Expression Maçonnique

n'y a pas si longtemps encore) portaient les habits noirs jusqu'à leur décès et elles ne pouvaient se remarier sous peine d'être rejetées du clan familial. Elles étaient comme « mortes », enfouies dans le noir. Nous employons toujours certaines expressions datant d'époques très lointaines, telles que « Idées noires », « Être la bête noire », « Humeur noire » pour qualifier un état dépressif, la colère, ou tous thèmes obsessionnels et d'inhibition. Le noir est l'antithèse du blanc, couleur donc

sa propre et libre interprétation ? Car l’interprétation de l’outil n’a de sens qu’en fonction du F\ qui le conçoit. Il existe, néanmoins, une explication livresque, subjective, mais hélas communément admise. (cf. définitions in « la symbolique maçonnique » - Jules Boucher -1946). Par exemple : - le fil à plomb, est censé nous indiquer la verticalité, mais également l’introspection, la connaissance de soi. Mais l’axis mundi horizontal. - Le ciseau, la volonté de perfection, outil de transmission

linguiste Jacobson en parlant de la substitution des mots par rapport aux choses. La substitution n’est pas une simple opération translative (je remplace la chose par un mot qui est lui-même agent de signification appartenant à une langue, elle-même expression d’une culture …) ; elle se réfère à l’essentiel : en quoi un être ou un signe a-t-il autant de réalité ou de sens que ce qu’il remplace ? C’est la question fondamentale que pose la substitution. C’est pourquoi les Grecs avaient nommé le tombeau

mieux dégrossir nôtre pierre brute et mieux appréhender nôtre cheminement à l’intérieur du temple. Cette expression « les colonnes » désigne à la fois, les deux colonnes dressées verticalement de part et autre de la porte du temple et les deux rangées horizontales qui se font faces et sur lesquelles les francs-maçon prennent place. Tout récipiendaire qui entre dans une loge maçonnique doit obligatoirement passer entre les deux colonne situées à l’occident, celles ci marquent, symboliquement

repousser l’obscurantisme sous toutes ses formes. Sa fête, le 27 décembre, est proche de la date traditionnellement attribuée à la naissance de Jésus, dans la nuit du 24 au 25 décembre. Comme si le Logos, la Lumière réduite à sa plus faible expression dans son incarnation sous la forme d’un bébé, avait un besoin primordial du Témoin qui rappellerait, dans les deux jours qui suivent, son origine transcendante : « Au commencement était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe

nombre 3, Quand je commence à réfléchir au chiffre 3, c’est tout d’abord une multitude de phrases qui me viennent en tête, sans ordre précis : jamais 2 sans 3 - à 3 on y va - 1,2, 3 partez - je ne vais pas le répéter 3 fois, mais aussi des expressions comme, Ne casse pas trois pattes à un canard, et bien d’autres encore. Des phrases de tous les jours. Le trois m’entoure et me donne le tournis, il est partout « nous évoluons dans les trois dimensions », nous vivons dans un monde qui respecte

cette dernière : la transmission de la Lumière lors de l’initiation. 1- L’Épée au REAA : Présente en Loge depuis une époque récente, l’Épée Flamboyante a-t-elle une légitimité ? Si des représentations du XVIIIè siècle de cérémonies maçonniques montrent des Frères maniant des épées, celles-ci sont à lame droite. L’Épée Flamboyante, caractérisée par une lame de forme ondulée, semble n’apparaître qu’au XIX è siècle sur le plateau du Vénérable Maître au Rite Écossais Ancien et Accepté.

français, le mot est devenu largement synonyme de démocratie, et s’oppose alors à despotisme ou monarchie.   Trois notions clefs se dégagent donc quand on parle de République  : 
Intérêt Général / Intérêt Public / Bien Commun   Sous un angle plus maçonnique : le lien entre la République et la maçonnerie est plus qu’évident, il est même historique, jusqu’au partage de la devise « Liberté, Egalité, Fraternité », que la maçonnerie a emprunté contrairement aux idées reçus à la République et non l’inverse

tenue maçonnique, le VM prononce cette phrase : « Nous avons droit au repos »Et juste après, plaçant sa main droite sur le cœur il indique : «  Nous allons enfermer nos secrets dans un lieu sûr et sacré. ». Il est difficile, pour moi, de séparer ces 2 phrases. Banale en apparence, cette affirmation peut nous amener très loin tant elle embrase différents domaines qu’ils soient religieux, sociaux, économiques ou politiques. Je vais essayer de me cantonner au plan strictement maçonnique même

nous décrit les grenades ainsi: "La porte s'ouvre à l'occident entre deux colonnes creuses, aux chapiteaux ornés de lys égyptiens et couronnés de pommes de grenades entr'ouvertes; ces fruits aux grains symétriquement rangés rappellent la famille maçonnique, dont tous les membres sont harmonieusement reliés par l'esprit d'ordre et de fraternité." Mais le symbolisme de la grenades est plus riche encore, et nous le retrouvons dans toutes les civilisations du pourtour méditerranéen. Dans la Grèce