Explication De Texte Kant Critique De La Raison Pure

la mort » un refuge ou un alibi, encore une consolation. Pour définir la droiture, Emmanuel Lévinas dit de la conscience, dans le « Texte du traité " Chabat " ³ », qu'elle est « l'urgence d'une destination, menant à autrui et non pas un éternel retour sur soi 4 » ou encore « innocence sans naïveté, une droiture sans niaiserie, droiture absolue qui est aussi critique absolue de soi, lue dans les yeux de celui qui est le terme de cette droiture et dont le regard me met en question. Mouvement vers l'autre

Hautes Etudes Scientifiques 35, route de Chartres 91440 Bures-sur-Yvette R´sum´. On passe en revue les conceptions ´pist´mologiques d’Einstein, en indiquant leurs racines e e e e e e e e philosophiques. L’importance particuli`re des id´es de Hume, Kant, Mach et Poincar´ est relev´e. Les caract´ristiques particuli`res de l’approche de la physique par Einstein sont soulign´es. Enfin, on e e e consid`re l’application concr`te des principes m´thodologiques einsteiniens aux deux th´ories de la e e e e

Barthes un moyen d’assujettir ; en somme pour Barthes et Lévy il y a un lien concomitant entre langage, idéologie, et pouvoir. Cependant Reboul, émet une nuance : si l’idéologie est liée au pouvoir tout langage n’est pas en soi idéologique.[2] Cette critique permet d’éviter ce que Reboul nomme le « confusionnisme », des amalgames. Notamment celui entre discours et propagande. En effet la propagande et du côté de parole et sert l’action du pouvoir en émettant des messages tandis que le discours idéologique

du travail 5 Le travail est nécessaire pour cadrer l’homme : un argument ambigu 6 B. Le travail comme moyen de libération 7 1. La maîtrise de la nature (Descartes) 7 Le travail comme processus d’humanisation (Hegel) 7 Le travail comme devoir moral (Kant) 9 4. La libération par la technique : la fin du travail ? (Marx) 10 C. L’aliénation par la technique 10 La technique affaiblit l’homme (taoïstes, Platon, Montaigne, Rousseau) 11 Ce qu’on possède nous possède 11 L’aliénation par la nouvelle organisation

Conclusion………………………………………………………………………………...p.13 Bibliographie………………………………………………………………………….…..p.15 2 Introduction : « Que le monde aille mal, c’est une plainte qui est aussi vieille que l’histoire…aussi vieille que le plus vieux de tous les poèmes1 » disait Kant ! En effet, à l’expérience du mal, tous nous sommes confrontés dans notre existence, à un moment où à un autre, de près ou de loin, alors même que tous nous portons au plus profond de l’être cette soif de bonheur. Le mal se pose souvent comme un

C., Homère et Hésiode ont retranscrit de nombreux mythes grecs. 1ers philosophes grecs Appelés "les philosophes de la nature" (puis ultérieurement "présocratiques"). Philo-sophe = qui cherche à atteindre la sagesse Xénophane, premier regard critique sur le mythe : les hommes ont crées les dieux à leur image. ⇒ Croyaient en l'existence d'une "substance élémentaire", à l'origine des métamorphoses de la vie. ⇒ Cherchaient à comprendre la nature en l'étudiant elle même, sans avoir recours aux dieux

et le possible est une des provinces du vrai » écrit Baudelaire (texte 1). Mais l’imagination est également une source d’erreurs et d’illusions, car elle nous renseigne moins sur la réalité elle-même que sur les réactions de notre corps et de notre sensibilité à notre milieu. C’est l’interférence des sources de nos représentations qui serait la cause de l’illusion, dont l’imagination est en l’occurrence directement responsable (texte 2, d’Alain). Il faut donc se demander pourquoi l’imagination fait

rendez-vous et donc fixer des repères – mais il n'a rien à voir avec ce flux continu, cette pure durée qui est la donnée fondamentale de la conscience. Ce temps que l'on pourrait dire dénaturé est en fait un temps spatialisé, le produit de la projection de la durée dans l'espace. C'est cette dichotomie entre temps et durée opérée par la projection de la durée dans l'espace que Bergson décline tout au long d'un texte souvent touffu, parfois répétitif mais toujours éclairé par le recours constant à des

avec l’arrivée du vivant dans l’être. En effet, le vivant animé par le métabolisme, offre une « surprise ontologique » pour reprendre l’expression du philosophe allemand. C’est en quoi il faut penser le vivant sur le mode inaugural, c’est-à-dire une pure contingence, un à-être qui n’a pas choisi d’être et qui concilie son ancrage naturel à la liberté qu’il inaugure. C’est ce que veut dire Jonas lorsqu’il envisage le vivant comme « liberté dans la nécessité ». « En un mot, la forme organique se tient

d'après l'idée d'une fin. C'est-à-dire que la cause de l'objet, c'est l'idée, le but qu'a eu le travailleur. Il est vrai que le produit naturel est parfois semblable à celle du travail humain. Parfois même il est supérieur en qualité. Pascal, Kant puis Marx se sont émerveillés devant la parfaite régularité des alvéoles de cire faits par les abeilles. Ce sont des hexagones réguliers. De même on peut admirer le fil de l'araignée, si fin et pourtant si solide. Mais le résultat du travail