Exposé Vanité

. L’auteur et le peintre Baroque nous montrent leur fascination pour la mort par la peinture de cranes ou de sang , donc en mettant ce thème en avant dans la plupart des textes baroques comme dans sermon pour le jour de pacques de Bossuet ou dans vanité de l’enfant aux bulles de savon pour la peinture. La vie est souvent comparée et mise en lien avec l’eau comme dans le tableau de guiseppe cesari « diane et acteon » ou dans le poème de Matthieu « le monde est une mer , la galère est la vie

récidive. Vanité Son titre nous éclaire sur les objectifs du peintre : dénoncer le caractère illusoire de réalités et de valeurs chères aux hommes prisonniers du paraître, des artifices et de toutes les satisfactions futiles, éphémères, vides, qui leur sont associées. L’image doit alors être lue et interprétée dans sa fonction symbolique. Le regard est d’abord capté par la lumineuse coloration de la tulipe qui domine la composition florale du bouquet. C’est la « fleur reine » des vanités peintes

crane n'est pas déformé, il est même très bien proportionné.  Le crâne aussi est symbolique. Ce crâne symbolise une « Vanité «.  D’après les historiens, Dinteville, de nature mélancolique, avait une devise « memento mori » (souviens-toi de la mort). Holbein le Jeune traduit sa pensée: Nulle puissance n’égale celle de la mort. La domination, la prestance, le luxe ne sont que vanité. Cette anamorphose rend donc vain tout le luxe et le culte du savoir des hommes de l’époque de la Renaissance. Holbein

Baldung Grien (1517) Figure 7: Triptyque de la vanité terrestre et la salvation divine, Hans Memling 1485 Figure 8: Fresque de danse macabre de l’Eglise St Germain de La-Ferté-Loupière (fin XVème siècle, début XVIème siècle) Figure 9: Les vieilles où le temps, Goya (1808-1812) Figure 10: Portrait du peintre Hans Burgkmair avec son épouse Anna, Lucas Furtenagel Figure 11: La Madeleine à la veilleuse, Georges de la Tour Figure 12: La vanité où l’allégorie de la vie humaine, Philippe de

176.) pour montrer la fragilité et la finitude de l’homme. Relevé : le caractère éphémère de la vie humaine et sa fragilité, ligne 1 « naître faible », « pour végéter quelques minutes sur la terre » ; thème de l’ignorance (vanité humaine ; voir tableaux allégoriques « les vanités ».)…………………………. Procédés : «  végéter, engraisser » : métaphores (plantes) quelques minutes : hyperbole …………………………………………………………………………………………………………………………………………. Anaphores pour structurer : puisque/quand/c’est moi seule… :

d’imaginer un état d’avant ou d’après la conscience, un état d’hébétude, de silence, d’extrême concentration, de recueillement, qui tient à la fois de l’animal (sa sauvagerie, son amour des petits poissons, des dindons…) et du saint (isolement, mépris des vanités du siècle, relatif ascétisme, tension vers un absolu). Il sait aussi qu’il doit transmettre avant de mourir : il a laissé à Marin Marais le plus de temps possible pour mûrir mais finit, sentant l’approche de la mort, par l’accepter comme disciple

Simon Luttichuys Vanité, 1667 Huile sur toile, 52,5 x 59 cm Leyde, Stedelijk Museum de Lakenhal Sur cette peinture, Nous pouvons observer un crâne entouré : - D’un violon, cet instrument dont l’appareil se décline en âme, ouïes, chevilles, jambes, cœur, estomac … .De plus, sa sonorité se rapproche le plus de la voix humaine. Dans le bois qui constitue le violon se cacherait-il un être vivant ? Le violon serrait-il un pont entre le monde d’ici-bas

de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage. Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène. Mais Camille apprend par Dame Pluche que Perdican

l’anamorphose( une projection allongée d’une forme en elle-même). Un crâne ? Oui, une « vanité », destinée à rappeler que nulle puissance n’égale celle de la mort, que le pouvoir, politique intellectuel ou religieux, ne donne que l’illusion de la jeunesse ( ! rappelons nous leur âge) et de la domination, que la prestance, les étoffes lourdes, le pavage délicat sur lequel on se tient, tout cela n’est que « vanité ». Au-delà de la technique artistique et de la richesse symbolique de l’œuvre, on peut

plutôt que de penser et agir. C'est une doctrine visible chez les grands auteurs des lumières comme Monsieur Arouet, ou plus connue sous son nom de scène Voltaire. Les philosophes modernes, et les orateurs sont donc des partisans de l'oisiveté et de la vanité; Ils sont donc d'une utilité, comme vous le comprendrez, indispensable pour le développement de l'intelligence de tous.