Fanatisme

Calas, protestant faussement accusé et exécuté pour le meurtre de son fils, qui s'est converti au catholicisme, afin de le réhabiliter. Dans ce Traité sur la Tolérance, Voltaire invite à la tolérance entre les religions et prend pour cible le fanatisme religieux (plus particulièrement celui des jésuites où il a fait de brillantes études étant jeune homme) et présente un réquisitoire contre les superstitions accolées aux religions. L'œuvre voltairienne fait suite au procès, à la condamnation à

d’avis différents. La religion est sûrement une illusion qui rassure. Les Hommes s’enfoncent donc dans leurs ignorances et leurs espoirs. Ce coté rassurant de la religion attire les individus et les entraîne dans la folie, on peut donc parler de fanatisme religieux. L’homme n’a donc plus peur avance sans se rebeller avec la joie de vivre. La religion aide donc l’Homme à penser, on peut donc parler d’une atteinte à la liberté d’expression. Mais cependant peut on supprimer ces croyances sans mettre

font appel à la raison, favorise l'esprit critique et lutte contre les préjugés, les inégalités de naissances et rejettent les croyances absolues, le fanatisme et l'obscurantisme. Voltaire : Philosophe des Lumières, un écrivain engagé dans ses écrits comme dans ses actes (affaire Calas par exemple) et n'a jamais hésité à lutter contre le fanatisme religieux et l'intolérance. Candide est un conte philosophique qui apparaît au plein siècle des Lumières, en 1759. Ce livre de Voltaire est rapidement

dans le meilleur des mondes, et c’est le concept de la théorie de Leibniz, que Voltaire souhaite détruire en confrontant les personnages de son conte à toute sorte de mésaventures malchanceuses, de maux dus à la guerre et au fanatisme. Il utilise les éléments d’un conte traditionnel qu’il détourne en conte philosophique, et dévoile ses intentions polémiques, une critique de son époque, de la religion, de sa société, des institutions, de l’absurdité et de la cruauté des conflits

cette affaire de meurtre. Cependant il doute de la responsabilité de cet homme tel que le montre cette lettre : «J'en suis tout hors de moi : je m'y intéresse comme homme, un peu même comme philosophe. Je veux savoir de quel côté est l'horreur du fanatisme. Oserais-je supplier votre Éminence de vouloir bien me dire ce que je dois penser de l'aventure affreuse de ce Calas, roué à Toulouse pour avoir pendu son fils ? Cette aventure me tient au cœur ; elle m'attriste dans mes plaisirs, elle les corrompt

écrire dans la majorité des genres : la comédie, la tragédie, le pamphlet, le journalisme, le conte philosophique, l'ouvrage historique, le discours, la critique littéraire… Il lutta principalement pour la défense des droits de l’homme et contre le fanatisme religieux qu’il surnomme «l’Infâme», ce qui fait de lui un humaniste convaincu. Son but politique était la monarchie modéré et libérale, éclairée par les philosophes. Il se servait également de sa notoriété pour défendre des victimes de l’intolérance

philosophes des lumières qui voulaient « éclairer » leurs concitoyens en luttant contre l'ignorance, notamment avec l'aide de l'Encyclopédie, un inventaire « raisonné » qui fait la liste des progrès du genre humain en dénonçant la superstition, le fanatisme ou la tyrannie, en opposition avec la liberté et le bonheur. Tout dabord, nous pouvons rappeler Montesquieu avec Lettres persannes qui critique indirectement la vie en France à l'aide de personnages fictifs (Rica, Ibben, Usbeck,...). Dans la

l'élève, d'où la fréquence de connecteur dans les réflexion de Candide (ainsi que Cunégonde) qui raisonne à la manière de Pangloss. Pangloss fait de Candide un esprit naïf, étroit et crédule condamne surtout le dogmatisme (fanatisme philosophique) tout comme il condamne le fanatisme religieux (dans Candide ; Inquisition, Jésuites?)3/parodie de certains genres littéraires : Rabelais :- titre : clin d'?il à Gargantua que l'on pense que VOLTAIRE a lu peu avant de commencer à écrire Candide.- RABELAIS utilisait

la faire triompher. I) TORQUEMADA Torquemada (inspiré de la figure historique du moine dominicain Tomas de Torquemada (1420-1498) dont le nom est associé à l'Inquisition espagnole) est effrayant et semble fou. Figure étrange et puissante de fanatisme qui veut imposer sa religion par la terreur, en effet il est prisonnier d'un délire fanatique qui le mène à la démesure, il se substitue à Dieu. Dans ce monologue, Torquemada à différents destinataires : le roi et la reine (premièrement, au

signifie qu'il croit qu'il existe un dieu-horloger, qui a créé le monde. Il l'exprime ainsi : « L'univers m'embarrasse, et je ne puis songer / Que cette horloge existe et n'ait point d'horloger. » • En revanche, Voltaire est un farouche adversaire du fanatisme religieux et de l'intolérance. Il dénonce les superstitions qui éloignent l'homme de la raison. III. Voltaire et la justice • Lors de nombreuses affaires, Voltaire lutte pour la mise en œuvre d'une véritable justice. La France de l'Ancien Régime