateur. Le théâtre suscite ces réactions en utilisant par exemple le Valets de comédie, qui est essentiellement le personnage sur lequel repose le comique. Il fait rire par son langage, par son jeu et par la manipulation de l’intrigue. Dans L’Ecole des Femmes de Molière, Alain et Georgette remplissent ce rôle. Dans

meilleur exemple étant la scène 6 de l’acte II où Junie tente de protéger Britannicus de Néron qui est caché. Celui-ci brise l’intimité du couple et limite donc leurs moments de complicité. Par ailleurs, le couple Britannicus-Junie, est surtout l’histoire d’un amour impossible, condamné depuis le début par la folie de Néron qui lui aussi est amoureux de Junie. L’histoire d’amour entre Britannicus et Junie est une idylle tragique, leur sort à la fin de l’œuvre en est le meilleur exemple. De plus

est construit comme un long dialogue, constitué des répliques échangées par les personnages : la longueur des répliques, les jeux d'échos qui se créent entre elles, renseignent souvent sur la nature des relations entre les personnages. Ainsi, par exemple, lorsque de très courtes répliques se font suite et s'enchaînent rapidement, on les appelle des stichomythies : ce procédé caractérise un échange vif entre deux personnages et peut traduire l'intensité tragique ou, au contraire, produire un effet

des expressions du texte. Exemple de consigne : Dans le passage des lignes 25 à 35, relevez le champ lexical de la peur. Exemple de réponse : Le champ lexical de la peur est : « effrayé », « trembler », « terrorisé », « une peur bleue »… ● Montrer / Prouver A l’aide d’éléments pris dans le texte, il faut démontrer l’idée donnée dans la consigne. Exemple de consigne : Montrez que le narrateur n’a plus le même point de vue sur ses parents que lorsqu’il était enfant. Exemple de réponse : Le narrateur