Existe T Il Une Morale Universelle

philosophe Walzer questionne la moralitde la guerre, plus pr馗is駑ent il cherche 騁ablir sous quelles conditions une guerre peut 黎re consid駻馥 comme 騁ant juste et, inversement, comprendre quand elle peut 黎re d馗lar馥 comme n'騁ant pas juste. En autres mots, existe-il une r饌litmorale la guerre? Pour r駱ondre ceci, Walzer s'attaque d'abord au r饌lisme, th駮rie pr駱ond駻ante dans l'騁ude du ph駭om鈩e de la guerre, en r馭utant l'amoralitde la guerre. Par la suite, l'auteur peut affronter les principales probl駑atiques, notamment

chercher à déterminer la ou les fonctions qu’ont rempli ces dispositifs au cours de l’évolution ou autrement dit la raison pour laquelle ces dispositifs ont survécu d’une génération à l’autre: pourquoi éprouvons-nous de la honte ? pourquoi sommes-nous moraux ? Dans ce chapitre, nous allons voir comment l’étude évolutionniste de la psychologie humaine peut éclairer les phénomènes sociaux et culturels. Il est important de noter qu’à la différence de la sociobiologie, la psychologie évolutionniste ne cherche

Que dois-je faire ? [Accroche] Dilemme moral : un meurtrier me demande où est passé sa victime (la personne qu’il veut assassiner) ? Dire la vérité et conséquence dramatique OU mentir ? Dans de telle(s) circonstance(s), [Sujet] : que dois-je faire ? [Présupposé du sujet] : je ne sais pas ce qu’il faut faire mais il existerait une bonne action à faire, une réponse morale qui relèverait de l’obligation, un devoir. Dois-je

Sommaire Introduction 2 I. Processus de socialisation par transmission des valeurs 3 A. La socialisation 3 B. Les différents agents de socialisation 5 II. Pourquoi et comment adopte-t-on certaines valeurs ? 7 A. La théorie des valeurs universelles selon Schwartz 7 B. Influence des instances et de notre entourage 9 C. Influence des groupes d’appartenance 11 III. Disparition des valeurs 12 A. Anomie et « désintégration » 12 B. Montée certaine de l’individualisme 13 Conclusion

Crozat Saline. L1 Droit. G9 DISSERTATION La règle de droit et la morale. Introduction. Accroche : « La morale n'est légitime qu'à la première personne. La morale ne vaut que pour soi ; pour les autres, la miséricorde et le droit suffisent ». [André Comte-Sponville, écrivain et professeur de philosophie français né en 1952] Extrait de Pensées sur la morale. Définition et contenu du sujet : Une société est régie par un certain nombre de règles. Il y a des règles religieuses que l’on

mais au regard du droit peut importe. Contrairement à la morale ou à la religion, le règle de droit est obligatoire, elle s’impose à tous car elle émane de l’autorité publique et la règle est édicté en vue de réaliser un ordre social de justice et de sécurité. Il convient d’observer que dans notre système juridique, la règle de droit n’a pas forcément la même force. Il faut distinguer la règle impérative et la règle supplétive. Il existe une intensité dans la règle de droit. A. Les règles

de valeurs peuvent s’affronter : les valeurs intellectuelles : celles qui concernent les différents niveaux du savoir (les informations, les aptitudes, les capacités…) Les valeurs morales : il existe 2 types de définitions des valeurs morales. « Les premières définissent les valeurs morales comme réalisées, et la morale se ramène à un portrait de l’homme vertueux (…) Les secondes, de Platon jusqu’à Kant, définissent ces valeurs comme des normes, qu’on doit réaliser sans jamais savoir si l’on y parviendra

Explication du raisonnement juridique conduisant à la solution (=la motivation) I. La notion de « droit » Il existe plusieurs familles juridiques  le « droit » n’a rien d’absolu, ni dans le tps ni dans l’espace - Dans la famille romano-germanique : la règle de droit est tj écrite et elle préexiste au litige auquel nous allons l’appliquer (n’est pas rétroactive) Rq : il existe une exception à la non rétroactivité au niveau du droit pénal par soucis d’équité (si la loi est davantage fav auj

sensée être « tranquille » ? Cette conscience morale, ne serait-elle pas une illusion, même si elle semble si chère au cœur de l’homme ? Il nous faudra d’abord élucider cette notion en la définissant et en observant ce qui semble certain pour beaucoup de penseurs. Ensuite, nous pourrons tenter d’en fixer les limites et enfin, nous nous efforcerons d’en dégager les constantes et les avantages de l’existence de cette conscience morale. Selon le dictionnaire Robert, le terme «  conscience »

une réalité portée à son plus haut degré et ne comportant aucune restriction. Métaphysique : désigne un ordre de réalité parfait, autosuffisant, ne se fondant que sur soi. 1. Absolu s’oppose à relatif En ce sens, est absolu ce qui ne dépend (pour exister, être vrai) que de soi et de rien d’autre que de soi. Par exemple, la proposition « Il fait beau » n’est pas une vérité absolue parce que sa vérité dépend de conditions atmosphériques précises ; ou encore : un être vivant n’est pas absolu parce que