Fable Avec Morale Implicite

our le commentaire de la fable… Une fable égayée Une scène de farce : du vers 8 au vers 17, la mise en scène est très théâtrale. Le lexique : « carrefours », « soufflet », « criant », « argent », « vendait », « achat » → une place de marché animée. La thématique lexicale de la farce : « grimaces », « soufflet », « crédules », « dupes ». Les figures de la répétition : les imparfaits à valeur itérative « on essuyait », « on avait », « s’en fâchaient » suggèrent une série

La fable est un récit où l’on parle, où l’on s’amuse et où l’on pense. Il est impossible de l’évoquer sans penser à La Fontaine, chemin obligé de tous les écoliers, qui l’apprennent par cœur et souvent de bon cœur. Ce corpus composé de trois textes : « Le Loup et l'Agneau » de Jean de la Fontaine extrait du live I, chapitre 10, Fables écrit en 1668 puis « Le Crocodile et l'Esturgeon » de Florian extrait du livre V, chapitre 12 Fables écrit en 1792 et « L'Ogre et la Fée » de Victor Hugo extrait de

et mort le 13 avril 1695) est un poète français de la période classique. Il apporte un nouveau genre littéraire avec la fable qu'il utilise pour observer et critiquer la société. Proche des milieux politique et notamment de Fouquet, il occupe une position privilégié pour observer les rouages de la monarchie sous Louis XVI. Il vivra entre autres la période de la fronde, cette fable tirée du livre trois des fables de La Fontaine, s'inscrit dans ce contexte de révolte. Inspirée d’Ésope, elle illustre

l’origine une fable inventée par Esope, écrivain grec dont Phèdre (latin) est le successeur. La Fontaine s’est probablement inspiré d’une fable de Phèdre : Le lion régnant. En quoi cette fable est-elle divertissante et édifiante ? Nous verrons tout d’abord ce que fait La Fontaine pour plaire, puis nous verrons la critique implicite présente via la personnification. I/ Le plăcēre (ce qui plait) (dire plakéré) A/ Un récit vif et animé 1) La structure de la fable Nous pouvons

malade. " Commentaires : Il s’agit d’une fable qui met en relief les défauts humains et d’une satire sociale. En effet, le mulet portant l’argent est fier, « glorieux d’une charge si belle » (V3), mais c’est sur lui que les voleurs vont s’acharner et non sur le mut « d’avoine chargé »(V1). Elle met donc en relief l’orgueil à travers l’allégorisation du mulet du fisc. La Fontaine prend la position du mulet et nous invite à la modestie et à la modération. La morale est explicite, clairement énoncée avec

le Renard est une fable qui fait partie du Livre 1 de Jean de la Fontaine, un des premiers recueils de fables, édité en 1668. Elle met en opposition deux animaux aux caractères bien déterminés dans le but de délivrer une morale. Pour ce faire J.de La Fontaine utilise des procédés comme : - la variation des temps : Passé simple/ imparfait/ présent de narration pour le récit ( pour présenter l’action) ; puis le présent d’actualité pour le dialogue ( en temps réel) et la morale ( à vocation universelle)

compris la force de l’argumentation dans la fiction. On appelle cette forme de l’argumentation, indirecte ou implicite. L’auteur n’argumente pas personnellement, mais à recours à la fiction pour faire passer son message. L’auteur transmet sa pensée par un ou des personnage(s) fictif(s). La mission de l’écrivain est donc que le lecteur déduise à travers la fiction, le véritable enjeu du texte, la morale de l’histoire. Cependant, jusqu’où cette argumentation indirecte est-elle efficace pour offrir au lecteur

lecture analytique : Ce texte présente une structure narrative simple qui croque des topoï (inspirés des Fables d'Esope ; VII-VI AC) : des animaux symboliques anthropomorphes. La fable, grâce à son caractère poétique, permet de mettre en scène un dialogue argumentatif en utilisant des registres variés. Sa morale implicite l'inscrit dans une fonction d'apologue dans la mesure où l'auteur véhicule sans en avoir l'air une vision de la vie dépourvue d'ambiguïté : la liberté contre la servitude au prix

TEXTE 1 : Les animaux malades de la peste, La Fontaine Intro: Auteur: - C'est sur la Fable LAMDP que s'ouvre livre 17 des Fables de la F - Depuis 1678 LF . s'intéresse de + en + à l'homme . accorde + de place à satyre de société contemporaine - Ce fabuliste utilise beaucoup l'apologue - Ds cette fable LF pointe du doigt l'injustice qui règne à la cours - montre comment un conseil (réuni par le lion) pour châtier le plus coupable finit par sacrifier le moins

d’autres entités ou des êtres humains. Une morale est généralement exprimée à la fin ou au début de la fable quand elle n’est pas implicite, le lecteur devant la dégager lui-même. Pour Phèdre, le fabuliste latin, « Le mérite de la fable est double : elle suscite le rire et donne une leçon de prudence1. » Cette portée didactique des fables peut expliquer que les fables ont circulé et ont été reprises d'une culture à une autre. Selon G. K. Chesterton, « la fable est une sorte d'alphabet de l'humanité