Expose Sur Un Peintre Rubens

ressemblance. On date de ces années l’apparition de l’abstraction en Europe, mais il s’agit d’un long mûrissement de l’esprit et des sens, qui s’est développé tout au long du XIX me siècle. Le traité des couleurs (1810) de Goethe va influencer des peintres comme Turner au début du siècle et introduire dans le processus de représentation des questionnements optiques inédits. Les artistes deviendront « impressionnistes » grâce au tableau de Monet : Impression soleil levant, montrant une vue de la Tamise

sans modèles Sujets nouveaux, non religieux : portrait, homme et femme nus, mythologie. On cherche la beauté idéale jusqu’au maniérisme (les femmes au long cou de la fin du XVI°), * peinture : - utilisation de la toile et du chevalet, les peintres ne sont plus collés aux murs ou au lutrin, ils voyagent plus. - texte de Vinci(1452-1519) utilisation de la perspective - La Joconde recherche de représentation exacte : et le Sfumato (formes douces et claires dans la pénombre). - Michel-Ange

Choix du thème (goût bourgeois de l’époque, mythologie, antiquité, histoire religieuse, portrait officiel) Aide à comprendre l’image et le sujet Pratique intellectuel (Léonard de Vinci : Cosa mentale) Esthétique néo-classique Les 2 plus grands peintres sont David & Ingres (ses sont des dessinateurs) LE LOUVRE • 1830/40 : multiplication des musées & décentralisation de l’art > Idée de partager en France les grandes collections du Louvre, puis création du musée du Louvre pour

s’accompagner d’un état de pensée, une évasion de la société. On veut revenir à une société plus moralisé. Johann Joachim Winckelmann, historien, dit qu’il faut s’inspirer de l’antiquité, de ses sujets, de sa moralité. A partir milieu 18ème, des peintres vont suivre cette mouvance comme Joseph-Marie VIEN 1716-1809 .Peu d’artistes comme Joesph Marie Vien on lui parlait comme in restaurateur de l’ecole francaise.son importance a ete d’avoire suscite une nouvelle voie pour le mouvment artistique

dans différentes revues et se lance dans la critique des salons de peinture. En 1869, son père meurt et avec son héritage, il loue le château de Burnot près de Namur. En 1870, Lemonnier parcourt le champ de bataille de Sedan avec son cousin le peintre Félicien Rops . Il écrit alors « Sedan ». Ce texte influencera la rédaction de « La débacle » d’Emile Zola. Entre 1872 et 1879, de nombreux contes paraissent. « Un mâle », son premier grand roman, d’abord publié sous forme de feuilletons dans

Pour avoir une Phèdre parfaite, il fallait le plan de Pradon et les vers de Racine. C’est lorsque ces deux poètes se rencontrent le plus pour le fond des choses, qu’on remarque mieux combien ils diffèrent pour la manière de les rendre. L’un est le Rubens de la poésie ; et l’autre n’est qu’un barbouilleur. On n’est point étonné que Racine ait mis deux ans pour écrire une pièce où il s’est surpassé lui-même, et qu’on peut regarder ainsi qu’Athalie, comme le triomphe de la versification. Mais ce qui

HISTOIRE CULTURELLE ET INTELLECTUELLEL2 HISTOIRE G1HISTOIRE MEDIEVALEDISSERTATION SUR LE SUJET  : La mort baroque. La mort de la Vierge est un tableau qui fut réalisé par le peintre baroque El Caraveggio en 1606 à la demande de l’ordre des Carmes déchaux ; celui-ci représentant la Vierge Marie comme un simple cadavre dont les chairs sont gonflées et les cheveux emmêlés.

des visions d’époque. Entre le XVe et aujourd’hui, les sensations harmoniques acceptées et rejetées vont d’un extrème à l’autre. La loi des couleurs est intemporelle. Au cours des siècles, le défi de la couleur s’est maintes fois renouvelé. Avec le peintre Georges de La Tour, les couleurs sont rougeâtres, pour les pointillistes les couleurs sont divisées, Henri Matisse, lui dessine avec ses ciseaux, directement dans la couleur du papier. Il n’y a pas de formules magiques. Par contre, nous avons, aujourd’hui

entraîne dans un rêve éveillé, comme le souhaitait Magritte. Quatre panneaux d’illustrations et textes donnent des repères simples sur la vie et l’œuvre du peintre belge surréaliste. On peut circuler entre de grandes silhouettes qui présentent recto verso une douzaine de grandes reproductions à bien regarder pour se familiariser avec l’univers du peintre. Plus ludique, une tour à trois faces avec fenêtres et volets pour découvrir des détails des œuvres, textes ou clins d’œil. Les enfants peuvent aussi

dispositif poétique, exerçant une fonction synoptique et mnémonique. Elle renferme cependant un défi : exposer un ouvrage consacré aux ambivalences de la vue. Céline Bohnert (p. 99-113) ouvre pour nous l’édition des Métamorphoses d’Ovide en 1677 à Bruxelles, qui scelle la rencontre de l’édition savante et de la tradition emblématique. Les gravures à l’eau-forte de goût flamand (dans le style de Rubens) renseignent sur les aspects de l’œuvre ayant acquis de la popularité, mais imposent aussi une orientation