Existe T Il Des Vérités Indubitables

la pensée à la conscience. A travers une démonstration logique et complète, Descartes met en doute les données sensibles, rejette les vérités apparemment établies, pour ne retenir qu’une certitude inébranlable : « cogito, ergo sum ». Si Descartes est arrivé à cette conclusion qui a révolutionné la philosophie du 17eme siècle, n’est-ce pas un exemple indubitable de l’expression d’une pensée volontaire et personnelle ? Il crée une philosophie centrée sur l’homme, où c’est la conscience qui nous

chacune a donc sa loi propre. Ainsi, si nous connaissons la nature de l’individu, pouvons-nous en dériver tous les états changeants. Cette loi de l’individualité implique des passages à des états non seulement nouveaux, mais aussi plus parfaits. Ce qui existe est donc pour Leibniz l’individuel ; il n’existe que des unités. Ni les mouvements, ni même les corps n’ont cette substantialité : la substance étendue cartésienne suppose en effet quelque chose d’étendu, elle est seulement un composé, un agrégat

tout ce qu’il est possible de faire est-elle cohérente ? Répondre par l’affirmative impliquerait ici l’existence d’un stock [universel] de possibilités communes à tous ceux qui peuvent vouloir, penser et agir. Or il n’est pas évident qu’un tel stock existe. Deux contre-exemples : (i) le handicap de naissance ; (ii) les différences radicales entre des sociétés différentes. Une conception naïve, c'est-à-dire strictement décontextualisée [sortie de tout contexte ordinaire] de la liberté, c’est l’idée

dieu et non un homme. Or l‟homme ne peut être qu‟équilibré et non parfait, dont pas un dieu ou Dieu. Cet équilibre n‟est pas seulement caractériel (dont qui se ressent non pas seulement dans le caractère), mais aussi tout autre chose qui puisse exister ou être entreprit. Ainsi, on a l‟équilibre dans le sentiment (équilibre sentimental), l‟équilibre dans le mental (l‟équilibre mental), l‟équilibre dans la nutrition (équilibre nutritionnel), l‟équilibre dans l‟école (équilibre scolaire), etc… tous

construire tout. 1: point, 2: droite, 3: plan, 4: cube Cela vaut aussi pour la justice (carré parfait) et la Vérité (qui est une), (voir diode > oui/non) Platon s'inspire beaucoup de Pythagore et utilise les mythes pour expliquer les choses compliquées. Certaines croyances de Platon et Pythagore sont différentes. Ex: Incarnation et réincarnation des âmes. Platon pense que l'âme existe avant la naissance et survit après la mort. Pythagore pense que l'âme est coincée dans le corps et sauvée

................3 Epître dédicatoire à la princesse Elisabeth .................................................................................11 PREMIÈRE PARTIE : DES PRINCIPES DE LA CONNAISSANCE HUMAINE ...............13 1. Que pour examiner la vérité il est besoin, une fois en sa vie, de mettre toutes choses en doute autant qu’il se peut.........................................................................................................................................13 2. Qu’il est utile

Théorie et expérience Introduction La démonstration, en tant qu'outil, propose deux définitions successives de la vérité : primo, les propositions démontrées - mais on a vu que cette définition renvoyait au problème de la vérité des prémisses ; et secundo, avec Descartes, les évidences indubitables (premier précepte de la méthode) - mais aussi bien que philosophie qu'en géométrie ou en logique, nous avons vu que des "évidences" en apparence aveuglantes non seulement se révèlent contestables,

s’est pas dégagé de la forte imprégnation stalinienne qui le caractérise depuis longtemps). C’est seulement après la seconde guerre mondiale, et certainement en rapport avec son issue, que l’opinion savante a rompu radicalement avec les évidences indubitables du XIXè siècle. Comme le rappel Léon Poliakov, « pour Darwin, la distinction entre les races supérieures et inférieures allait de soi, et n’avait nul besoin d’être prouvée ». Il s’agit alors de prononcer un rejet sans discussion (discuter serait

conscience n’a pas de « dedans ». À partir de cela, nous pouvons dire que la conscience n’existe pas par elle-même : c’est à ce moment-là que l’on retrouve la thèse de Husserl dans ce que dit Sartre, car si la conscience ne peut pas exister par elle-même, elle existe alors pour d’autres choses, et c’est là que nous retrouvons les fameuses intentionnalités de Husserl. Nous pouvons bien entendu douter de la matérialité de ces choses, mais certainement pas de leur existence en tant que phénomènes, étant

est identique. On pourrait donc imaginer que l’Univers se figera en un instant “T”; ce sera la fin de l’Univers.Ce qui marque la puissance du second principe de la thermodynamique, c’est le fait de déduire le début de l’Univers à partir de sa fin indubitable. En effet, il est de l’Univers comme ce feu de cheminée qui se consume jusqu’à s’éteindre. En inversant le temps, nous déduisons que les flammes étaient plus vives, le bois en opulence mais fini. Supposer que le bois est infini voudrait signifier