Fabuliste Du Xviième Siècle

Personnellement je présente toujours La Fontaine comme un poète fabuliste, et je parle même de lyrisme parfois (eh oui!) à son propos. Avec en exemple un extrait des Deux Pigeons. • J'ai posé la question (La Fontaine, avec ses fables, est-il un poète?) à un éminent professeur de l'université de Liège, en Belgique, le Professeur Jean-Louis Dumortier, et voici sa réponse : "Incontestablement. Aujourd'hui comme hier. La fable, au XVIIe siècle, était un genre (mineur) de la poésie narrative. Depuis lors

constitué d’un court récit allégorique puis d’une morale, servant à divertir et instruire. « Je me sers d’animaux pour instruire les hommes » proclame Jean de La Fontaine qui s’avère être l’un des fabulistes les plus connu du XVIIème siècle, siècle du Classicisme. Jean de La Fontaine s’inspire des fabulistes grecs antiques pour rédiger ses fables. Ainsi il écrit Le Lion et le Moucheron en s’inspirant de la fable Le Cousin et le Lion d'Esope. Dans cette fable, Jean de La Fontaine nous dresse le portrait

_La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation Introduction – fables La première moitié du 17ème siècle voit l’avènement du style baroque, coincidant avec une instabilité politique, religieuse, la fronde… Le baroque fait preuve de goût pour l’illusion, les apparences, pour le mouvement, et rappelle la fragilité de la vie. On peut trouver dans le baroque un certain goût pour la métaphore, la préciosité(qui d’ailleurs au départ était un mouvement respectable avant d’être tourné en dérision

LA n°2 : « La Besace », La Fontaine, Fables, I, 7 Introduction : - Fables : 12 livres, 243 fables, ≃ 30 ans, Inspiré des fabulistes de l’antiquité grécolatine (Ésope + Phèdre), Mise en scène d’animaux (Anthropomorphisme) - La Fontaine : Poète, Moraliste, XVIIème siècle (Louis XIV, Siècle des Moralistes), Classicisme - « La Besace » dénonce l’amour-propre des hommes. - Comment La Fontaine critique-t-il l’orgueil des hommes en mettant en scène un bestiaire ? I. Un récit dynamique A) Un récit vif •

La Fontaine, « Les deux coqs », Fables, VII, 12, 1678. Jean de la Fontaine est un poète fabuliste français du XVIIème siècle. Il s'est inspiré et a même souvent repris les fables d'Esope, auteur grec du VIème siècle avant Jésus Christ. C'est, à travers ses fables éditées dans douze livres parus entre 1668 et 1694, qu'il nous communique ses idées. Mais, afin d'éviter la censure, dans ses critiques, Jean de la Fontaine représente les hommes par des animaux. I/ Le registre burlesque 1. Valorisation

| |Année de décès |1694 | |Siècle |XVIIème siècle | |Biographie |La Fontaine (1621-1695), après avoir repris la charge paternelle de Maître des Eaux et Forêts

personnels identifiables (vocabulaire adapté : renard contraste élogieux / dépréciatif, âne franchise) · Contraste foule / certains animaux précis II - Une scène critique de la justice et du pouvoir Introduction La Fontaine, fabuliste du XVIIème siècle, a souvent utilisé des animaux pour critiquer les hommes et leurs mœurs. 1. Le pouvoir : le roi et les courtisans · Personnages : lion brutale et injuste · Utilisation de modélisateurs / de verbes d’actions qui expriment

chêne et le roseau.   Sujet : Selon vous, à quoi tient davantage le pouvoir des fables : au récit ou à la morale? Vous appuierez votre réflexion sur des exemples précis tirés du corpus ou de vos lectures personnelles.                 Au XVIIème siècle, Jean de la Fontaine renouvelle, enrichit la fable en créant une véritable art littéraire. La Fontaine fait de la fable un oeuvre poétique alors qu'auparavant on ne la voyait que comme un travail de rhétorique. Le récit, le "corps" de la fable

ici en scène un vieillard qui n'est pas prêt à affronter la mort face à la « Déesse Cruelle », la faucheuse, représentée ici de manière inhabituelle puisqu'elle nous apparaît comme étant juste. Grâce à des procédés littéraires utilisés par des fabulistes depuis Pétrarque, Jean de la Fontaine parvient ici à faire réfléchir le lecteur sur le sens de la finitude de l'homme. Nous pouvons nous demander en quoi cette fable nous narre-t-elle une vision originale de la mort, et met elle en évidence la peur

La critique sociale et politique a souvent eu recours à différents moyens stylistiques offerts par la littérature. Les récits brefs, parfois versifies, ont été particulièrement prises par les moralistes du XVIIème siècle. Pour apporter son mot à ce sujet, Jean-Jacques Rousseau confirme, dans Émile ou De l'éducation, que les fablesinstruisent les hommes. Cependant, il affirme qu'elles ne sont pas destinées à tout public, notamment aux enfants. Les fables peuvent-elles être efficaces pour informer