Fanatisme

occupe une place particulière dans la mémoire collective française et internationale. Figure emblématique de la France des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre « l’Infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour la tolérance et la liberté de penser. Déiste en dehors des religions constituées, son objectif politique est celui d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Intellectuel engagé au service de la vérité

les combats de Voltaire (affaire Calas, et du Chevalier de la Barre) : auteurs de l’Encyclopédie et du Dictionnaire philosophique et de contes philosophiques dans lesquels il s’insurge contre toutes les formes d’intolérance (il combat notamment le fanatisme religieux et l’esclavagisme) la définition et le résumé très bref du conte philosophique : parcours initiatique qui permet à Candide (candidus = blanc en latin) de se débarrasser des illusions que l’enseignement «optimiste» de Pangloss (PAN tout

semblables. Même dans l’hypothèse d’un homme dont les crimes soient de notoriété publique comme ceux de Cartouche ou de Nivet, l’erreur n’est pas impossible. * Les jugements que les hommes portent les uns sur les autres sont subjectifs, et le fanatisme religieux en est le meilleur exemple : « Ce que vous me dites de Nivet, un janséniste me le dira d’un moliniste, un catholique d’un protestant. Si vous m’écartez du lit de Cartouche, un fanatique m’écartera du lit d’un athée. » Là encore transparaît

Voltaire Biographie : Francois-Marie-Arouet, dit Voltaire est un philosophe, écrivain né en 1694 à Paris et mort en 1778 (83ans). C’est le plus grand nom du mouvement de la philosophie des lumières, s’engageant corps et âme dans le combat contre le fanatisme religieux qu’il blâme et luttant pour la tolérance et la liberté de penser. De ce fait il défend plusieurs victime de la monarchie tel que le chevalier de la barre. Tout au long de sa vie, il se diversifie en écrivant toute sorte d’œuvres, aussi

contestation qu'il véhicule. L'expéditeur et le récepteurs étant tous deux étrangers il semble normal pour eux d'avoir une vue critique et donc un œil neuf sur le monde de l'auteur. Dans le deuxième texte, qui est une réflexion sur la religion et le fanatisme Voltaire utilise ici des métaphores et hyperboles comme ici « un cœur pour nous haïr, et des mains pour nous égorger » pour exposer son sujet. Bien qu'il ne cache pas son avis, l'auteur utilise des moyens subtiles (l'excuse de la prière adressée

Locke qui l’influencera fortement. Il est marqué par la grande liberté d'opinion dont jouissent les Anglais. Il forme le vœu de tout faire pour réformer la société française au niveau social et judiciaire. Sa lutte contre l’intolérance et le fanatisme religieux De retour en France, Voltaire poursuit sa carrière littéraire avec pour objectif la recherche de la vérité et de la faire connaître pour transformer la société. De retour à Paris en 1729, il fait jouer ses deux tragédies Brutus (1730)

Lecture analytique : « Prière à Dieu », Traité sur la tolérance de Voltaire Voltaire, philosophe des Lumières, ennemi du fanatisme et de l'intolérance religieuse, milite en faveur de la réhabilitation du protestant Jean Calas, accusé d'avoir assassiné son fils qui voulait se convertir au catholicisme. Sans réelles preuves, Calas est condamné à mort le 10 Mars 1762. Il est réhabilité en 1765 grâce à Voltaire qui a enquêté et réuni des témoins. En 1763, Voltaire utilise le retentissement de ce

du procès de Jean Calas. Le 9 mars 1765, à l'unanimité des juges, Calas est réhabilité. Louis XV a même dédommagé la famille Calas, ils ont obtenu une compensation financière. Voltaire a donc gagné, par cet affaire, son premier combat contre le fanatisme religieux, contre l'intégrisme des catholiques à l'époque. Il dit « J'ai vaincu cette sombre superstition qui porte les âmes faibles à imputer des crimes à quiconque ne pense pas comme elle. » La même année, une autres affaire judiciaire, l'affaire

XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective française et internationale. Figure emblématique de la philosophie des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre le fanatisme religieux, qu’il nomme « l’Infâme », pour la tolérance et la liberté de pensée Son œuvre littéraire est variée : son théâtre, ses poésies épiques, ses œuvres historiques, firent de lui l’un des écrivains français les plus célèbres au XVIIIe siècle

farouche ennemi du fanatisme et de l'intolérance (cf sa signature-slogan Ecrelinf = Écrasons l'Infâme) milite en faveur de la réhabilitation du protestant Jean Calas, accusé d'avoir assassiné son fils qui voulait se convertir au catholicisme. Sans réelles preuves, Calas est roué en 1762, puis réhabilité grâce à Voltaire en 1765. 1763 : Voltaire utilise le retentissement de ce procès pour écrire le Traité sur la tolérance ; il veut : - prouver l'innocence de Calas - critiquer le fanatisme et la révocation